Additifs
- Max Hauri

- 2 oct.
- 8 min de lecture

Introduction: En Scientologie, nous ne donnons pas de solutions aux gens. Au contraire, nous leur permettons d’examiner les solutions qu’ils avaient autrefois, des solutions qui sont peut-être aujourd’hui complètement dépassées, et nous leur permettons de les faire disparaître
Ron dit dans le Bulletin du 23 mai 1971R, Reconnaître que l'être est dans le vrai:
«L’homme est un être auquel on a ajouté des choses, et tout ce qui lui a été ajouté a diminué sont aptitude à faire face. Quand vous ajoutez quelque chose à l’être, il empire.»
Dans la conférence du 7 janvier 1964, Bons indicateurs aux niveaux inférieurs:
«Tout cela fait partie intégrante des additifs. Nous ajoutons quelque chose à l’être et il empire. Tout ce qui lui a été ajouté a diminué sa capacité à faire face. Il devient aberré à cause des additifs.»
En Scientologie, nous traitons les choses indésirables grâce à l’As-isness.
L’As-isness signifie que nous regardons quelque chose exactement tel qu’il est. En regardant précisément ce que c’est, et comment il est, le facteur aberrant (aberrant = irrationnel, s’écartant de la pensée ou du comportement rationnel) disparaît.
En Scientologie, nous ne donnons pas de solutions aux gens. Au contraire, nous leur permettons d’examiner les solutions qu’ils avaient autrefois, des solutions qui sont peut-être aujourd’hui complètement dépassées, et nous leur permettons de les faire disparaître – de les as-iser.
En audition, nous laissons la personne regarder un engramme ou un secondaire (perte) jusqu’à ce qu’elle l’ait effacé, jusqu’à ce qu’elle l’ait «as-isé».
Nous parcourons un procédé jusqu’à ce que le pc (préclair) obtienne une libération.
Cela fonctionne même dans les études: lorsqu’un mot est clarifié, le malentendu disparaît.
On pourrait dresser une longue liste de ce qui est clarifié en Scientologie.
La personne devient de plus en plus libre et regarde les choses d’un œil nouveau dans le présent. Elle ne traîne plus avec elle de vieilles solutions et d’idées fixes. Elle regarde également le présent tel qu’il est.
Voilà pour ce qui est du thétan, l’être spirituel, qui est vous.
On ne peut pas appliquer ce principe à l’organisme humain, mais là encore, il vaut mieux éliminer la cause plutôt que de recourir à des médicaments. Pour prendre une image, il vaut mieux consommer peu ou pas d’alcool plutôt que de prendre des analgésiques ou autres médicaments pour soigner la gueule de bois.
Je pense qu’en matière de corps, c’est souvent l’excès qui pose problème. Bien sûr, on peut aussi manquer de quelque chose, mais dans notre société d’abondance, c’est souvent l’excès qui prime.
De manière générale, on peut certainement affirmer que les gens ont fortement tendance à gérer les difficultés et les problèmes avec davantage plutôt qu’avec moins. Lorsqu’une personne souffre d’une maladie ou d’une difficulté, elle reçoit une multitude de conseils.
L’écoute et la compréhension font souvent défaut. Notre société repose sur le principe suivant: «Prends. Prends. Prends. Achète. Achète. Achète. Tu dois. Tu dois. Tu dois.»
J’ai abordé ce sujet parce que certaines vérités ont récemment fait surface.
Mon expérience m’a montré qu’en matière de santé – ou plutôt de maladie – une peur injustifiée est répandue. Avec certains médicaments, mais surtout avec les antidépresseurs et les vaccins, de fausses promesses sont faites, des promesses que seuls l’industrie pharmaceutique et les gouvernements peuvent se permettre de faire.
Saviez-vous que l’efficacité des vaccins n’est que rarement comparée à celle d’un placebo?
En fait, elle n’est presque jamais comparée à l’efficacité naturelle du système immunitaire chez les personnes non vaccinées. Les vaccins sont le plus souvent comparés uniquement à d’autres vaccins. En d’autres termes, le vaccin contre la grippe de cette année est comparé à l’efficacité du vaccin contre la grippe de l’année dernière.
Mais ma logique me dit qu’un groupe devrait être vacciné et un groupe témoin laissé non vacciné – puis les deux groupes comparés.
Sinon, cela reviendrait à donner à un groupe de bambins un nouveau smartphone et à un autre groupe, le modèle de l’année dernière – en laissant les deux groupes jouer indéfiniment – puis à conclure que le nouveau téléphone n’a aucun effet négatif sur les enfants.
En 2008, une «épidémie de rougeole» a sévi en Suisse (2000 cas en 18 mois). Je me souviens très bien que la radio avait rapporté que les personnes vaccinées et non vaccinées avaient été touchées de manière égale. Autant pour la protection à vie.
Le syndrome de mort subite du nourrisson (SMSN) ou la mort inexpliquée du nourrisson sont des dommages vaccinaux.
En ce qui concerne les vaccins, l’industrie pharmaceutique ment effrontément.
En voici un exemple (anglais): https://childrenshealthdefense.org/defender/11-week-old-anna-sims-died-routine-vaccines-family-wins-vicp-settlement/
Ron était très cynique à propos de la psychiatrie. Voici un rapport sur la psychiatrie moderne:
Moins, c’est plus. Training Zéro. TR 0.
Ci-dessous, un bulletin formidable, souvent utilisé dans les maniements.
Avec mes meilleures amitiés,
Max Hauri
Reconnaître que l'être est dans le vrai
Extrait de la conférence «Bons indicateurs» du 7 janvier 1964 par L. Ron Hubbard
Un auditeur a tendance à chercher des faussetés. Il essaie toujours de trouver quelque chose qui ne va pas chez le pc. C’est la nature de la Scientologie; nous supposons que quelque chose ne va pas chez quelqu’un, sinon il ne serait pas là et «mort dans sa tête», et il serait capable de faire beaucoup plus que ce qu’il est fait à un moment donné.
Un individu est fondamentalement et invariablement bon, capable de beaucoup d’actions et d’une puissance considérable.
A l’état de thétan libre ou à l’état natif, l’individu est bien plus puissant que lorsqu’il a été compliqué.
C’est l’idée des données additives au thétan. Essayez de donner à quelqu’un quelque chose qu’il ne veut pas et vous allez ruiner son pouvoir de choix. Son pouvoir de choix est la seule chose qu’il avait au départ, qui lui donnait de la puissance, des capacités et tout le reste, et ce pouvoir de choix a été constamment et continuellement renversé en lui donnant des choses qu’il ne voulait pas et en lui enlevant des choses dont il ne voulait pas se débarrasser, dans un va-et-vient incessant. Vous obtenez ainsi un individu complètement submergé, dont la puissance s’effondre.
Ce qui lui est arrivé, en réalité, est qu’il a résolu un problème qui n’avait pas besoin d’être résolu. Il y avait quelque chose qu’il ne pouvait pas confronter, alors il l’a résolu et a mis en place une solution.
Additifs
Chaque fois que vous rectifiez ces solutions, vous dégradez l’individu à jamais. Un individu devient aberré par des additifs. Les expériences qu’il a dans cet univers sont habituellement calculées pour le dégrader et le priver de sa puissance.
Maintenant, tout ce que vous avez à faire est de démêler tout cet imbroglio; vous lui rendez alors sa puissance.
L’homme est un être auquel on a ajouté des choses, et tout ce qui lui a été ajouté, a diminué sont aptitude à faire face. Quand vous ajoutez quelque chose à l’être, il empire.
Notre travail consiste à supprimer les faussetés d’un individu.
Même l’analyste freudien s’est rendu compte qu’un additif avait été ajouté et qu’il devait être supprimé. Ainsi l’idée qu’il faut supprimer quelque chose pour amener un rétablissement n’est pas nouveau pour nous.
Faussetés
Parce que notre travail consiste à supprimer les faussetés de l’individu, nous regardons rarement là où il est dans le vrai et ceci est le défaut de la plupart des auditeurs. Ils désirent tellement trouver les faussetés – et à juste titre – qu’ils ne regardent jamais vraiment les choses où le pc est dans le vrai. S’ils ne regardent pas les choses justes qui sont présentes, alors ils n’apprécient pas les degrés de vérité qui sont présents et qui peuvent être valorisés pour devenir davantage de vérité.
En d’autres termes, ils commencent à un niveau où il n’y a aucune vérité présente en permanence, alors bien sûr, ils ne progressent jamais.
Vous devez vous rendre compte qu’une certaine vérité doit être présente et que cette vérité doit être reconnue, et que cela est partie intégrante de l’audition, reconnaître le fait que la vérité est présente.
Si vous ne cherchez que des faussetés et ne reconnaissez que des faussetés, alors vous ne serez jamais capable de faire avancer quoi que ce soit d’un gradient car vous penserez que vous n’avez aucune justesse avec laquelle travailler. Tout vous semblera simplement faux.
Vous devez être capable de regarder les faussetés pour pouvoir les rectifier, mais nous devons aussi être capables de regarder là où le pc est dans le vrai afin d’améliorer cela.
Nous essayons seulement de trouver les faussetés pour augmenter les justesses, et ceci est très important. Si vous n’avez aucune justesse présente dans une séance, vous ne pourrez jamais faire le moindre progrès. Le progrès se construit sur une échelle graduée de justesses grâce à laquelle vous supprimez les faussetés, qui diminuent et disparaissent.
Par conséquent, l’audition est une action par laquelle on peut effacer les faussetés d’un cas dans la mesure où il y a des justesses présentes dans la séance. Vous ne pouvez pas prendre un cas dans lequel il n’y a rien de juste et supprimer une fausseté. Donc, vous devez réaliser qu’il y a des choses justes présentes, et ensuite les améliorer. Cela vous permet de repérer les faussetés, et c’est en cela que l’audition consiste.
L’audition est un concours visant à maintenir les justesses afin de pouvoir éliminer les faussetés. Si vous continuez à éliminer les faussetés, tout en maintenant et en augmentant les choses justes, vous vous retrouverez avec un être très vrai. Vous essayez d’obtenir un être vrai, donc si vous n’encouragez pas continuellement un État d’être vrai, vous n’aurez
jamais un être vrai.
Vous devez apprendre à observer une séance d’audition. Vous voulez que votre pc se retrouve dans un état vrai – une sorte d’état plus natif où il est plus capable, moins submergé, avec un pouvoir de choix plus élevé. Vous voulez qu’il se retrouve avec davantage de justesses.
Par conséquent, si vous auditez sans encourager et augmenter les justesses, vous ne vous retrouverez pas avec un pc dans le vrai.
Le degré de justesse dont vous disposez actuellement doit dépasser le degré de fausseté que vous allez récupérer. C’est une action proportionnelle. Si vous avez autant de faussetés dans une séance que vous avez de justesses, ce ne sera pas une promenade de santé. Cela rend l’audition très difficile. Si vous voulez corriger cette petite erreur, vous devez disposer de justesses suffisamment importantes pour la compenser. Cela facilite l’audition.
Si, dans la séance, les justesses sont très mineures et que le problème est minuscule, il n’y a pas assez de justesse dans la séance pour résoudre le problème, et le pc ne pourra pas l’effacer.
Dans une séance, l’aptitude du préclair (pc) à as-iser ou à effacer est directement proportionnelle au nombre de bons indicateurs présents dans la séance.
Et son inaptitude à faire face dans une séance augmente proportionnellement au nombre de mauvais indicateurs présents dans la séance.
Tout procédé a sa propre série de mauvais indicateurs. Et les mauvais indicateurs font leur apparition quand les bons s’en vont. Vous devez donc avoir une connaissance élémentaire des bons indicateurs.
Ne cherchez pas les mauvais indicateurs; vous allez rendre le pc complètement cinglé et supprimer les bons indicateurs. Ce que vous voulez faire est de connaître si bien les bons indicateurs pour le niveau que vous auditez, que lorsque l’un d’entre eux disparaît de la séance, vous dressez l’oreille et vous recherchez immédiatement le mauvais indicateur. Ne cherchez pas le mauvais indicateur tant que vous n’avez pas vu disparaître le bon. Sinon, vous pataugez constamment à la recherche de faussetés dans la séance et vous maintenez un pc très contrarié et n’obtenez pas la moindre audition.
Rappelez-vous cela la prochaine fois que vous voyez un pc qui commence à s’embourber, à traîner et à patauger d’une façon ou d’une autre. Vous devez rétablir les bons indicateurs du pc avant de pouvoir lui faire gérer ce que vous voulez qu’il gère.
Ce qui influence l’attitude du pc, est une Rupture d’ARC (qui est bien sûr influencée précédemment par le comportement de l’auditeur), ou le pc a un Acte Néfaste envers l’auditeur, ou le pc a une Retenue Manquée.
Un auditeur qui n’intervient jamais et ne découvre pas ce qui ne va pas en séance – l’auditeur raisonnable – perturbe les pcs comme un fou.
Si tous les bons indicateurs sont présents, l’auditeur sait qu’il fait du bon travail.
L. Ron Hubbard
Fondateur







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