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Sagesse, Liberté et Extériorisation


Feux d'artifices au-dessus d'une chute d'eau

Introduction: Avoir une certitude inébranlable d’être un être spirituel est une grande liberté, peut-être même la plus grande qui soit.


Lisez la lettre d'introduction de Max Hauri à cet article, ci-dessous.



Il y a eu trois points principaux dans l’histoire spirituelle de l’Homme :


  1. L’idée que la sagesse mène à la liberté ;

  2. Le développement de l’extériorisation ; et

  3. Le point culminant de la recherche de l’Homme pour la vérité spirituelle et la liberté : la Scientologie.


Ces points sont brillamment expliqués par Ron dans l’article ci-dessous, peut-être la révélation la plus fondamentale jamais faite sur le passé spirituel de l’Homme.

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Extériorisation: L’état dans lequel le thétan, l’individu lui-même, est en dehors de son corps. Lorsque cet état est atteint, la personne acquiert la certitude qu’elle est elle-même et non son corps.

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Il y a dix mille ans, dans le cadre de la recherche philosophique, se trouvait un gars appelé Dharma, un moine désormais légendaire.


C’est de Dharma que vient la tradition que suivent la plupart des philosophes, à savoir que si vous devenez sage, vous deviendrez libre. Tout le monde est imprégné de cette philosophie de base. Cela fait partie de la trame de toute la culture. Cela dure depuis 10 000 ans sur cette planète; commencée par Darma. Maintenant, ce travail a été totalement assimilé.


Que l’on puisse extérioriser et que l’extériorisation apporte la liberté est la prémisse de Gautama Siddhartha Bouddha, qui ne date que de 2 500 ans. Ils ont eu encore 7 500 ans à vivre avant d’assimiler cela dans la culture, de la façon dont la philosophie de Dharma a été intégrée. Les gens ne connaissent toujours pas l’extériorisation 2 500 ans après la religion la plus populaire et la plus répandue de la planète, le bouddhisme.


Ces pensées étaient nouvelles, en particulier pour cette planète très arriérée et barbare. Si vous ne pensez pas que les choses étaient barbares, vous auriez dû avoir quelque chose à faire (et peut-être l’avez-vous fait) avec l’Inde d’il y a 10 000 ans. Il n’y avait pas le moindre vestige de civilisation. Faire passer le message que si vous deveniez sage, vous deveniez en quelque sorte un peu supérieur était difficile à réaliser. C’était une avancée formidable. C’est presque comme essayer d’enseigner à des animaux ou autre chose, alors que vous ne pouvez même pas parler leur langue. C’était donc un grand saut. Et finalement, pratiquement tout le monde sur la planète était d’accord avec cela. Nous avons maintenant un pourcentage fantastique des impôts de cette planète (c’est ce qui reste des crédits militaires) consacré à l’éducation.


Il y a donc cette formidable demande d’éducation ou d’amélioration de soi. Vous n’y prêterez peut-être pas attention au premier abord, car cela vous semble si banal, si courant. Mais le fait que l’Homme soit actuellement prêt à investir du temps, des efforts et de l’argent pour rendre les gens plus sages afin de les rendre plus libres est un grand témoignage pour ce gars Dharma. Il lui a fallu 10 000 ans pour faire passer un message.


C’était presque la totalité de la chose. Il savait que l’on pouvait devenir un individu libre. En d’autres termes, il y avait une liberté qui était atteignable. Mais pas de technologie du tout.

7 500 ans plus tard, Gautama Siddhartha Bouddha a découvert l’extériorisation. En suivant le modèle de Dharma, il pensait qu’on extériorisait en devenant sage. Cette religion s’est répandue dans la plupart des régions d’Asie et a réellement civilisé les trois quarts de l’Asie.

Il n’y avait pas beaucoup d’informations mais il a introduit plusieurs idées en même temps. L’une d’elles était qu’il fallait être civilisé, poli, etc. C’était un choc ; personne n’avait jamais entendu cela auparavant. Des idées très nouvelles.


L’homme n’a pas encore accepté l’idée qu’il devait être poli, mais il y arrive. Dans certaines régions du monde, ils en ont un peu trop fait. Donc quand ils s’étripent les uns les autres, ils disent: « Je retiens mon haleine fétide de ton visage ! »


Ainsi, cette action d’extériorisation n’était en fait pas réalisable dans une large mesure. Les lamaïstes sont arrivés par la suite et ont essayé de développer une sorte de technologie et une explication pour tout ceci. Ce que Bouddha n’avait pas inventé, ils pensaient pouvoir le faire. Bien sûr, ils sont entrés dans une zone où il y avait beaucoup à découvrir. Mais la grande découverte avait été faite par Bouddha, à savoir que quelqu’un peut extérioriser.


Bien sûr, nous sommes gagnants dans la mesure où l’idée de l’âme a une certaine longévité.


Beaucoup de gens l’acceptent. Où elle va, ce qu’elle fait, en quoi elle consiste, ils n’en ont aucune idée. Mais le fait qu’il existe une chose appelée âme, qui va quelque part a dominé la pensée grecque et romaine pendant une très longue période ; environ 2 000 ans ou quelque chose comme ça. Elle domine également diverses parties de l’Afrique et du Moyen-Orient sous le nom d’un autre prophète et ainsi de suite. Mais c’est le même canal de pensée qui dit qu’il existe une chose appelée âme.


Socrate est le principal promoteur de cette idée dans notre histoire philosophique actuelle. Il défendait l’existence d’un être personnel, ou comme nous dirions, d’un thétan. Les bigots religieux de son époque n’étaient pas d’accord avec cela et lui ont fait boire la ciguë. Il est allé de l’avant et a bu la ciguë juste pour les rendre bons et coupables.


Maintenant, je ne fais que vous donner un contexte historique. Le maximum qui ait jamais été atteint par l’un de ces sujets était un genre de libération. Et depuis le début de l’univers, pour autant que nous le sachions, il n’y a jamais eu autre chose qu’une libération. Il n’y a jamais eu de Clair. Il n’y a jamais eu quelque chose de mis au Clair. Par conséquent, ce sont toutes des formes de libération. Le Dharma est une libération par la sagesse, et le Bouddhisme est une libération par l’extériorisation.


Vous avez dans les faits, le contexte historique complet. Ce sont ces choses qu’il faut comprendre à la lumière de ce que nous faisons aujourd’hui. Il n’y a pas plus de complexités à comprendre à ce sujet. Tout spécialiste de ces travaux m’accuserait de simplifier à l’extrême, mais je pourrais répondre d’un point de vue très intéressant en disant : « Oui, il a fallu vingt ans pour faire un bodhi (thétan extérieur), mais nous pouvons en faire un en vingt secondes environ – et à un pourcentage bien plus élevé. »


C’est tellement facile à faire que ça en est totalement négligé. Nous ne le faisons même pas en tant qu’action spéciale. En fait, nous laissons faire. Le fait que cela se produise presque immédiatement ne le qualifie pas alors, de libération stable. Ce n’est pas un bon état durable. En fait, après avoir fait sortir quelqu’un de sa tête deux ou trois fois, il devient très anxieux, pense que ça va lui coûter son corps et commence à vous dire qu’il ne l’est pas.


Le psychiatre considère l’extériorisation avec la plus grande méfiance parce qu’il trouve parfois dans les institutions, comme une extériorisation inverse ou inversée, un gars qui ne peut pas entrer dans son corps et qui devient frénétique. Par conséquent, il pense que tout ce qui est lié à l’extériorisation est de la folie. Mais alors bien sûr, il estime que les trois quarts des Asiatiques sont fous.


Cet état de thétan extérieur peut se produire à presque tout moment. N’importe qui auditant n’importe qui va tôt ou tard avoir un thétan extérieur sur les bras.


Après avoir transformé l’un de ces individus, vous vous apercevrez que dans l’heure, les trois jours ou la semaine qui suivent, il aura été emmêlé à plus de réalité qu’il n’est prêt à en confronter dans son timide état de non-Clair. Il n’est que libéré et on lui a demandé de marcher pieds nus, dans ce vaste monde et il a encore l’anxiété et le problème de se cramponner à son corps. Il ne sait pas vraiment que faire à ce sujet. Il a peur d’oublier son corps. Sur la piste passée, cela lui est arrivé déjà plusieurs fois. En fait, cela lui arrive à chaque fois qu’il meurt, et est associé dans son mental à la mort. Il a également eu des expériences malheureuses lorsqu’il pouvait le faire à volonté, quelque part bien loin sur la piste : il a laissé son corps dans l’auberge pour aller faire quelque chose, puis il est revenu et a découvert qu’il avait été enterré.

Il y a donc des connotations très amères avec ceci, car il n’est pas du tout compétent pour faire face à cet état. Il est très en avance sur lui-même, il est en fait sur une harmonique OT. Un OT pourrait s’en occuper, mais il ne peut pas s’en occuper quand il est par exemple, un libéré dianétique.

Je ne rends pas trivial ce que Bouddha a fait. C’était un progrès remarquable. Il a dû être effectivement remarquable si Socrate l’a copié – après quoi il est devenu traditionnel dans la culture occidentale.

D’ailleurs, il y a ici et là, quelques races primitives qui croient que l’Homme a une âme ; c’est une part de vérité qui n’est pas facile à camoufler. Mais y travailler effectivement ou admettre que quelque chose puisse être fait à ce sujet est tout à fait nouveau.


Lorsque Bouddha a extériorisé les gens et provoqué l’extériorisation, il l’a fait par le biais de la sagesse, de sorte que l’individu avait au moins une sorte de philosophie pour le soutenir.

Dès lors, le chemin de la philosophie a été très, très difficile et il a fallu beaucoup de temps pour qu’une idée philosophique de base se manifeste dans la société dans laquelle elle a été exprimée. Ce qui est particulièrement remarquable dans le bouddhisme, c’est que la vérité avancée par Bouddha était si limpide qu’elle s’est répandue comme une traînée de poudre au cours de sa vie. Et dans les quelques vies qui ont suivi, sur une période de temps très courte, il a conquis presque les trois quarts de l’Asie.


Les bouddhistes étaient passés de l’état de « l’homme est de la viande » à « il est un être spirituel » et ils avaient des manifestations de cela et un chef assez puissant.


Donc ceci est, et peut être considéré seulement comme une sorte d’état de libération par la sagesse, parce qu’ils n’avaient pas de commandement pour dire à quiconque de sortir de leur tête. L’individu devenait simplement sage et lorsqu’il le devenait suffisamment, il extériorisait, espéraient-ils.


Ils ont eu beaucoup d’échecs dans ce domaine. C’est très difficile à faire ceci, car piégé par le bank. Maintenant, d’un seul coup, sans pause pour reprendre son souffle, nous avons capitalisé sur l’idée qu’un homme qui est amélioré devient libre. Nous avons ramené un effort de vingt ans pour extérioriser au point où cela peut être fait en vingt secondes. Nous avons trouvé ce qui empêchait les efforts de Dharma d’être parfaits, nous avons trouvé la totalité de ce qui faisait obstacle au Bouddhisme. Nous sommes ici dans une société qui en fait, n’est soutenue dans sa culture que par Dharma et Bouddha, avec le problème résolu.


L. Ron Hubbard


 

Chers amis,


Avoir la certitude inébranlable d’être un être spirituel est une grande liberté, peut-être même la plus grande qui soit.


Pour certains, c’est une fuite, un état que l’on essaie souvent d’atteindre avec des drogues ainsi que des médicaments ; pour d’autres, c’est un modus operandi, c’est-à-dire la manière dont on vit – en Scientologie, nous avons les moyens d’y parvenir pas à pas.


Avec mes meilleures amitiés.

Max Hauri

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