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Une prophétie vieille de 2500 ans


Pont tenu dans une main, avec une foule

Introduction : Une prophétie vieille de 2500 ans: «Un homme est aussi bien portant que ses objectifs et ses rêves sont intacts. Si un homme peut rêver, si un homme peut avoir des objectifs, il peut être heureux et il peut être vivant. S’il n’a pas d’objectifs, il n’a même pas d’avenir.» 30 mars 1954 – L. Ron Hubbard.


Lisez la lettre d'introduction de Max Hauri à cet article ci-dessous




La conclusion surprenante de la série Advance! sur le bouddhisme.


Avec Advance! numéros 23 et 24, vous avez suivi une série d’articles qui retracent le développement du bouddhisme.


Dans le numéro 23, vous avez appris comment un homme, Siddhartha Gautama, a cherché à s’élever au-dessus de son propre destin et a compris la véritable nature spirituelle de l’Homme. Il est devenu Bouddha, celui qui est éveillé ou illuminé. Il a développé une philosophie selon laquelle la vie est fondamentalement une souffrance, mais qu’il existe un moyen d’échapper à la roue sans fin de la mort et des réincarnations en devenant soi-même un bouddha. Bien que Bouddha ait échoué parce qu’il n’avait pas les moyens d’atteindre pleinement ses objectifs, son œuvre était si répandue et si impressionnante qu’elle est devenue l’influence civilisatrice dominante pour les 2 500 années suivantes de l’histoire de l’Humanité.


Dans le numéro 24, nous avons vu comment Bouddha lui-même s’est rendu au Tibet (dans une vie ultérieure) pour commencer le lamaïsme (bouddhisme tibétain) dans le but de développer des techniques d’extériorisation et d’approfondir ses études sur le mental. Son nom dans cette vie du 8 ème siècle était Padma Sambhava. Les œuvres les plus importantes attribuées à Padma Sambhava sont le grand livre de «l’auto-libération» et le «Livre des morts tibétain», un manuel technique destiné à libérer un individu de la roue des réincarnations.


Avec ce numéro, nous sommes arrivés au point culminant de la série d’Advance! au sujet du bouddhisme.


Voyez-vous, il y a 2 500 ans, une prophétie étonnante a été formulée, qui jette une lumière nouvelle et fascinante sur la voie spirituelle de l’Homme.


Lisez la suite!


Une Prophétie vieille de 2 500 ans


Une promesse ancienne, faite il y a 2 500 ans, prédisant qu’un grand chef spirituel viendra apporter une liberté totale à l’Homme, peut-elle se réaliser?


L’Homme s’est généralement tourné vers son passé pour y trouver ses âges d’or. Il a donc surtout vécu dans la nostalgie plutôt que dans l’espoir. L’avenir, de manière patente, [Évidente, qui ne prête à aucune contestation. Synonyme: manifeste.] n’a représenté qu’un prolongement des problèmes non résolus d’aujourd’hui, qui promettaient d’empirer avant de s’améliorer.


Les points les plus prometteurs de l’histoire de l’Homme ont accompagné les recrudescences ou les renaissances de la philosophie religieuse; des jalons tels que le zoroastrisme, [Voir Advance! 20. Le zoroastrisme fondé par Zoroastre (forme grecque de l’ancien nom perse Zarathoustra) était la plus importante religion de la Perse antique.] le christianisme et le bouddhisme, entre autres.


La plupart de ces mouvements ont prédit la fin de l’histoire de l’existence terrestre et le début de l’existence céleste – qui ne s’est pas produite! Dans le christianisme, par exemple, la date de la seconde venue du Christ à la fin du monde a été fréquemment repoussée dans le futur.


Les premiers chrétiens l’attendaient de leur vivant. Récemment, les Témoins de Jéhovah se sont régulièrement réunis pour attendre la fin du monde. L’idée d’attente a été si prédominante dans l’histoire du christianisme que Franz Kafka, l’écrivain allemand, a écrit un jour avec cynisme que le Christ arriverait non pas le jour du jugement, ni le lendemain, mais le surlendemain!


Cette vision eschatologique [En rapport avec la fin des choses, comme la mort, la résurrection, le jugement, l’immortalité.] de l’histoire a connu des rebondissements étranges, comme dans l’œuvre de Hegel, le «grand» philosophe allemand (1770-1830), qui estimait que sa propre œuvre était le dernier chapitre du livre de la vérité et marquait la fin de l’histoire. Marx, à son tour, a conçu que l’histoire se terminerait par une ultime bataille décisive entre les «travailleurs» et les capitalistes, après laquelle s’ensuivrait un paradis ouvrier éternel pervertissant ainsi l’idée chrétienne d’Armageddon, [Le lieu où se déroulera la dernière bataille décisive entre les forces du bien et du mal avant le jour du jugement et le paradis éternel qui suivra.] qui provient elle-même du concept zoroastrien antérieur du jugement et de la fin du monde.


Ainsi, l’Homme a été si souvent déçu et trahi par les sauveurs et les paradis promis qu’il est un peu comme un buffle d’eau blessé qui tente d’encorner tous ceux qui essayent de l’aider.


Parmi tout le panorama de ces prédictions et prophéties, une seule n’a pas fait appel à des organismes surnaturels, ni prévu la fin divine du monde. C’est la légende d’un successeur dont l’origine n’est autre que Bouddha Gautama.


Bouddha ne considérait pas que son propre travail était terminé. Il s’est rendu compte qu’il lui manquait une technologie adéquate pour atteindre tous les objectifs de la liberté spirituelle. Il a prédit qu’une telle technologie du mental et de l’esprit serait développée en Occident par un successeur quelque 2 500 ans plus tard.


Comme l’a déclaré Bouddha à Ananda (principal assistant de Bouddha) qui lui demandait: «Qui nous enseignera quand tu seras parti?»


Et Bouddha répondit: «Je ne suis pas le premier Bouddha venu sur Terre, et je ne serai pas le dernier. Je suis venu vous enseigner la vérité, et j’ai fondé sur Terre le royaume de la vérité. Gautama Siddhartha mourra, mais Bouddha vivra, car Bouddha est la vérité, et la vérité ne peut pas mourir. Celui qui croit en la vérité et la vit est mon disciple, et je lui enseignerai. La Vérité sera propagée et le royaume de la vérité s’agrandira pendant environ cinq cents ans. Puis, pendant un certain temps, les nuages de l’erreur obscurciront la lumière, et en temps voulu, un autre Bouddha se lèvera, et il vous révélera la même vérité éternelle que celle que je vous ai enseignée.»


Ananda dit: «Comment allons-nous le reconnaître?»


Bouddha répondit: «Le Bouddha qui viendra après moi sera connu sous le nom de Metteyya, ce qui signifie ‘celui dont le nom est bonté’.» [Tiré du «Livre de la grande mort» des Canons Palis, les plus anciennes écritures bouddhiques. Le pali est la langue que parlait Gautama Bouddha.]


Metteyya vient du mot pali metta signifiant amour. Correctement traduit en anglais oral, Metteyya signifie «celui dont le nom est bonté» ou «ami». Ainsi, ‘celui qui doit venir’ sera reconnaissable, selon Bouddha, comme un grand ami de l’Humanité. Il sera Metteyya (ami). Dans une autre déclaration, Bouddha prédit que Metteyya sera «accompagné d’une congrégation de quelques milliers de frères, tout comme je suis maintenant accompagné d’une congrégation de quelques centaines de frères».


Cette idée bouddhiste d’un second Bouddha a filtré vers l’ouest jusqu’au Moyen-Orient où, selon une autorité, elle s’est exprimée dans l’idée chrétienne ultérieure de la seconde venue du Christ. Dans les pays bouddhistes, Metteyya est devenu un grand favori. Dans l’art et la sculpture, il était souvent représenté debout, contrairement à Bouddha qui était généralement représenté assis. Il est devenu un thème fréquent dans la littérature bouddhiste. Par exemple, «l’Anagata Vamsa», un poème indien du 8 ème siècle au sujet de Metteyya met dans la bouche de Gautama Bouddha les lignes telles que:


«Je suis maintenant le parfait Bouddha;

«Et il y aura Metteyya aussi.

«Avant que ce même éon favorable

«N’arrive à la fin de son temps.»


Une partie prédominante de la légende est que Metteyya apparaîtra lorsque le monde sera en péril, que la religion aura dangereusement décliné et qu’un nouvel âge obscur menacera d’assombrir la planète.


Les anciennes écritures tibétaines confirment que ce nouveau chef spirituel apparaîtra en Occident et qu’il aura des cheveux roux ou dorés:


«Lorsqu’on le verra en Occident, assis à la mode occidentale, ses cheveux comme des flammes autour de sa noble tête, discourant, alors les habitants des Trois Mondes [Les Trois Mondes des écritures tibétaines: Le corps: le monde physique appartenant au corps et à son fonctionnement et à sa vie. La parole: le ‘monde’ de la communication entre les entités et les choses. Le mental: le monde propre à chacun, le monde de sa propre création.] se réjouiront, sachant que la libération de tous les êtres conscients est imminente. On l’appellera alors l’âge des bienheureux, car il deviendra courant d’atteindre la Libération en une seule vie.»


Gandhi, un hindou, invoquait peut-être Metteyya quand il a écrit ce qui suit:


«L’Asie a un message pour le monde entier, si elle veut bien s’en montrer digne. Toute l’Asie comprenant l’Inde, la Chine, le Japon, la Birmanie, Ceylan (Sri Lanka) et les États malais, porte l’empreinte de l’influence bouddhiste. Afin que l’Asie ne soit pas uniquement pour l’Asie, mais pour le monde entier, elle doit réapprendre le message de Bouddha et le transmettre au monde entier.»


Paul Goddard, un interprète occidental réputé du bouddhisme, a également reconnu que le bouddhisme traditionnel n’était pas adapté au monde moderne. Il exprime en ses propres termes le besoin urgent d’une meilleure technologie:


«Les bouddhistes américains et européens, avant de pouvoir atteindre communément l’illumination et l’état de Bouddha, auront besoin de leur propre méthode pour pratiquer la huitième étape de la Noble Voie, [La dernière étape de la procédure en huit parties que Bouddha Gautama a élaborée pour atteindre la bouddhéité.] mais une telle Méthode Juste ne peut être formulée avant que le Bouddha qui prend forme dans notre propre mental, ne vienne. Quand Il viendra, nous serons comme Lui, car nous Le verrons tel qu’Il est!’ ‘Viens quand même, Seigneur Maitreya!’ [Maitreya est la forme sanskrite du mot pali Metteyya, parfois orthographié Metteya.]


En 1955, les bouddhistes du monde entier ont célébré l’anniversaire des 2 500 ans de l’ère bouddhique. Ces célébrations ont coïncidé avec la date la plus proche prévue pour l’arrivée de Metteyya, soit plus ou moins 1950.


La couverture [pas disponible] de ce numéro d’Advance! exprime de façon saisissante cette prédiction. Elle montre Metteyya debout à l’extrémité d’un pont de 2 500 ans. On peut voir Bouddha à l’autre extrémité. La main droite de Metteyya est levée dans le geste Abhayamudra. Mudra signifie «geste», Abhaya signifie «libre de toute crainte ou de tout danger, sans peur». En tant que geste, il exprime l’octroi de la protection et de la bénédiction. Il représente donc un postulat pour un espace sûr dans lequel les êtres peuvent atteindre une liberté spirituelle totale.


Pendant deux millénaires et demi, l’Orient a entretenu avec amour, l’espoir de Metteyya – contribuant ainsi à créer un avenir dans lequel il pourrait arriver et être accepté.


 

Chers amis,


Une autre année s’est achevée et nous avons maintenant toutes les chances d’espérer et de rêver à des cieux plus cléments, sans trop de nuages noirs!


Nous créons notre futur, nous en sommes la cause et nous pouvons l’être bien plus que nous ne l’avons jamais pensé. Notre potentiel est loin d’être épuisé.


Voici le véritable message du Nouvel An: Une prophétie vieille de 2 500 ans, tirée du magazine Advance! 27 de 1974. Je n’ai pas besoin d’en rajouter davantage, elle parle d’elle-même et chacun peut s’en faire sa propre idée.


Comme écrit plus haut, quoi qu’il arrive, nous pouvons et devons toujours être optimistes. Nous pouvons maintenant mieux voir ce qui se passe. Il y a de plus en plus de vérité qui éclate, et c’est bien, même si c’est inconfortable. Créons et vivons nos objectifs et nos rêves. C’est un bon postulat pour l’année prochaine!


«Un homme est aussi bien portant que ses objectifs et ses rêves sont intacts. Si un homme peut rêver, si un homme peut avoir des objectifs, il peut être heureux et il peut être vivant. S’il n’a pas d’objectifs, il n’a même pas d’avenir.» 30 mars 1954 – L. Ron Hubbard.


Bonne et heureuse année!


Max Hauri et la Ron’s Org de Grenchen: Erica, Melinda, Verena, Dirk, Jean et tous ceux qui nous aident à mettre la Ron’s Org là, chaque jour.

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