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  • Le Phénomène de mort

    Introduction: Nous en savons donc beaucoup sur ce qui se passe entre la naissance et la mort , mais que savons-nous vraiment de ce qui se passe entre la mort et la naissance ? L. Ron Hubbard nous a donné les outils pour en apprendre davantage et cesser d’avoir peur et de ne pas savoir ce qu’est la mort. Lesen Sie den einführenden Brief von Max Hauri zu diesem Artikel weiter unten. Un extrait de la conférence «Mort» donnée par L. Ron Hubbard le 30 juillet 1957 Ce n’est qu’en Scientologie que les mécanismes de la mort ont été compris en profondeur. Jusqu’à présent, le sujet de la mort était l’un des plus mystérieux pour l’Homme. Nous sommes en fait les premières personnes à en savoir beaucoup sur la mort. C’est l’une des plus grandes réussites de la Scientologie. Tout d’abord, l’Homme est composé d’un corps, d’un mental et de ce que nous appelons un thétan – le mot scientologue pour l’esprit, l’être individuel lui-même qui gère et vit dans le corps. Un moyen très efficace de le démontrer est de dire à une personne: «Regarde ton corps. Est-ce que tu as un corps là?» Puis dites-lui: «Fais-toi une image mentale d’un chat». Il aura l’image d’un chat. Cette image est une image mentale et fait partie du mental. Le mental est composé d’images qui s’associent, agissent et véhiculent des perceptions. Pendant que la personne regarde cette image actuelle, demandez-lui: «Qu’est-ce qui la regarde?» Personne n’a jamais posé cette question auparavant! C’est une question tout à fait innocente, mais cette formulation particulière et cette démonstration particulière des parties de l’Homme étaient inconnues avant la Scientologie. Cette procédure donne à une personne une réalité subjective considérable sur l’idée qu’elle est elle-même un être indépendant d’un mental ou d’un corps. Il y a là une séparation réelle. L’Homme pensait avoir un esprit humain. C’est totalement faux. L’Homme est un esprit humain qui est plus ou moins enveloppé dans un mental qui est dans un corps. C’est l’Homo sapiens. C’est un esprit et sa résidence habituelle est dans sa tête. Il regarde les images de son mental et son corps le transporte. Qu’arrive-t-il à l’Homme quand il meurt? Fondamentalement, tout ce qui se passe est une séparation se produisant entre le thétan et le corps. Toutefois, le thétan emporte avec lui de vieilles boîtes de conserve, des chaînes qui s’entrechoquent, du bric-à-brac et d’autres phénomènes énergétiques dont il a l’impression de ne pas pouvoir se passer, et les cache dans le prochain corps qu’il récupère. En cette époque paresseuse d’articles manufacturés et de gadgets, il ne construit pas un nouveau corps. Il prend un corps qui est fabriqué selon un certain schéma [blueprint] qui a été appliqué depuis les temps les plus anciens de la vie sur cette planète jusqu’à aujourd’hui. Il existe un cycle d’action: créer-survivre-détruire. À l’extrémité de la courbe, un individu est surtout intéressé par la survie. Au début de la courbe, il s’intéresse à la création. Et à la fin de la courbe, il s’intéresse à la liquidation des restes. Ce cycle d’action se produit, que l’on parle d’un bâtiment, d’un arbre ou de toute autre chose. Lorsque nous appliquons ce cycle d’action aux parties de l’Homme, nous obtenons une mort du corps, une mort partielle du mental et une condition d’oubli de la part de l’être spirituel qui est en soi un type de mort. La première chose que l’on devrait apprendre sur la mort, c’est qu’il n’y a pas lieu d’en avoir très peur. Si vous avez peur de perdre votre portefeuille, si vous avez peur de perdre votre mémoire, si vous avez peur de perdre votre petite amie ou votre petit ami, si vous avez peur de perdre votre corps – eh bien, c’est ainsi que vous devriez avoir peur de mourir, car tout cela est du même ordre de grandeur. Nous constatons le premier phénomène observable dans la mort lorsque nous découvrons que l’esprit, malgré les mécanismes qui cherchent à le détruire et à l’anéantir, maintient et conserve des images mentales d’existences antérieures. Avec une technologie appropriée et une bonne compréhension de ce phénomène, il est possible de retrouver les images mentales d’existences antérieures afin de comprendre ce qui s’est passé. Mais à moins que le souvenir ne soit restauré à l’ être , les images mentales continuent généralement à être des images. Sans ce souvenir, envoyer quelqu’un dans une vie antérieure et lui faire regarder une image mentale serait comme l’envoyer dans une galerie d’art. Il ne se connecterait pas à cette image. La restauration de la mémoire est donc d’un grand intérêt, car tout ce qui ne va vraiment pas chez une personne, c’est qu’il lui est arrivé des choses qu’elle sait, mais qu’elle ne veut pas dévoiler. La restauration de la mémoire fait partie intégrante de toute audition de Dianétique ou de Scientologie. Il est impossible aujourd’hui d’auditer quelqu’un de manière efficace et experte sans que, tôt ou tard, il ne se rappelle de la réalité d’une existence passée. Les vies antérieures peuvent être facilement invalidées car, sans audition, il est difficile de s’en souvenir. La volonté propre d’un individu a beaucoup à voir avec cela. Il ne faut pas chercher des sources extérieures pour expliquer pourquoi sa mémoire est éteinte. Tout comme il doit autoriser d’être piégé, il doit donner la permission de se souvenir. Il est plus ou moins convaincu qu’un souvenir, se remémorer ce sujet appelé la mort, lui ferait revivre la douleur qu’il estime déjà avoir été trop forte pour lui. Il est donc très réticent à confronter à nouveau ce mécanisme, et en faisant face à la mort, il tombe presque toujours dans un certain niveau d’amnésie. C’est très bien d’adopter une attitude scientifique vis-à-vis de la mort, mais après tout, elle entraîne un certain choc et un certain bouleversement. Tant que vous n’avez pas été mort plusieurs fois, vous ne pouvez pas comprendre à quel point cela peut être bouleversant! Nous sommes en fait redevables d’une grande partie de nos matériaux relatifs à ce sujet, au fait étrange que j’ai été officiellement mort deux fois dans cette vie. Une fois, dans les années 30, je suis mort lors d’une opération et suis sorti dans la rue, m’apitoyant sur mon sort et j’ai décidé qu’ils ne pouvaient pas me faire ce coup-là. Le cœur du corps avait cessé de battre, et je suis retourné et j’ai saisi le corps par le biais des mécanismes qui stimulent ses battements cardiaques dans la tête. Je les ai saisis et j’ai ramené le corps à la vie. La seule raison pour laquelle je mentionne cela est que cela arrive à tant de gens et qu’ils n’en parlent jamais. Ils meurent et reviennent à la vie. Puis quelqu’un les invalide, et ils n’en parlent plus jamais. Normalement, lorsqu’une personne meurt, elle sort de son corps en pensant à ses responsabilités, en sachant qui elle est, où elle a été et ce qu’elle a fait. Si elle est dans une condition quelconque, c’est ce qui se produit. Il se retire au moment de la mort avec toute sa mémoire. Quelque chose tue le corps d’une personne – une automobile, trop de procès, une overdose de somnifères largement médiatisés. Au moment où elle conçoit qu’elle n’est plus fonctionnelle de quelque manière que ce soit, elle se retire. En général, une occlusion totale ne se produit pas à ce moment-là. Il n’est pas vrai qu’un thétan s’éloigne du corps et qu’ensuite il ne s’en soucie plus ou l’oublie complètement. Preuve en est qu’on a rapporté des cas où un thétan est sorti de sa tête, est devenu fou à lier et a donné des coups de pieds au gars qui l’avait tué. Cela a rendu toute la théorie des esprits très impopulaire. Les gens ont essayé de l’oublier, de sorte que lorsqu’ils se sont mis à tuer des gens, ils n’ont pas eu de contre-coup immédiat. Certaines personnes voulaient l’oublier, pensant qu’elles pouvaient ainsi commettre un crime sans avoir à en souffrir. L’Homme a énormément capitalisé sur les phénomènes entourant la mort. Regardez dans n’importe quel quartier – vous verrez que s’il y a un bâtiment bien entretenu, c’est généralement un salon de beauté. Pourquoi est-il facile de tirer profit de la mort? Parce que quand les gens pensent à la mort, ils pensent à la perte et saisissent quelque chose. Cela explique le comportement des proches après le décès d’un membre de leur famille. Tout le monde s’y met en se disputant les vêtements de la personne décédée et en se battant pour ses biens. ils sont encore vivants mais ils ont expérimenté une perte d’avoir et se penchent sur les effets de cette personne en particulier. Dans une certaine mesure, ils essaient vraiment de récupérer la personne. Ils pensent que s’ils peuvent s’emparer de suffisamment de possessions, ils pourront récupérer la personne. En fait, ce n’est pas aussi cupide que cela en a l’air, c’est simplement obsessionnel. J’ai vu des proches par exemple, reprendre les choses les plus bizarres. Une fois, j’ai vu une vieille dame hurler parce que quelqu’un ne voulait pas lui donner la pipe en écume d’un ami. Je lui ai fait remarquer qu’elle ne fumait pas la pipe en écume, et elle m’a regardé d’un air hébété, puis elle s’est réveillée et a dit: «Eh bien non, je ne fume pas», et l’a tendue à quelqu’un d’autre. C’était un souvenir, un symbole de la personne qui venait de partir. Le comportement précis au moment de la mort peut varier d’une personne à l’autre. Une personne qui devait «avoir» énormément s’éloignerait tellement loin d’un corps et serait susceptible de dire: «Je m’en fiche, je ne veux pas vivre de toute façon, j’ai été très malheureuse toute cette vie et je suis terriblement contente de m’en ficher.» Une autre personne est tout aussi susceptible de ne même pas y penser. Mais cette personne était si peu vivante quand elle était vivante, que sa vivacité après sa mort est également négligeable. Chez une personne qui est assez forte et capable, il y a une réaction intéressante à la mort du corps: «Je vais leur montrer qu’ils ne peuvent pas me mettre hors-jeu.» Cela le met en colère et le bouleverse, et il fait un plongeon à l’autre bout du pays, voit une maternité et saisit un corps de bébé. L’extériorisation qui se produit à la mort est très fascinante car la personne en est totalement consciente. Elle sait qui elle est; elle a généralement une assez bonne perception; elle sait où sont ses amis. Présenter comme un phénomène spirituel fantastique le fait que quelqu’un apparaisse à un ami après sa mort à plusieurs milliers de kilomètres de là est un peu comme être très surpris qu’une serveuse vienne à votre table dans un restaurant. Il arrive aussi que les gens se réveillent la nuit et se rendent compte que quelqu’un est mort de façon violente. Cela est généralement dû à la quantité de confusion jetée dans un être lorsque son corps est tué. Si une personne est tuée avec une violence soudaine et qu’elle en est très surprise, elle peut être suffisamment bouleversée et peu philosophe à propos de tout cela pour aller voir ses proches et le reste de ses amis dans une hâte frénétique, en essayant de se rassurer qu’elle n’est pas allée au purgatoire ou ailleurs. Il a subi une perte de masse. Si vous aviez une voiture garée dans la rue et que vous sortiez en vous attendant à la trouver là et qu’elle n’y était plus, vous seriez bouleversé. C’est à peu près l’état d’esprit dans lequel se trouve habituellement un thétan lorsqu’il découvre son corps mort. Sa principale pensée est de saisir un autre corps. Il pourrait le faire en trouvant un jeune enfant qu’il pourrait ramener à la vie. Mais l’entrée ordinaire d’un thétan dans un nouveau corps se situe à un moment donné autour de ce que nous appelons l’ assomption , et l’assomption se produit quelques minutes après la naissance dans la plupart des cas. Le bébé est né et ensuite un thétan prend le corps du bébé. Comment se comportent les thétans quand ils n’ont soudainement plus de corps? Ils se comportent comme des gens. Ils vont rôder autour des gens. Ils verront une femme enceinte et la suivront dans la rue. Ou bien ils vont se poster à l’entrée du service des urgences et trouver un corps tout cabossé et l’être qui avait ce corps est parti ou est sur le point de le faire. Il peut même prendre ce corps et se faire passer pour le mari de quelqu’un. Les thétans font toutes sortes de choses bizarres. Quand un nouveau corps est récupéré, si tant est qu’un nouveau corps soit récupéré, ce n’est pas défini, si ce n’est que cela se produit généralement (à moins que le thétan n’ait une autre idée) deux ou trois minutes après que la mère ait accouché d’un enfant. Un thétan le récupère généralement au moment où le bébé prend sa première inspiration. Le corps continuerait-il à vivre sans qu’un thétan le récupère? C’est à côté de la question. Il s’agit de savoir à quelle vitesse le thétan peut le récupérer avant que quelqu’un d’autre ne le fasse. Il y a une certaine anxiété liée à cela. Les thétans prononcent souvent des prières très intéressantes au moment où ils récupèrent un corps. Ils se consacrent à continuer de grandir ainsi qu’à la famille et se livrent à toutes sortes de rituels étranges, tout cela parce qu’ils sont si heureux d’avoir un nouveau corps. Mais ce qui est étrange, c’est qu’ils ne désactivent pas leur mémoire jusqu’à ce qu’ils prennent un autre corps. La désactivation de la mémoire se produit en fait avec la prise en charge du nouveau corps. La mort est en soi un sujet technique. Vous pouvez, avec une grande confiance, rassurer un mari dont la femme vient de mourir en lui disant qu’elle s’en est bien sortie et qu’elle est partie quelque part pour prendre un nouveau corps. Si vous arrivez sur place alors que la personne peut encore communiquer avec vous, dans les derniers instants, vous constaterez qu’elle a généralement quelque chose de prévu, de planifié. La personne ne se retire pas d’ordinaire et oublie tout. Elle se retire avec une identité complète et reste dans les parages pendant un certain temps. L’être est généralement présent pour les funérailles, bien sûr. Il restera très souvent autour de ses biens pour s’assurer qu’ils ne sont pas maltraités, et il peut être contrarié si ses souhaits ne sont pas respectés en ce qui concerne certaines choses. Autrefois, il arrivait que des thétans punissent les gens qui ne respectaient pas leurs souhaits après la mort. Les gens disaient alors que c’était de la superstition, et que la science était contre la superstition. Eh bien, il est assez intéressant de constater qu’en découvrant ce qu’est la science et ce qu’est la superstition, nous avons découvert qu’un être est capable de presque tout, pourvu qu’il soit capable de l’exécuter. Perdre son portefeuille, un bien précieux ou son corps, c’est du pareil au même. Mais à cause du mécanisme de l’oubli, on en fait un grand mystère. Et c’est la mort, le phénomène de la mort. L. Ron Hubbard Chers amis, Il y a beaucoup de choses que nous ne comprenons pas; et si je peux confirmer quelque chose, c’est que plus on en sait, plus on se rend compte à quel point on en sait peu. Par nature, on s’occupe en premier lieu de ce qui nous entoure: nos semblables et l’univers physique, que nous appelons aussi MEST (Matière, Énergie, eSpace et Temps). Nous en savons donc beaucoup sur ce qui se passe entre la naissance et la mort , mais que savons-nous vraiment de ce qui se passe entre la mort et la naissance ? Voici une citation appropriée tirée de l’article ci-dessous: «C’est bien beau d’adopter une attitude scientifique face à la mort, mais elle est tout de même associée à un certain choc et à une certaine contrariété. Avant d’être soi-même mort quelques fois, on ne comprend pas à quel point cela peut être effrayant!» Je trouve que cela résume bien la situation! Et comme notre corps est une espèce très éphémère dans notre galaxie, avec une espérance de vie moyenne de 80-85 ans maximum, nous pouvons tout à fait nous y entraîner. Cela peut paraître très cynique, mais si je peux écrire cela, c'est parce que L. Ron Hubbard nous a donné les outils pour en apprendre davantage et cesser d’avoir peur et de ne pas savoir ce qu’est la mort. J'ai vu de mes propres yeux combien de Clairs et d’OTs ont précisément atteint cette capacité. Car: «La première chose à apprendre sur la mort est qu’elle n’est pas quelque chose dont il faut avoir peur. Si vous avez peur de perdre votre portefeuille, peur de perdre votre mémoire, peur de perdre votre petite amie ou votre petit ami, peur de perdre votre corps – eh bien, c’est la peur que vous devriez avoir de mourir, car tout cela est du même ordre.» Quelle que soit votre opinion sur le sujet, voici un article extrêmement intéressant à lire, avec des réponses intéressantes. Je suis à votre disposition pour toute question. Meilleures amitiés, Max Hauri

  • Le Chemin vers la Connaissance

    Introduction: «Pour atteindre l'illumination suprême, il faut être capable de reconnaître spontanément sa propre nature d'être, qui n'est pas créée et ne peut être effacée.» Lisez la lettre d'introduction de Max Hauri à cet article ci-dessous ​ Le Chemin vers la Connaissance –  Advance! 25 Tout au long de son parcours sur cette planète, l’Homme a cherché les réponses de sa propre existence. Ces réponses ont pris une variété presque déconcertante d’expressions. Advance! estime qu’il est important pour vous de connaître l’histoire ancienne des efforts passés de liberté. Après tout, l’histoire spirituelle de l’Homme est l’histoire la plus fondamentale de cette planète. La recherche de l’Homme par rapport à lui-même a été le moteur de tous les progrès, malgré ce que prétendent les matérialistes . Mais comme ils estiment que l’Homme est un animal, ils ne peuvent parler que pour le règne animal, pas pour nous. Ainsi soit-il. C’est pourquoi Advance! estime que vous devez connaître l’historique complet des Cours Avancés. Lorsque l’on voit les millions de réponses que l’Homme a choisies pour son destin, on apprécie encore plus l’incroyable exploit de L. Ron Hubbard qui a su choisir, parmi une infinité d’erreurs, la seule voie directe qui mène à l’accomplissement des objectifs spirituels ultimes. Cette voie est plus qu’une voie: c’est un large pont brillant vers la liberté totale à travers le gouffre de l’oubli et du désespoir. L’Homme n’a pas eu de véritable pont avant. Le plus grand effort de liberté antérieur a été entrepris par Siddhartha Gautama (563-483 av. J.-C.), Bouddha. Son œuvre, connue sous le nom de religion bouddhiste, a été la première mission civilisatrice largement réussie de l’homme. Elle a été décisive non seulement pour l’Asie, mais aussi pour l’Occident. Par exemple, le message chrétien d’amour et la méthodologie scientifique de la Renaissance peuvent être historiquement retracés à l’œuvre de Siddhartha Bouddha. En fait, son œuvre était si omniprésente que les historiens ultérieurs pourraient bien considérer la période de 2 500 ans, allant de 550 avant J.-C. À 1950, comme étant essentiellement une ère de civilisation bouddhique. En 1950, cette époque était en débâcle complète et le monde se retrouvait sans direction, au bord du gouffre d’un nouvel âge de barbarie. C’est pendant ce hiatus [ espace vide qui doit être comblé ] que la Dianétique: La Science Moderne de la Santé Mentale a été publiée par L. Ron Hubbard, marquant ainsi le début d’une nouvelle ère de civilisation mondiale fondée sur la Scientologie. ​ La scission du bouddhisme Aussi puissante que soit la tradition bouddhique, elle a échoué à garantir sa propre intégrité et a ainsi semé les graines internes de sa propre décadence. Moins de 200 ans après la mort de Bouddha, un combat s’était déjà engagé entre ses héritiers spirituels pour savoir ce qu’il voulait vraiment dire. Des centaines de sectes et d’écoles de bouddhisme sont apparues par la suite, chacune épousant à ses propres yeux le bouddhisme essentiel. Dans ce kaléidoscope d’interprétations religieuses, les leçons originelles de Bouddha se sont obscurcies et perdues dans une large mesure (voir Advance! 23 pour une analyse du bouddhisme originel). Pourtant, l’inspiration de l’enseignement de Bouddha a continué de pousser les hommes à exprimer leurs plus grands espoirs dans leurs civilisations. Parmi ces centaines d’approches du bouddhisme, on peut distinguer des points forts, dont chacun constitue un chapitre important de l’histoire spirituelle de l’Homme. Ces points forts sont exprimés dans le tableau accompagnant cet article et résumés ci-dessous. Le bouddhisme Theravada, qui signifie «Enseignement des Anciens», se fonde sur le plus ancien canon bouddhique [ le canon bouddhique est l’ensemble des textes attribués d’une part à Bouddha lui-même et d’autre part aux différentes interprétations qui ont complété sa doctrine ] existant. Cette fabuleuse collection d’enseignements de Bouddha a été transmise verbalement par ses disciples immédiats et finalement transcrite 400 ans plus tard, au premier siècle avant Jésus-Christ. À cette époque (premier siècle avant J.-C.), de nouveaux textes bouddhiques ont commencé à être rédigés, qui élaboraient ou interprétaient l’un ou l’autre des enseignements de Bouddha. Ces développements ont été connus sous le nom de bouddhisme Mahayana (signifiant le Grand Véhicule), un titre de «relations publiques» créé par les Mahayamistes pour contraster leur propre approche de celle des Theravadans qui l’appelaient le Hinayana (Petit Véhicule). À partir des racines du bouddhisme Mahayana se sont développées deux autres écoles importantes: le lamaïsme (voir Advance! 24, «Le mystère du lamaïsme») et le bouddhisme Ch’an en Chine, ou son équivalent japonais – le bouddhisme Zen. ​ Bouddhisme zen Le bouddhisme Zen présente un intérêt particulier car il a fait sensation, pour diverses raisons, en Occident dans la première moitié du 20ème siècle. Pour cette raison, certains ont considéré Zen comme un développement récent, mais bien au contraire, il était connu sous le nom de Ch’an dans la Chine du 7ème siècle. En fait, Zen est la façon japonaise de dire Ch’an et Ch’an est la façon chinoise de dire Dhyana, un mot indien de grande ancienneté signifiant « connaissance ». Le transmetteur de ce qui est devenu le bouddhisme Ch’an (Zen) était un personnage presque légendaire nommé Bodhi Dharma (signifiant «Celui qui est éveillé à la vérité totale»), arrivé en Chine de l’Inde, vers 520 après J.-C. Aux yeux des Occidentaux, Bodhi Dharma est parfois considéré comme le fondateur du bouddhisme Ch’an ou Zen. Cela serait incorrect. Il ne se voyait que comme un transmetteur, le 28ème successeur de Bouddha Gautama lui-même. L’approche distinctive du bouddhisme Ch’an est attribuée à Bodhi Dharma. Lorsqu’on lui a demandé quelle était l’autorité de son interprétation, Bodhi Dharma a cité le «sermon» suivant de Bouddha. On raconte qu’un jour, au lieu de parler de l’enseignement, Bouddha éleva une fleur de lotus au-dessus de sa tête. Tous ses disciples étaient perplexes, à l’exception d’un seul qui, par son léger sourire, indiqua qu’il avait compris, ce qui incita Bouddha à le désigner comme son successeur secret. Le sermon de la fleur et le quatrain de Bodhi Dharma résument l’approche distinctive du Ch’an/Zen: «Une transmission spéciale en dehors des Écritures, Aucune dépendance à l’égard des mots et des lettres, Orientant directement vers l’âme de l’Homme, Voyant dans sa propre nature.» En fait, le bouddhisme Ch’an ou Zen est le bouddhisme indien vu à travers les yeux du taoïsme, le grand développement philosophique chinois. L’approche intuitive, l’importance moindre accordée aux écritures, tout cela est caractéristique du taoïsme: «La voie dont on peut parler n’est pas la Voie.» [ Les premiers vers du Tao Teh King «Le Livre de la Voie et Son Pouvoir» (voir Advance! 18 pour l’article «La signification de La Voie», une analyse du taoïsme.) ] Au lieu des écritures, le bouddhiste Ch’an s’est tourné vers l’exemple de l’acte de Bouddha qui atteignit l’illumination sous le figuier près de Gaya dans le nord-est de l’Inde. C’est cette expérience que Ch’an (Zen) cherche à imiter et ainsi atteindre l’illumination ou Bodhi, de la même manière directe que Bouddha. L’expérience essentielle du bouddhisme Ch’an-Zen est bien sûr l’expérience principale du bouddhisme originel: l’expérience de sa propre nature spirituelle, différente de la chair ou de l’univers physique. ​ «Pour atteindre l’illumination suprême, il faut être capable de connaître spontanément sa propre nature, qui n’est ni créée ni ne peut être annihilée.» Par exemple, Hui-Neng, le maître le plus réputé Ch’an (638-713), déclare: «Pour atteindre l’illumination suprême, il faut être capable de connaître spontanément sa propre nature, qui n’est ni créée ni ne peut être annihilée.» Le mot japonais pour l’illumination est «Satori». Malheureusement, dans une certaine mesure, la simplicité de cet objectif fondamental a été accablée par diverses significations et interprétations. Par exemple, on disait plus tard à l’étudiant Zen qu’il se rendrait compte qu’ il était tout : «Tu es moi, je suis toi, je suis cette automobile, etc». Par conséquent est apparue une condition connue comme étant «beurré dans tout l’univers». Hui-neng parle d’un niveau «harmonique» beaucoup plus élevé de cette condition, où un être peut être tout et n’importe quoi à volonté tout en conservant son propre état d’être . Indépendamment des interprétations erronées, c’était la condition de niveau supérieur que les maîtres originels avaient envisagée. Bien sûr, tout le monde n’avait pas la capacité de Bouddha à atteindre l’état de Bouddha ou Bodhi. En fait, à l’apogée du bouddhisme Ch’an, sous Hui-neng, nous trouvons le post-scriptum suivant (d’un disciple proche) de sa fameuse autobiographie: «Pendant trente-sept ans, il a prêché au bénéfice de tous les êtres sensibles. Quarante-trois de ses disciples atteignirent Bodhi, tandis que ceux qui atteignirent une certaine mesure d’illumination et sortirent ainsi de l’ornière de la vie ordinaire étaient trop nombreux pour être dénombrés.» Plus tard, le bouddhisme Ch’an tenta de développer diverses méthodes pour améliorer ce résultat, mais depuis l’accord de Hui-neng, aucune statistique n’a été publiée! La technique Ch’an-Zen peut se résumer en trois mots: Zazen, Koan, Mondo. En fait, la technologie Ch’an Zen n’a jamais dépassé ce que les scientologues reconnaîtraient comme une forme rudimentaire de l’Exercice d’Entraînement Zéro [ TR 0: Un exercice de scientologue débutant dans lequel deux étudiants acquièrent l’aptitude d’être là confortablement et de confronter ] qui, dans sa forme hautement développée, est un exercice de début de Scientologie. Bien que rarement atteint, ou atteint après un travail long et ardu, «être là» était le plus haut niveau d’expertise technique reconnaissable dans le Ch’an Zen. Cela pourrait décrire le but de Zazen, un exercice de méditation Zen. Le Kung-an (chinois) – ou Koan (japonais) – était une énigme destinée à surmonter les tentatives excessives de résoudre les choses en y pensant au lieu d’être là. Par exemple, le Koan «Quel est le son d’une main frappant dans les mains» ne peut être résolu en y réfléchissant. Il s’agissait plutôt d’une tentative de provoquer une nouvelle compréhension de la part de l’étudiant Ch’an-Zen. Comme le dit Alan Watts, célèbre interprète occidental du Zen, «lorsque l’élève est amené à une impasse intellectuelle et émotionnelle (en contemplant le Koan), il (le Koan) comble le fossé entre le contact conceptuel de seconde main avec la réalité et l’expérience de première main». L’autre «technologie-clé» bouddhique, était appelée mondo, une forme embryonnaire [ à un stade précoce incomplet non développé ] d’Exercice d’Entraînement Zéro avec Harcèlement [ TR 0 Harcèlement: Une étape supérieure du TR 0. Le terme Harcèlement provient de l’action d’appâter un taureau, lequel ensuite, réagit. Dans le TR 0 avec Harcèlement, un étudiant acquiert l’aptitude d’être présent confortablement et de confronter malgré les distractions d’un autre étudiant ] où le maître tentait de «déconcerter» ou de distraire l’élève par des actions soudaines et inattendues, de la violence physique, des réponses insensées, etc. Ainsi, la forme «idéale» du Ch’an-Zen était un individu éclairé qui pouvait «être», qui pouvait apprécier pleinement le «maintenant» (c’est-à-dire le temps présent) et qui, comme le spécialiste Judoka, ne pouvait pas être déconcerté ou submergé par la vie. Ch’an a été introduit au Japon sous la forme du Zen au 11ème ou 12ème siècle, où il est devenu un mode de vie. La culture japonaise devint «Zen-bouddhafisée». La coutume japonaise de boire du thé n’était pas simplement un rituel social mais un acte religieux délibérément créé par les Zénistes. Le jardinage, l’art floral, l’architecture, l’art, la poésie et même les arts martiaux japonais étaient considérés comme des expressions de l’illumination Zen dans la vie quotidienne. Par exemple, le tir à l’arc Zen était une procédure très évoluée par laquelle l’archer cherchait à s’entraîner à être pleinement conscient de toutes les actions impliquées – et au point critique précis de la libération de la flèche, à atteindre une libération spirituelle. Le bouddhisme Ch’an a commencé à décliner en Chine après la grande époque du bouddhisme chinois au 10ème siècle. Et maintenant Zen, avec son exportation au Japon est aussi en train d’agoniser, coïncidant avec l’occidentalisation du Japon. ​ Le Secret? Nous voici donc presqu’à la fin de cet article et vous vous demandez: «Mais quel était le secret du sermon de la fleur?!» Il n’y en avait pas. Ch’an et Zen étaient un effort pour contourner le nombre presque submergeant d’écritures bouddhiques qui s’étaient accumulées au 5ème siècle et revenir à ce que ses adhérents considéraient comme le bouddhisme fondamental. Dans le silence du «sermon de la fleur», la réponse était exprimée pour eux: L’État d’Être est supérieur à «réfléchir à». L’expérience directe est supérieure à la connaissance de seconde main. Mais Bouddha a dit ceci – et bien plus encore – et n’a rien caché de ce qu’il savait, malgré le fait que ce qu’il disait était imparfaitement transmis et altéré. ​ Résumé Les bouddhismes Ch’an ou Zen ont été des jalons sur la piste spirituelle de l’Homme qui ont inspiré une expression sans pareil de la culture et de l’art sino-japonais. Les anciens maîtres du Ch’an-Zen n’ont pas réussi à obtenir les résultats qu’ils souhaitaient en raison du manque de technologie permettant de gérer le mental et de créer des aptitudes humaines. Ce gouffre (le manque de technologie) a été l’obstacle à tous les efforts de liberté de l’Homme dans le passé. Aujourd’hui, avec la Scientologie, son fondateur L. Ron Hubbard a jeté un pont au-dessus du gouffre afin que les anciens objectifs de liberté spirituelle puissent être universellement atteints. Sur le plan linguistique, la Scientologie est le mot occidental de Zen-Ch’an-Dhyana. Il existait donc en Orient une tradition ininterrompue qui a été portée à un point de succès total en Occident dans la seconde moitié du 20ème siècle. Alors que le monde s’effondrait, l’étoile de la Scientologie montait en flèche, marquant le début d’un nouvel âge d’or pour cette planète. L. Ron Hubbard Chers Amis, Voici l'article «Le ch emin vers la connaissance», initialement publié dans le magazine Advance! 25. En voici deux extraits importants : «Pour atteindre l'illumination suprême, il faut être capable de reconnaître spontanément sa propre nature d'être, qui n'est pas créée et ne peut être effacée.» «L'expérience directe est supérieure à la connaissance de seconde main.» Je vous souhaite une excellente lecture. Meilleures amitiés, Max Hauri

  • Qu'est-ce que la Scientologie?

    Introduction: Découvrez ce qu'est vraiment la Scientologie, pourquoi nous sommes si enthousiastes à son sujet. Il n'est pas nécessaire de faire partie d'un groupe pour l'utiliser. Qui n'a pas envie d'être plus heureux, plus intelligent, en meilleure santé? Qui ne veut pas profiter de ses bienfaits? Les livres et exercices sont à votre disposition gratuitement sur ce site. Edité selon les écrits de L. Ron Hubbard – Magazine Certainty VI-2 La Scientologie est le plus bel espoir de l’Homme, dans la vie personnelle et publique. Première science du mental, elle a vaincu beaucoup d’oppositions pour atteindre son niveau actuel de notoriété. La Scientologie est l’espoir de l’Homme à l’ère de la machine atomique. Le terme Scientologie est tiré de Scio , qui signifie connaître dans le sens le plus complet du terme, et de logos , étudier. La Scientologie, utilisée par une personne formée ou même peu formée, améliore l’intelligence, les capacités, le comportement, les compétences et l’apparence des gens. Elle est employée par un auditeur (un praticien de Scientologie) sur des individus, ou avec de petits ou grands groupes de personnes. L’auditeur fait faire à ces personnes (à leur choix) divers exercices, et ces exercices entraînent des changements positifs dans l’intelligence, le comportement, la compétence générale et l’autodétermination. L’emploi de ces exercices est appelé audition. La meilleure utilisation de la Scientologie est l’audition et l’éducation (ou formation) en Scientologie. Il est intéressant de constater que les gens n’ont besoin d’étudier la Scientologie que pour avoir une certaine augmentation de leurs propres intelligence, comportement et compétence. L’étude elle-même est thérapeutique, par des tests réels. Les Ron’s Orgs sont en possession de nombreuses histoires de cas et de dossiers individuels. Aucune autre matière sur Terre, à l’exception de la physique et de la chimie, n’a subi de tests aussi rigoureux. La Scientologie est utilisée par certaines des plus grandes organisations commerciales de la planète. Elle est validée. Elle a été testée. La Scientologie englobe tout le champ de la connaissance et inclut dans ce champ le mental humain, qui est un ordinateur et un réceptacle de la connaissance. L’essence de la Scientologie est son caractère pratique : son application est large et ses résultats sont uniformément prévisibles. Dans le domaine du mental humain, elle est mieux utilisée pour «rendre les gens capables plus capables» plutôt que pour «traiter» les psychotiques, névrosés ou malades psychosomatiques. Mais son application à ces derniers, lorsqu’elle est effectuée par des scientologues compétents et correctement formés, constitue la seule psychothérapie parfaitement validée, connue de l’Homme aujourd’hui. Dans le premier livre, Dianétique: la Science Moderne de la Santé Mentale (link) de L. Ron Hubbard, des techniques sont présentées pour mettre en évidence, puis pour triompher de toute manifestation mentale connue dans le domaine de la folie et des aberrations. Environ 70% des maux de l’Homme peuvent être corrigés à un coût, en temps et en argent, inférieur à tout autre effort similaire et avec une efficacité supérieure. Le traitement des psychoses, des névroses et des maladies psychosomatiques n’est cependant pas le but du scientologue. Tant que l’accent est mis sur l’aptitude, les dysfonctionnements disparaissent. L’objectif du scientologue va dans le sens de l’aptitude. S’il augmente l’aptitude générale de l’individu dans tous les domaines, alors bien sûr, toute déficience telle que celle représentée par la psychose, la névrose et la maladie psychosomatique disparaîtra. La Scientologie n’entre nulle part en conflit avec la vérité, et on constatera qu’elle est en accord avec les faits connus dans tous les domaines qu’elle recoupe. Elle n’est en conflit avec aucune vérité religieuse. Au contraire, elle a quelque chose à offrir à tous, chrétiens, juifs, bouddhistes, mahométans, agnostiques et athées. Elle n’essaie pas de changer les croyances, la doctrine ou le crédo de l’église de l’individu; au contraire, elle l’amène à mieux les comprendre, quels qu’ils soient. Elle l’aidera à comprendre l’humanité sur Terre et à trouver ce bonheur dans la vie dont on parle beaucoup mais qu’on trouve rarement. Le simple fait de donner plus de compréhension à ceux qui l’entourent pourrait être considéré comme une mission suffisante pour un scientologue bien formé; car en faisant cela, il augmenterait certainement leur aptitude. En augmentant cette compétence, il serait capable d’augmenter leur vie. Comment vous y prendriez-vous pour faire quelque chose? Eh bien, si vous dépendez pendant longtemps des autres pour faire quelque chose, ou si vous dépendez de la force, vous échouerez. La seule personne qui peut insuffler plus de vie, plus de compréhension, plus de tolérance et plus d’aptitudes dans l’environnement est vous-même, simplement en étant dans un état de compréhension supérieure. Sans même être actif dans le domaine de l’audition, juste en étant plus capable, vous pouvez résoudre beaucoup de de problèmes et difficultés pour ceux qui vous entourent. Nous ne cherchons pas ici à vous faire accepter ce que nous disons sans poser de questions. Nous vous demandons de le remettre en question. Nous vous demandons de regarder l’univers physique qui vous entoure – de regarder les gens et votre propre mental et de comprendre ainsi que ce dont nous parlons est réel et vrai. Nous ne vous donnons pas de nouvelles choses. Nous vous donnons des choses anciennes. En comprenant ces choses anciennes que nous avons redécouvertes, vous devenez libres. L’accent est mis sur l’aptitude. L. Ron Hubbard

  • Présence éthique

    Introduction: Ce très bel article, applicable aussi bien par les cadres que par les collaborateurs, les parents et toute personne ayant à faire à une tierce personne vous éclairera sur l'ingrédient manquant dans toute entreprise qui a de la peine à aller de l'avant. Lisez la lettre d'introduction de Max Hauri à cet article ci-dessous. Présence éthique – HCO PL 4 octobre 1968 Publication II La raison pour laquelle un Cadre peut être obéi est qu’il a une Présence Éthique. Si vous ne l’avez pas, vous n’obtiendrez pas d’obéissance. Lorsque vous donnez des ordres vous faites usage de puissance et de force. Si en plus vous êtes juste dans vos exigences et si vos programmes sont clairs, corrects et bénéfiques, alors les gars, vous gagnerez. Mais ce n’est pas la justesse d’un programme qui fera qu’il sera exécuté. C’est la Présence Éthique. Le fait d’avoir raison n’entraîne pas l’obéissance parce qu’il y a toujours des contre-intentions qui font obstacle. Si vous croyez que tout un chacun veut que les choses marchent droit, attendez-vous aux pires désordres. Seul un petit nombre voit les choses telles qu’elles sont et est relativement peu aberré. Les hommes feront leur travail seulement parce que vous avez des baïonnettes pour les forcer à le faire. La Présence Éthique est une qualité X faite en partie de symbolisme, en partie de force, de quelques «Maintenant nous sommes censés...» et d’endurance. Une des raisons pour laquelle la presse imprime maintenant ce que nous disons, c’est que nous avons résisté aux plus grands coups que quiconque ait jamais reçus. Et ainsi, nous avons gagné publiquement une Présence Éthique. L’endurance assure la véracité «d’invulnérabilité». Nous sommes encore là et nous ne pouvons être défaits. Ceci rend les SP [ Personnes suppressives ] enragés. Grâce à l’Organisation Maritime, [ Organisation de Scientologie présente en haute mer de 1967 à 75 ] nous semblons avoir une capacité d’atteinte illimitée et, d’une façon quelque peu mystérieuse, des ressources illimitées. La capacité d’apparaître et de disparaître mystérieusement fait partie de la Présence Éthique. En tant que Cadre vous obtenez l’exécution de vos ordres parce que vous avez de la Présence Éthique et de la persistance et que vous pouvez être acharnés. La façon de continuer à avoir de la Présence Éthique est d’avoir raison le plus souvent possible dans vos actions, décisions et ordres. Parce que, si vous avez tort, les gens se retrouveront dans de sales draps s’ils vous obéissent. Et la peine causée par cela commencera à contrebalancer votre propre Présence Éthique. Ainsi, lorsque vous publiez des ordres, vous utilisez la force et la puissance. Vous pouvez, cependant, vous retrouver dans un tel état d’esprit que vous cessez également d’employer les moyens les plus doux. Face à la non-obéissance, vous ajoutez de la férocité, dans le but de faire aboutir votre communication. La colère est efficace mais utilisée avec modération et seulement dans les cas d’urgence. L’homme a tant été invalidé qu’il commence à s’enfoncer lui-même . C’est là le secret de l’aberration. Il se renie lui-même puis fait le mock-up [ présentation imaginaire de quelque chose ] d’images pour s’enfoncer lui-même. Si vous continuez à invalider les gens et à les démolir, ils vont se mettre à s’enfoncer eux-mêmes encore plus fort – aussi, si vous continuez à utiliser une Éthique lourde sur quelqu’un, vous allez immanquablement faire le jeu de son bank. L’auto-invalidation résulte tout simplement de l’accumulation de l’invalidation de soi-même par les autres. L’idée, c’est qu’il vaut mieux de temps à autres tempérer vos foudres par quelques éclaircies. Si vous utilisez une Éthique lourde sur des êtres faibles, ils sont invalidés par l’altitude. Vous ne pouvez pas construire des gens compétents en les invalidant. Sans pour autant adoucir votre approche, vous devriez savoir que la force réelle dépend de l’ARC [ Affinité, Réalité, Communication ], et que le risque le plus important en est sa cessation. L. Ron Hubbard Chers amis, Il y a 10 ans comme aujourd’hui, nous déménagions de Wabern (Berne) à Grenchen. Il s’agissait simplement d’une nouvelle étape logique de notre voyage. Notre périple a en effet commencé bien avant, y compris avec la sortie de l’église et les remous de l’époque, et aussi avec la grande question «Que faire? Où aller?» Ce qui nous a fait avancer – la qualité la plus importante – était la persévérance. Simplement continuer, ne jamais perdre de vue l’objectif et aller de l’avant. Simplement cela. Je pense que la photo que j’ai prise mardi dernier au bord du Doubs communique la persévérance. «La persévérance est l’aptitude à exercer un effort soutenu vers des buts de survie.» (Partie de l’axiome 19 de Dianétique) Susmentionné et en annexe, l’article «Présence éthique» correspond tout à fait à la Persévérance. Un très bon article qui fait réfléchir. Meilleures amitiés, Max Hauri

  • Le Message de Bouddha

    Introduction: Ron a mentionné le bouddhisme à maintes reprises et le considère également comme un précurseur de la Scientologie. Ron a même publié l’article bouddhiste Affaires judiciaires» en tant que lettre de politique du HCO. Lisez la lettre d'introduction de Max Hauri à cet article ci-dessous. Article de Advance! 23 Tout au long de son parcours sur cette planète, l’Homme a cherché les réponses à sa propre existence. Ces réponses ont pris une variété presque déconcertante d’expressions. Advance! estime qu’il est important pour vous de connaître l’histoire des efforts de liberté passés. Après tout, l’histoire spirituelle de l’Homme est l’histoire la plus fondamentale de cette planète. La recherche de l’Homme sur lui-même a été la raison d’être de tout progrès, malgré ce que prétendent les matérialistes. Mais comme ils estiment que l’Homme est un animal, alors ils ne peuvent parler qu’au nom du règne animal, pas au nôtre. Ainsi soit-il. C’est pourquoi Advance! estime que vous devez connaître l’historique complet des Cours Avancés. Lorsque l’on voit les millions de réponses que l’Homme a choisies comme destin, on apprécie encore plus l’incroyable réussite de L. Ron Hubbard qui a su sélectionner, parmi une infinité d’erreurs, la seule trajectoire rectiligne qui mène à l’accomplissement des ultimes objectifs spirituels. Ce chemin est plus qu’un chemin, c’est un large pont lumineux vers la liberté totale à travers le gouffre de l’oubli et du désespoir. L’Homme n’a jamais eu de véritable pont auparavant. Le plus grand effort de liberté antérieur a été entrepris par Siddhartha Gautama (563-483 av. J.-C.), Bouddha. Son œuvre, connue sous le nom de religion bouddhiste, a été la première mission civilisatrice largement réussie de l’Homme. Elle a été décisive non seulement pour l’Asie, mais aussi pour l’Occident. Par exemple, le message chrétien d’amour et la méthodologie scientifique de la Renaissance peuvent être historiquement rattachés à l’œuvre de Siddhartha Bouddha. Aussi puissante que fut la tradition bouddhiste, elle a échoué à garantir sa propre intégrité et a ainsi semé les graines internes de sa propre décadence. Moins de 200 ans après la mort de Bouddha, une polémique s’était déjà élevée parmi ses héritiers spirituels quant à ce qu’il voulait vraiment dire. Littéralement, des centaines de sectes et d’écoles bouddhistes sont apparues par la suite, chacune épousant à ses propres yeux le bouddhisme fondamental. Dans ce kaléidoscope d’interprétations religieuses, les leçons initiales de Bouddha ont été obscurcies et perdues à un degré considérable. Qu’a dit Bouddha? A-t-il dit, comme certains le prétendent, que l’Homme n’est pas un esprit mais simplement un paquet de phénomènes associés? Cela ferait de lui au mieux un agnostique et rabaisserait l’identité historique du bouddhisme en tant que religion. A-t-il dit cela? Est-il possible de tisser un lien à travers les 2 500 dernières années de divergences jusqu’à la vérité du sujet? Au cœur du problème se trouve le fait que Bouddha lui-même n’a rien écrit. Tous les grands classiques indiens étaient à l’origine des œuvres orales, transmises par des générations successives. Il en va de même du Bouddhisme. Bouddha insista beaucoup pour que ses disciples reproduisent son œuvre par la récitation et les compétences mnémoniques [aidant ou destiné à aider, la mémoire ; de la mémoire]. Immédiatement après sa mort, un grand Premier Conseil composé de ses principaux disciples se réunit et se mit d’accord sur la récitation des règles de l’ordre et des sermons de base de Bouddha. Au cours des centaines d’années suivantes, trois autres conseils ont été nécessaires pour trier et approuver le message de Bouddha. Enfin, au 1er siècle avant J.-C., une secte parmi les 18 principales sectes a mis par écrit son interprétation et l’a léguée aux générations futures sous la forme des célèbres Pali Canons. [Pali Canon: une collection d’œuvres écrites. Pali – la langue que parlait Bouddha.] C’est le document que nous avons – une réflexion d’une réflexion d’une réflexion. Alors, qu’a réellement dit Bouddha? Examinons la vie de Bouddha qui est l’exemple suprême de sa propre parole, car contrairement à certains philosophes, Bouddha a fait ce qu’il a dit faire. Bouddha est né à Lumbini, dans le nord-est de l’Inde, dans ce qui est aujourd’hui le Népal. Sous les majestueux sommets de l’Himalaya, il grandit en tant que jeune prince riche, Siddhartha Gautama. À l’âge de 29 ans, il prend soudainement conscience de son destin et laisse derrière lui son opulence matérielle pour rechercher de plus grandes richesses spirituelles. Il s’est assis sur les genoux des plus grands maîtres hindous. Il surpassa les ascètes dans les forêts isolées. Enfin, au terme de six années de recherche intense, il décida de s’asseoir sous un figuier et de ne plus bouger jusqu’à ce qu’il ait atteint l’illumination. En cette nuit fatidique, Siddhartha Gautama devint Bouddha et déclencha un mouvement civilisateur qui influença profondément l’histoire du monde. Ensuite, d’autres personnes vinrent demander à Siddhartha Gautama, devenu Bouddha, «Es-tu un homme, un dieu ou un être céleste?» Il répondit qu’il n’était rien de tout cela. «Je suis éveillé» fut sa réponse. Il était Bouddha. Car la racine budh désigne à la fois l’éveil et la connaissance. Bouddha signifie donc «l’Éclairé» ou «l’Éveillé». Nous voyons donc tout d’abord, que Bouddha n’est pas vraiment un nom mais plutôt un état d’existence supérieur. Si Bouddha avait simplement dit qu’il avait atteint cet état de façon unique, il aurait peut-être été adoré comme un dieu, mais il n’aurait pas fondé le bouddhisme. Au lieu de cela, Bouddha a dit que n’importe qui pouvait le suivre pour atteindre ce même état, maintenant, en une seule vie. Un autre nom pour cet état était Bodhi (illumination), de la même racine que Bouddha. Nous nous rapprochons donc du cœur du message de Bouddha. Mais avant de regarder de plus près ce qu’était Bodhi, examinons les principes de base de la philosophie de Bouddha qui l’ont rendue si révolutionnaire. Tout d’abord, il disait qu’une idée n’avait de valeur que si elle contribuait à aider l’Homme à résoudre son malheur. «Je n’enseigne qu’une seule chose: la souffrance et la fin de la souffrance.» Deuxièmement, il disait que sa philosophie n’était vraie que dans la mesure où l’on pouvait en faire l’expérience et la trouver vraie. «Ne vous fiez pas à ce qui est transmis ni à l’autorité de vos enseignements traditionnels. Quand vous savez par vous-mêmes: ‘Ces enseignements, lorsqu’ils sont suivis et mis en pratique, conduisent à la perte et à la souffrance’ – alors rejetez-les». Troisièmement, le Bouddha a rejeté la tradition selon laquelle la sagesse était le monopole d’une classe de prêtres dans une tour d’ivoire. «J’ai prêché la vérité sans faire aucune distinction entre les doctrines exotérique [ pas limité à un petit nombre de personnes ou à un cercle restreint; largement compréhensible ] et ésotérique [ secret, destiné à, ou compris uniquement par un petit nombre d’élus ou un cercle restreint ]; car en ce qui concerne les vérités, Ananda [ Aide principal de Bouddha ], le Tathagata [ autre nom de Bouddha signifiant «Ainsi venu» ] n’a rien du poing fermé d’un enseignant qui garde certaines choses pour lui.» Par cette déclaration, Bouddha a ouvert le livre de la connaissance à tous, sans distinction de croyance, de couleur, de caste ou de classe et a ainsi fondé la première religion internationale. Examinons à nouveau cette question. Bouddha a dit que la vie impliquait inévitablement la souffrance et la perte tant qu’un être était lié au tapis roulant de la mort et de la réincarnation. Mais qu’est-ce qui lie un être à cette spirale mortelle? Seulement l’attachement à son corps qu’il s’est lui-même créé et le désir illusoire d’avoir envie de MEST! Alors qu’est-ce qui était vraiment réel? L’état d’être ultime de l’individu. Quel était donc le message fondamental de Bouddha? Qu’indiquait-il? Qu’était réellement le Bodhi? Bouddha indiqua la liberté ultime de l’esprit au-delà des restrictions de l’existence corporelle! Seul un bouddha, disait-il, peut être (« savoir qu’il est ») un individu réel parce que seul un bouddha est libre d’une «ego-personnalité» composée «d’éléments qui meurent»; les composants des manifestations physiques de l’Homme qui, faisant partie de l’univers physique, ne participent pas à la véritable nature de la réalité, l’être lui-même. Quelle est donc l’expérience fondamentale dont parle Bouddha? Durant cette nuit sous le figuier, le futur Bouddha extériorisa de son corps et réalisa qui et ce qu’il était: un esprit libéré de la chair et de la dépendance à la matière. C’était l’expérience essentielle qu’il cherchait pour aider les autres à y parvenir. Le message de cette expérience, bien que rarement accessible et jamais stable, infiltra des milliers de kilomètres tout azimut à partir du nord-est de l’Inde, dynamisant les plus grands espoirs de liberté spirituelle de l’Homme. Mais l’Homme ne peut pas vivre uniquement d’espoir et d’inspiration. C’est là que réside l’échec du bouddhisme. Bouddha n’a jamais développé une technologie adéquate pour la construction d’un Pont permettant de franchir le gouffre de «l’autre côté». Et en raison des déformations et des distorsions introduites ultérieurement par d’autres, dans le sujet, (comme le fait que Bouddha ait dit que l’Homme n’est pas un esprit), le sujet lui-même est devenu, paradoxalement, un piège pour les personnes non éclairées. Mais Bouddha a déclaré que son travail n’était pas terminé. Il a prédit qu’un successeur se présenterait quelque 2 500 ans plus tard en Occident pour achever son œuvre. Cette prédiction s’est maintenant accomplie. Les objectifs de liberté spirituelle totale, envisagés par Bouddha, sont maintenant totalement réalisables grâce à la Dianétique et à la Scientologie. Grâce au travail de L. Ron Hubbard, la technologie, symbolisée par Le Pont , existe maintenant non seulement pour atteindre les objectifs traditionnels de l’Homme, mais aussi pour les dépasser au-delà des rêves les plus fous de l’Homme. Après 2 500 ans, un nouvel âge d’or a enfin commencé pour l’Homme. ​ L. Ron Hubbard au sujet du Bouddhisme «En fait, Siddhartha Gautama extériorisait les gens et les faisait sortir de leurs têtes à tout-va. Toute personne qui extériorise est un Bouddha. Notre technologie en la matière est meilleure, ce qui est assez surprenant en soi. [Extériorisation: L’état dans lequel le thétan, l’individu lui-même, est en dehors de son corps. Lorsque cet état est atteint, la personne acquiert la certitude qu’elle est elle-même et non son corps]. «Le problème qu’il avait avec son travail était de savoir comment extérioriser de manière stable, ou maintenir quelqu’un dans un état extérieur. Il ne savait pas comment faire. «L’œuvre de Siddhartha Gautama, bien que considérée comme éthérée, a produit sur cette planète une quantité suffisante de sagesse pour apporter la civilisation aux trois quarts de l’Asie. Il est probable que les lambeaux de bouddhisme, arrivés au Moyen-Orient avec les marchands de soie et d’épices qui, après le contact d’Alexandre vers 333 avant J.-C. ont découvert l’existence de l’Europe, ont déclenché une renaissance religieuse et une activité messianique considérable au Moyen-Orient. La spiritualité de l’Homme est la base de la religion et c’est la seule chose que toutes les religions ont en commun. Elles ont des créateurs différents, des dieux différents, des autels de culte différents, mais elles ont une vérité commune, à savoir que l’Homme est un être spirituel. Ce n’est que dans le bouddhisme que cela a été prouvé. «Le but et l’objectif du bouddhisme étaient simplement d’éliminer l’obligation de prendre un autre corps et une autre identité à tout bout de champ et de tout gâcher. «Il n’avait pas le dessein et le but qu’un Homme devrait être capable de fonctionner. Dans cette mesure, nous avons largement dépassé toutes les limites jamais posées dans cette direction auparavant. L. Ron Hubbard Chers Amis, Dans notre société dirigée par les Homo sapiens, je vois beaucoup de déclarations de faillite. C’est tellement au-delà de mes valeurs que je me demande parfois si je dois même en parler. Voici un autre exemple. En bref, il s’agit de doter un robot d’une intelligence artificielle de telle sorte que vous puissiez lui parler comme à un ami. Cette technologie sera sûrement associée à celle des «poupées d’amour» et l’épouse parfaite sera prête. Et les enfants seront commandés au laboratoire... Voici un lien français, allemand et anglais sur le sujet : Français: https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1915114/apprendre-robot-rire-intelligence-artificielle-scientifiques Allemand: https://pressefreiheit.rtde.website/international/149173-erica-lernt-lachen-forscher-bringen/ Anglais: https://www.theguardian.com/technology/2022/sep/15/scientists-teach-robot-laugh-right-time-research Les relations et la vie Personne ne dit que les relations, que ce soit en partenariat ou dans d’autres domaines de la vie, sont toujours faciles. Mais si nous n’y travaillons pas et ne nous développons pas, alors quoi ? Au cours de la période du Corona, l’importance des relations et de la proximité, des conversations en tête-à-tête et des embrassades m’a été confirmée des milliers de fois et on ne saurait trop insister sur ce point. La Scientologie est la technologie qui nous permet de nous connecter et de maintenir cette connexion. C’est un domaine immense et il y a beaucoup à apprendre, et cela en vaut la peine. Bouddhisme Ron a mentionné le bouddhisme à maintes reprises et le considère également comme un précurseur de la Scientologie. Ron a même publié l’article bouddhiste Affaires judiciaires» en tant que lettre de politique du HCO. Dans le magazine Advance! divers articles sur le bouddhisme, et aussi en rapport avec la Scientologie ont été publiés en 1974. Je les publierai à nouveau dans la prochaine newsletter. Voici le premier article. Meilleures amitiés, Max Hauri

  • Sagesse, Liberté et Extériorisation

    Introduction: Avoir une certitude inébranlable d’être un être spirituel est une grande liberté, peut-être même la plus grande qui soit. Lisez la lettre d'introduction de Max Hauri à cet article, ci-dessous. Extrait de la Conférence « Libérés et Clairs » par L. Ron Hubbard, donnée le 16 août 66 Il y a eu trois points principaux dans l’histoire spirituelle de l’Homme : L’idée que la sagesse mène à la liberté ; Le développement de l’extériorisation ; et Le point culminant de la recherche de l’Homme pour la vérité spirituelle et la liberté : la Scientologie. Ces points sont brillamment expliqués par Ron dans l’article ci-dessous, peut-être la révélation la plus fondamentale jamais faite sur le passé spirituel de l’Homme. ____________________ Extériorisation: L’état dans lequel le thétan, l’individu lui-même, est en dehors de son corps. Lorsque cet état est atteint, la personne acquiert la certitude qu’elle est elle-même et non son corps. ____________________ Il y a dix mille ans, dans le cadre de la recherche philosophique, se trouvait un gars appelé Dharma, un moine désormais légendaire. C’est de Dharma que vient la tradition que suivent la plupart des philosophes, à savoir que si vous devenez sage, vous deviendrez libre. Tout le monde est imprégné de cette philosophie de base. Cela fait partie de la trame de toute la culture. Cela dure depuis 10 000 ans sur cette planète; commencée par Darma. Maintenant, ce travail a été totalement assimilé. Que l’on puisse extérioriser et que l’extériorisation apporte la liberté est la prémisse de Gautama Siddhartha Bouddha, qui ne date que de 2 500 ans. Ils ont eu encore 7 500 ans à vivre avant d’assimiler cela dans la culture, de la façon dont la philosophie de Dharma a été intégrée. Les gens ne connaissent toujours pas l’extériorisation 2 500 ans après la religion la plus populaire et la plus répandue de la planète, le bouddhisme. Ces pensées étaient nouvelles, en particulier pour cette planète très arriérée et barbare. Si vous ne pensez pas que les choses étaient barbares, vous auriez dû avoir quelque chose à faire (et peut-être l’avez-vous fait) avec l’Inde d’il y a 10 000 ans. Il n’y avait pas le moindre vestige de civilisation. Faire passer le message que si vous deveniez sage, vous deveniez en quelque sorte un peu supérieur était difficile à réaliser. C’était une avancée formidable. C’est presque comme essayer d’enseigner à des animaux ou autre chose, alors que vous ne pouvez même pas parler leur langue. C’était donc un grand saut. Et finalement, pratiquement tout le monde sur la planète était d’accord avec cela. Nous avons maintenant un pourcentage fantastique des impôts de cette planète (c’est ce qui reste des crédits militaires) consacré à l’éducation. Il y a donc cette formidable demande d’éducation ou d’amélioration de soi. Vous n’y prêterez peut-être pas attention au premier abord, car cela vous semble si banal, si courant. Mais le fait que l’Homme soit actuellement prêt à investir du temps, des efforts et de l’argent pour rendre les gens plus sages afin de les rendre plus libres est un grand témoignage pour ce gars Dharma. Il lui a fallu 10 000 ans pour faire passer un message. C’était presque la totalité de la chose. Il savait que l’on pouvait devenir un individu libre. En d’autres termes, il y avait une liberté qui était atteignable. Mais pas de technologie du tout. 7 500 ans plus tard, Gautama Siddhartha Bouddha a découvert l’extériorisation. En suivant le modèle de Dharma, il pensait qu’on extériorisait en devenant sage. Cette religion s’est répandue dans la plupart des régions d’Asie et a réellement civilisé les trois quarts de l’Asie. Il n’y avait pas beaucoup d’informations mais il a introduit plusieurs idées en même temps. L’une d’elles était qu’il fallait être civilisé, poli, etc. C’était un choc ; personne n’avait jamais entendu cela auparavant. Des idées très nouvelles. L’homme n’a pas encore accepté l’idée qu’il devait être poli, mais il y arrive. Dans certaines régions du monde, ils en ont un peu trop fait. Donc quand ils s’étripent les uns les autres, ils disent: « Je retiens mon haleine fétide de ton visage ! » Ainsi, cette action d’extériorisation n’était en fait pas réalisable dans une large mesure. Les lamaïstes sont arrivés par la suite et ont essayé de développer une sorte de technologie et une explication pour tout ceci. Ce que Bouddha n’avait pas inventé, ils pensaient pouvoir le faire. Bien sûr, ils sont entrés dans une zone où il y avait beaucoup à découvrir. Mais la grande découverte avait été faite par Bouddha, à savoir que quelqu’un peut extérioriser. Bien sûr, nous sommes gagnants dans la mesure où l’idée de l’âme a une certaine longévité. Beaucoup de gens l’acceptent. Où elle va, ce qu’elle fait, en quoi elle consiste, ils n’en ont aucune idée. Mais le fait qu’il existe une chose appelée âme, qui va quelque part a dominé la pensée grecque et romaine pendant une très longue période ; environ 2 000 ans ou quelque chose comme ça. Elle domine également diverses parties de l’Afrique et du Moyen-Orient sous le nom d’un autre prophète et ainsi de suite. Mais c’est le même canal de pensée qui dit qu’il existe une chose appelée âme. Socrate est le principal promoteur de cette idée dans notre histoire philosophique actuelle. Il défendait l’existence d’un être personnel, ou comme nous dirions, d’un thétan. Les bigots religieux de son époque n’étaient pas d’accord avec cela et lui ont fait boire la ciguë. Il est allé de l’avant et a bu la ciguë juste pour les rendre bons et coupables. Maintenant, je ne fais que vous donner un contexte historique. Le maximum qui ait jamais été atteint par l’un de ces sujets était un genre de libération. Et depuis le début de l’univers, pour autant que nous le sachions, il n’y a jamais eu autre chose qu’une libération. Il n’y a jamais eu de Clair. Il n’y a jamais eu quelque chose de mis au Clair. Par conséquent, ce sont toutes des formes de libération. Le Dharma est une libération par la sagesse, et le Bouddhisme est une libération par l’extériorisation. Vous avez dans les faits, le contexte historique complet. Ce sont ces choses qu’il faut comprendre à la lumière de ce que nous faisons aujourd’hui. Il n’y a pas plus de complexités à comprendre à ce sujet. Tout spécialiste de ces travaux m’accuserait de simplifier à l’extrême, mais je pourrais répondre d’un point de vue très intéressant en disant : « Oui, il a fallu vingt ans pour faire un bodhi (thétan extérieur), mais nous pouvons en faire un en vingt secondes environ – et à un pourcentage bien plus élevé. » C’est tellement facile à faire que ça en est totalement négligé. Nous ne le faisons même pas en tant qu’action spéciale. En fait, nous laissons faire. Le fait que cela se produise presque immédiatement ne le qualifie pas alors, de libération stable. Ce n’est pas un bon état durable. En fait, après avoir fait sortir quelqu’un de sa tête deux ou trois fois, il devient très anxieux, pense que ça va lui coûter son corps et commence à vous dire qu’il ne l’est pas. Le psychiatre considère l’extériorisation avec la plus grande méfiance parce qu’il trouve parfois dans les institutions, comme une extériorisation inverse ou inversée, un gars qui ne peut pas entrer dans son corps et qui devient frénétique. Par conséquent, il pense que tout ce qui est lié à l’extériorisation est de la folie. Mais alors bien sûr, il estime que les trois quarts des Asiatiques sont fous. Cet état de thétan extérieur peut se produire à presque tout moment. N’importe qui auditant n’importe qui va tôt ou tard avoir un thétan extérieur sur les bras. Après avoir transformé l’un de ces individus, vous vous apercevrez que dans l’heure, les trois jours ou la semaine qui suivent, il aura été emmêlé à plus de réalité qu’il n’est prêt à en confronter dans son timide état de non-Clair. Il n’est que libéré et on lui a demandé de marcher pieds nus, dans ce vaste monde et il a encore l’anxiété et le problème de se cramponner à son corps. Il ne sait pas vraiment que faire à ce sujet. Il a peur d’oublier son corps. Sur la piste passée, cela lui est arrivé déjà plusieurs fois. En fait, cela lui arrive à chaque fois qu’il meurt, et est associé dans son mental à la mort. Il a également eu des expériences malheureuses lorsqu’il pouvait le faire à volonté, quelque part bien loin sur la piste : il a laissé son corps dans l’auberge pour aller faire quelque chose, puis il est revenu et a découvert qu’il avait été enterré. Il y a donc des connotations très amères avec ceci, car il n’est pas du tout compétent pour faire face à cet état. Il est très en avance sur lui-même, il est en fait sur une harmonique OT. Un OT pourrait s’en occuper, mais il ne peut pas s’en occuper quand il est par exemple, un libéré dianétique. Je ne rends pas trivial ce que Bouddha a fait. C’était un progrès remarquable. Il a dû être effectivement remarquable si Socrate l’a copié – après quoi il est devenu traditionnel dans la culture occidentale. D’ailleurs, il y a ici et là, quelques races primitives qui croient que l’Homme a une âme ; c’est une part de vérité qui n’est pas facile à camoufler. Mais y travailler effectivement ou admettre que quelque chose puisse être fait à ce sujet est tout à fait nouveau. Lorsque Bouddha a extériorisé les gens et provoqué l’extériorisation, il l’a fait par le biais de la sagesse, de sorte que l’individu avait au moins une sorte de philosophie pour le soutenir. Dès lors, le chemin de la philosophie a été très, très difficile et il a fallu beaucoup de temps pour qu’une idée philosophique de base se manifeste dans la société dans laquelle elle a été exprimée. Ce qui est particulièrement remarquable dans le bouddhisme, c’est que la vérité avancée par Bouddha était si limpide qu’elle s’est répandue comme une traînée de poudre au cours de sa vie. Et dans les quelques vies qui ont suivi, sur une période de temps très courte, il a conquis presque les trois quarts de l’Asie. Les bouddhistes étaient passés de l’état de « l’homme est de la viande » à « il est un être spirituel » et ils avaient des manifestations de cela et un chef assez puissant. Donc ceci est, et peut être considéré seulement comme une sorte d’état de libération par la sagesse, parce qu’ils n’avaient pas de commandement pour dire à quiconque de sortir de leur tête. L’individu devenait simplement sage et lorsqu’il le devenait suffisamment, il extériorisait, espéraient-ils. Ils ont eu beaucoup d’échecs dans ce domaine. C’est très difficile à faire ceci, car piégé par le bank. Maintenant, d’un seul coup, sans pause pour reprendre son souffle, nous avons capitalisé sur l’idée qu’un homme qui est amélioré devient libre. Nous avons ramené un effort de vingt ans pour extérioriser au point où cela peut être fait en vingt secondes. Nous avons trouvé ce qui empêchait les efforts de Dharma d’être parfaits, nous avons trouvé la totalité de ce qui faisait obstacle au Bouddhisme. Nous sommes ici dans une société qui en fait, n’est soutenue dans sa culture que par Dharma et Bouddha, avec le problème résolu. L. Ron Hubbard Chers amis, Avoir la certitude inébranlable d’être un être spirituel est une grande liberté, peut-être même la plus grande qui soit. Pour certains, c’est une fuite, un état que l’on essaie souvent d’atteindre avec des drogues ainsi que des médicaments ; pour d’autres, c’est un modus operandi, c’est-à-dire la manière dont on vit – en Scientologie, nous avons les moyens d’y parvenir pas à pas. Avec mes meilleures amitiés. Max Hauri

  • Jataka – Récits de naissance

    Introduction: Le berceau de la civilisation occidentale, la philosophie grecque, considérait de préférence l'acceptation des vies passées. Travaillons à notre civilisation même si cela doit durer plus de quelques années. Lisez la lettre d'introduction de Max Hauri à cet article ci-dessous. Jakata – Récits de naissance – Advance! 26 «Je sais avec certitude où j’étais et qui j’étais au cours des 80 trillions d’années passées. Les petits détails, comme ce que j’ai mangé au petit-déjeuner il y a deux trillions d’années, sont susceptibles de se perdre ici et là, mais pour le reste, ce n’est pas un mystère pour moi.» – L. Ron Hubbard «Je me suis souvenu de nombreuses existences antérieures, à savoir une naissance, deux… trois… quatre… cinq… dix… vingt… cinquante… cent naissances, etc… J’étais là, j’avais ce nom, j’appartenais à cette famille, c’était ma caste, c’était mon gagne-pain, j’ai connu tant de bonheur et de peine, c’était ma fin; décédé, je suis revenu à l’existence là: j’étais là, j’avais ce nom…» – Gautama Buddha Ce berceau de la civilisation occidentale, la philosophie grecque, voyait d’un bon œil l’acceptation des vies antérieures. Pythagore, le grand philosophe et mathématicien grec, se souvenait très bien de diverses vies antérieures; par exemple, la fois où il a combattu dans la guerre de Troie et où il pouvait encore reconnaître dans un temple contemporain un bouclier utilisé dans cette guerre. Les vies antérieures étaient également connues de divers groupes chrétiens primitifs. Cette croyance traditionnelle de l’homme a ensuite été bannie par le deuxième Concile de l’Église de Constantinople en l’an 553, qui a décrété que «quiconque soutient la doctrine mythique de la préexistence de l’âme et l’opinion merveilleuse [Décrit une chose si extraordinaire, surprenante ou étonnante qu’elle semble à peine croyable. – World Book Dictionary, 1973] ultérieure de son retour soit anathème» [Sentence de malédiction à l’encontre d’une doctrine ou d’une personne jugée hérétique; peine ecclésiastique qui consiste à retrancher publiquement quelqu’un pour cause d’hérésie de la communauté des fidèles, à l’excommunier en le maudissant.] C’est ainsi que le mythe «d’une seule et unique vie» a pénétré de force dans le courant dominant de la culture occidentale, avec finalement, des résultats malheureux. Plus tard, cette idée d’une-seule-et-unique-vie a constitué un terrain fertile pour la montée du matérialisme du 19ème siècle qui renie l’âme. Heureusement en Orient, la croyance traditionnelle en des existences antérieures est restée intacte. Le plus grand exemple de cette connaissance spirituelle traditionnelle de l’Orient est le Jataka, une œuvre bouddhique unique. Jataka est un mot pali (la langue de Bouddha) qui signifie récit de naissance (à partir de racines signifiant littéralement «appartenant à, lié à ce qui est arrivé»). L’usage bouddhique de ce mot était si répandu et populaire qu’il en est venu à désigner exclusivement le récit de toute naissance antérieure de Bouddha ou le nom d’un livre du Canon Pali, [Les écritures les plus anciennes du Bouddhisme] qui contient 550 récits de ce type. Le Bodhisatta, dans une de ses naissances précédentes, était le chef d’un groupe de singes qui vivaient sur les rives du Gange. À proximité se trouvait un manguier, dont les singes mangeaient les fruits délicieux. Apprenant cela, un roi local envoya ses hommes pour le protéger, et par conséquent, l’encerclèrent. Afin de sauver la vie de ses congénères pris au piège, le Bodhisatta prépara un pont en bambou qui s’avéra être un peu court. Pour surmonter cette difficulté, il attacha son propre corps au pont, permettant ainsi aux singes de s’échapper en toute sécurité. Le roi fut très ému par l’héroïsme du Grand singe et lui rendit hommage. L’illustration ci-dessus est réalisée dans le style ancien et représente l’incident dans son intégralité en un seul dessin. Ainsi, le Jataka est l’histoire popularisée des vies antérieures de Bouddha. Organisé peu après sa mort par ses disciples immédiats, le Jataka est un livre fondamental du bouddhisme. Inconnu de beaucoup, le Jataka est aussi un livre fondamental de la culture mondiale. Il a eu une énorme influence dans tout l’Ancien Monde non-bouddhiste et surtout en Occident. Des recueils plus courts d’histoires originelles ont commencé à paraître en sanskrit au premier siècle de notre ère. Ces histoires se sont ensuite répandues en Asie centrale où elles ont été traduites en persan et, au cours des siècles suivants, le Jataka a été retraduit en arabe et en hébreu, puis en latin et en grec et dans toutes les langues modernes d’Europe. En d’autres termes, il s’agissait autrefois d’un véritable best-seller! L’une des éditions du Jataka donnait, dans son introduction, la biographie de Bouddha. Parvenu au Moyen-Orient par les routes commerciales, il a été traduit en grec par saint Jean de Damas au 8e siècle sous le titre de Barlaam et Josaphat. Il a ensuite été traduit en latin et dans diverses autres langues européennes, dont l’islandais. L’histoire est devenue si populaire et son héros, c’est-à-dire Bouddha, était si admiré qu’il a été canonisé comme un saint chrétien. Ainsi, l’inspiration originelle de l’évangile chrétien de l’amour, Gautama Bouddha, est devenu un saint chrétien! Il s’appelle Saint Jehosaphat et son jour de vénération est le 27 novembre. À propos, Bouddha a été déifié par les hindous comme un avatar (dieu à forme humaine) du dieu hindou de la survie, Vishnu. Gautama Buddha était un homme populaire! Le Jataka est également à l’origine des célèbres Fables d’Ésope. Celles-ci ont en fait été compilées au 14ème siècle à Constantinople par un moine nommé Planudes, qui s’est largement inspiré du Jataka pour ses histoires. Le Jataka lui-même présente une magnifique série de 547 vies attribuées à Bouddha. Si l’on compte une moyenne de 50 ans par vie, cela couvre une période de quelque 27 350 ans. Cela représente le cycle de Bouddha en tant que Bodhisatta (définition ci-dessous) avant qu’il ne devienne un Bouddha. Bodhi signifie l’illumination. Satta signifie être. Ainsi, un Bodhisatta est un être qui est destiné ou qui aspire à atteindre l’état le plus élevé d’illumination ou de bouddhéité. Ces vies étaient donc décrites comme menant à la vie finale du cycle, lorsque Siddhartha Gautama, [Nom de famille et prénom de Bouddha] par son propre effort, atteignit l’état de bodhi tant recherché et devint un bouddha. Bouddha n’est bien sûr pas un nom mais un état d’existence. En même temps, il est devenu le titre de son plus célèbre représentant. Le message de Gautama Bouddha était que la vie était fondamentalement une souffrance. La mort, la perte et la renaissance étaient apparemment inévitables. L’alternative était de s’efforcer de réaliser sa propre existence spirituelle et, par l’illumination des vérités suprêmes, d’échapper à la roue des renaissances. Il prêchait qu’en suivant une certaine voie, un être pouvait atteindre sa propre bouddhéité en une seule vie. Ce message d’espoir, bien que rarement accessible et jamais stable, a revitalisé les plus hautes aspirations spirituelles de ceux qui sont entrés en contact avec lui. Il n’est pas surprenant qu’il ait dominé la pensée orientale ultérieure. Et comme le Jataka, la philosophie du bouddhisme s’est également étendue vers l’ouest où elle a motivé la quête spirituelle du christianisme. Pour en revenir au Jataka, nous constatons qu’il présente le thème d’un grand bienfaiteur de l’Homme dont l’influence personnelle s’est fait sentir à travers les époques successives. Dans le récit N° 50, Bouddha déclare: «Ce n’est pas la première fois, mes frères, que Bouddha agit pour le bien du monde; il a également agi de la même manière dans des temps révolus». Chaque histoire s’ouvre sur une préface ou une «histoire du présent» qui relate les circonstances particulières de la vie de Bouddha qui l’ont incité à décrire telle ou telle vie passée et à éclairer ainsi les circonstances du temps présent. Et toujours à la fin de l’histoire, Bouddha révèle qui il était et les rôles joués par ceux qui l’entouraient dans cette même vie. Par exemple, la conclusion de l’histoire 176 déclare: «Le Maître, une fois ce discours terminé, identifia la Naissance: ‘En ce temps-là, Ananda était le roi, et le sage conseiller, c’était moi-même’.» L’éventail des vies représentait le panorama complet de l’existence humaine et animale. Sage, roi, marchand, voleur, singe, cerf, oiseau, et même un éclat vif de lumière, un enfant, etc. sont autant d’identités de vies antérieures attribuées à Bouddha. Mais dans la plupart de ces histoires, c’est l’état d’être sage et bienveillant de Bouddha qui transparaît. Un grand nombre de ces histoires sont directement attribuées à Bouddha à partir de ses propres sermons et discours. D’autres ont manifestement été ajoutées par ses disciples proches en raison de leur vénération pour le Maître. Les récits de naissance ne sont pas chronologiques et leur contenu ne dépasse pas la culture et les lieux de l’Inde ancienne. Ils ont manifestement été utilisés pour populariser l’éthique et les aspirations bouddhiques ainsi que la figure héroïque du fondateur de la religion. Ces histoires sont riches en humour, inspirantes et très vivantes. Elles constituent des fables et des contes merveilleux. Dans sa conception des vies antérieures, rien ne dépasse le Jataka jusqu’à l’apparition – 2 500 ans plus tard – de la trilogie de livres de L. Ron Hubbard, Mission dans le Temps, Avez-vous Vécu Avant cette Vie? et Histoire de l’Homme, qui donne le premier compte rendu complet et précis de l’ensemble de la piste ainsi que la vérification du souvenir des vies antérieures. Dans l’une des vies antérieures de Bouddha, il était roi. On le voit ici allongé, découragé, prêchant à son peuple la brièveté de la gloire terrestre. Autrefois, seuls des individus exceptionnels avaient la capacité de se souvenir de leurs vies antérieures. Cette capacité extraordinaire était considérée comme la marque d’une conscience spirituelle pleinement développée. Aujourd’hui, grâce à la Dianétique et à la Scientologie, n’importe qui peut être libéré de cette prison plus contraignante que tous les barreaux ou murs: le mythe de la seule et unique vie. Grâce au travail de Ron, la pire de toutes les amnésies a été résolue techniquement. La trilogie ci-dessus, associée aux matériaux des Cours Avancés, révèle enfin le mystère le plus profond de l’Homme: le contenu et le caractère réels de la piste entière. Bouddha et ses disciples accueilleraient très favorablement cette percée technologique. La capacité de l’homme, libérée par la Scientologie, de se souvenir de ses existences antérieures est une partie essentielle de l’avancée sur le Pont vers la Liberté Totale. L. Ron Hubbard est arrivé pour nous donner la clé du passé et de l’avenir. JATAKA N° 84 Les récits de naissance varient d’une à plusieurs pages. Le N° 84 en est un court. La préface indique qu’un enfant a demandé à son père qui était Trésorier, quels étaient les Chemins menant au bien-être spirituel. Le père était bien en peine de répondre à cette question. Apportant en échange des cadeaux de parfums, de fleurs et d’huiles, il se rendit avec son fils auprès de Bouddha pour obtenir des conseils. Le père répéta la question de son jeune fils et le Maître répondit : «Frère laïque», dit le Maître, «cette même question m’a été posée par cet enfant dans le passé, et je lui ai répondu. Il connaissait la réponse autrefois, mais maintenant il l’a oubliée à cause de son changement de naissance.» Puis, à la demande du père, il raconta cette histoire du passé. «Il était une fois, à l’époque où Brahmadatta [nom d’un roi] régnait à Bénarès, le Bodhisatta était un Trésorier très riche; il avait un fils qui, alors qu’il n’avait que sept ans, manifestait une grande intelligence et une grande inquiétude pour son bien-être spirituel. Un jour, l’enfant vint demander à son père quels étaient les chemins menant au bien-être spirituel. Et son père lui répondit en répétant cette strophe: Recherche la Santé, le bien suprême; sois vertueux; écoute les anciens; apprends des écritures; conforme-toi à la Vérité; et brise les liens de l’Attachement. – Car ce sont principalement ces six Chemins qui mènent au Bien-être. C’est ainsi que le Bodhisatta répondit à la question de son fils sur les chemins qui mènent au bien-être spirituel; et le garçon, à partir de ce moment, suivit ces six règles. Après une vie consacrée à la charité et à d’autres bonnes œuvres, le Bodhisatta s’éteignit pour revenir à la vie en accord avec ses mérites.» Sa leçon terminée, le Maître identifia la Naissance en disant: «Cet enfant était aussi l’enfant en ce temps-là, et moi-même étais le Grand Trésorier.» Chers amis, Notre civilisation est davantage basée sur la philosophie et même la religion que sur notre science moderne. C’est presque comme la fameuse citation « L’argent n’est pas tout, mais sans argent, tout ne vaut rien. » En d’autres termes, si les gens ne peuvent pas gérer humainement les avancées technologiques, à quoi servent-elles? J’affirme que c’est précisément parce que de nos jours, nous n’accordons pas assez d’attention à la philosophie et à la religion, que nous nous sommes retrouvés une fois de plus dans une situation où un missile mal dirigé peut conduire le monde humain à son extinction. Je suis tellement optimiste que le pire des scénarios ne se produira pas, mais nous vivons en permanence avec une épée de Damoclès au-dessus de nos têtes. Et il est donc logique de se pencher sur ce sujet. Il ne s’agit pas de se cacher dans un monastère et de prier en silence, mais de vivre et de mettre en pratique une philosophie et une religion modernes et contemporaines. C’est précisément pour cela que la Scientologie a été développée. Le texte ci-dessous commence par le paragraphe : «Ce berceau de la civilisation occidentale, la philosophie grecque, voyait d’un bon œil l’acceptation des vies antérieures. Pythagore, le grand philosophe et mathématicien grec, se souvenait très bien de diverses vies antérieures; par exemple, la fois où il a combattu dans la guerre de Troie et où il pouvait encore reconnaître dans un temple contemporain un bouclier utilisé dans cette guerre.» Travaillons sur notre civilisation même si cela doit durer plus que quelques années. Meilleures amitiés, Max Hauri

  • Un Essai sur le Management

    Introduction : Vous trouverez ci-joint l'article «Un essai sur le management». Dans cet article, Ron parle du créateur d'objectifs et d'autres choses importantes comme les objectifs, les groupes, la gestion et la façon dont la Dianétique peut aider. Lisez la lettre d'introduction de Max Hauri à cet article ci-dessous Le Bulletin de l'Auditeur de Dianétique – Volume 2, n° 2 – Août 1951 – de L. Ron Hubbard Une connaissance de la Dianétique de Groupe devrait comporter une connaissance du management, de ses problèmes et performances optimales. Dans la Dianétique de Groupe, on peut voir que la meilleure organisation est celle dans laquelle tous les membres du groupe sont versés dans tous les problèmes et toutes les compétences du groupe, se spécialisant dans leurs propres contributions mais ayant connaissance des autres spécialités qui servent à créer la vie de groupe. Dans le monde des affaires – tout au moins là où les affaires ont été prospères – il est un principe ancien et sans doute exact, disant que le management est une spécialité. Il est vrai, sans l’ombre d’un doute, que le fait de gouverner – car la Dianétique de Groupe se préoccupe du gouvernement – est un art spécialisé tout aussi technique que l’utilisation de machines complexes, et qu’il était certainement plus complexe avant l’avènement de la Dianétique de Groupe. Le management est un domaine spécialisé Avec notre technologie actuelle concernant les groupes, il est possible d’accomplir avec certitude de nombreuses choses qui, auparavant, n’étaient réalisées que par chance si tant est qu’elles l’étaient. Par le passé, le management n’a pas été plus codifié en ce qui concerne ses techniques que ne l’a été la psychiatrie et, sous réserve, il a presque toujours été un échec total. Les hommes étaient enclins à mesurer l’excellence du management en fonction de la quantité d’argent accumulée par une entreprise, ou en fonction de l’étendue du territoire conquis par un pays. Ce sont au mieux des points de repères approximatifs et grossiers. Tant qu’il n’existait aucune meilleure mesure, il a bien fallu les utiliser. Pour comprendre que ce ne sont pas de bonnes façons de mesurer la qualité du management, il suffit de passer en revue l’histoire des fermes, des entreprises et des nations, pour découvrir que peu d’entre elles ont duré longtemps, et que presque toutes ont connu des ennuis considérables. Le management a échoué au moins parce que «l’art» de diriger, tel qu’il était pratiqué dans le passé, demandait un travail trop dur de la part du dirigeant. On n’a pas beaucoup de chance de pouvoir apprécier grand chose du management, de ses problèmes et de ses buts, tant qu’on n’a pas regardé de près les définitions des termes «opulence» et «expansion territoriale», et tant qu’on ne s’est pas fait une idée précise de ce que comprennent vraiment ces choses. Un manager brillant du nom de Hershey [industriel et philanthrope américain], entouré d’un personnel d’encadrement tout aussi brillant, échoua pourtant lamentablement en tant que manager pour avoir négligé la première richesse de sa société : ses hommes, avec leur fierté et leur indépendance. Son règne à la tête de la société s’acheva quand son personnel – des ingénieurs et travailleurs bien payés, bien logés, bien habillés – lui tirèrent dessus avec des balles remarquablement réelles. Le «brillant» gouvernement de l’Allemagne était à deux doigts de se récupérer toutes ses anciennes conquêtes, et cependant il n’a laissé que des ruines. Atteindre les objectifs Avant de pouvoir juger le management, il faut d’abord prendre en considération les buts d’une entreprise et découvrir à quel point un certain management dans une certaine entreprise a été capable de s’approcher de ces buts. Et si l’on dit que le but de l’entreprise est l’opulence, on ferait bien de comprendre ce qu’est l’opulence en elle-même. Et si ce but était censé être la conquête territoriale, il serait préférable de définir ce qu’est exactement la propriété territoriale. Les buts ainsi que leur définition correcte sont quelque chose d’important, car ils font partie de la définition même du management. On pourrait dire que le management est la planification des moyens pour atteindre les buts, leur attribution au personnel pour exécution, et la coordination appropriée des activités au sein du groupe pour obtenir l’efficacité maximale avec un minimum d’efforts pour atteindre les buts déterminés. Continuer à lire… L. Ron Hubbard Chers amis, «Choquez vos parents – lisez un livre!» Quel beau slogan publicitaire! Souvent, nous associons la Scientologie presqu’uniquement à la mise au Clair et à l’audition, mais si l’on écoute bien Ron, la formation est la partie la plus importante. La formation ne fonctionne pas sans l’audition et l’audition présuppose une formation. Si l’on se forme en tant qu’auditeur, on doit tôt ou tard recevoir de l’audition. L’un ne va pas sans l’autre. C’est pourquoi les livres sont la porte d’entrée de la Scientologie. Si l’on n’est pas prêt à lire et à se former, on n’y arrivera pas. Sans travail, il n’y a pas de récompense. En Scientologie et en Dianétique, les livres sont LA publicité. Ron est notre meilleur disséminateur. La Scientologie ou la Dianétique ne sont pas faciles à expliquer. Les raisons sont nombreuses. L’une des raisons pour lesquelles c’est difficile est que, souvent et sans le vouloir, on entre dans le jugement, voire la dévalorisation, et même sans le vouloir, on met l’autre en tort. «Pourquoi moi? Ma femme en a plus besoin que moi!» ou de telles pensées peuvent facilement se mettre en travers de la route. Une déclaration du type «tout est expliqué dans ce livre» permet de contourner ce problème. Un livre est de toute façon plus neutre, car il s’agit justement d’un livre et non d’une personne «à laquelle on doit s’attaquer». Et s’il n’est pas lu, il n’a pas fait de tort. Créateur du but Nous pouvons voir beaucoup de choses en Ron, du Fondateur au Commodore et du Superviseur de cours au Senior C/S Classe XII et bien d’autres choses encore. Mais en réalité, il est le créateur du but, il a postulé et rêvé le but. Il est la source du but. C’est un chapeau très important qui dure au-delà de la mort. Ce n’est pas mon chapeau, ni le vôtre. Il est très important que nous mettions ce chapeau sur la tête de Ron et que nous nous assurions qu’il est et reste le sien. Nous ne devons pas lui disputer ce chapeau, car c’est dangereux! Il est la source. Le sujet est énorme et je pourrais écrire beaucoup de choses à ce sujet. Il est important de comprendre que nous devons aider Ron à porter son chapeau en faisant connaître ses livres. Nous investissons beaucoup de temps et d’énergie pour que les livres de Ron soient imprimés et disponibles à la vente. Nous les mettons également gratuitement à disposition en ligne. Nous proposons les livres à un prix avantageux. Ron l’explique bien mieux que nous tous. Et il ne met personne dans son tort. Comme je l’ai écrit, le travail d’impression des livres est fait, je serai heureux si vous pouviez de temps en temps donner, offrir ou vendre un livre à quelqu’un; le vendre ou l’offrir, les deux sont possibles. La lecture à haute voix est aussi une possibilité. Le livre Evolution d’une science a été écrit à l’époque par Ron en tant qu’article promotionnel pour le livre La Dianétique: La Science Moderne de la Santé Mentale et si vous l’offrez à quelqu’un, nous serions heureux de vous le donner gratuitement. Nous en avons beaucoup en stock. Vers tous les livres Meilleures amitiés. Max Hauri

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