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  • Pourquoi Clair est si important

    Introduction: Pourquoi Clair est si important: Faire une erreur n'est pas vraiment grave. Mais répéter une erreur à l'infini, c'est grave, et c'est encore pire quand on ne s'en souvient même pas. Lisez l'article en entier ci-dessous et réfléchissez-y. Lisez la lettre d'introduction de Max Hauri à cet article ci-dessous Pourquoi Clair est si important Le Clair – Chapitre 2 de la Dianétique: la Science moderne de la Santé mentale de L. Ron Hubbard. Dianétiquement parlant, l’individu optimum s’appelle un Clair. Vous verrez souvent ce mot dans cet ouvrage, sous forme de nom ou d’adjectif; c’est pourquoi il n’est pas superflu que nous nous attardions, dès le début, à préciser exactement ce que nous entendons par un Clair, but de la procédure dianétique. Le Clair – ainsi qu’il est possible de l’établir par test – est débarrassé de toute psychose, névrose, compulsion et inhibition (toutes les aberrations) et ne possède aucune maladie autogène (créée de l’intérieur) ou psychosomatique. Le Clair ne possède aucune de ces maladies ou aberrations. On peut en faire la preuve. Des tests relatifs à son intelligence l’ont révélée bien supérieure à la normale. L’observation de ses activités montre qu’il poursuit l’existence avec vigueur et satisfaction. Par ailleurs, on peut arriver à cette démonstration par une méthode comparative. Il est possible de tester un névropathe affligé de dérangements psychosomatiques, pour constater l’existence de ces aberrations. On peut ensuite le traiter pour mettre au Clair ses maux et névroses. On peut finalement l’examiner et constater les résultats mentionnés plus haut. C’est une expérience qui a été réalisée mainte et mainte fois avec des résultats invariables. Il s’agit d’un véritable test de laboratoire: tous les individus possédant un système nerveux organiquement complet répondent de la même façon à la mise au Clair dianétique. En outre, le Clair possède des attributs fondamentaux et inhérents qui n’étaient pas toujours à sa disposition auparavant, et dont l’Homme ne soupçonnait pas l’existence, quand il ne se contentait pas de l’ignorer purement et simplement dans ses discussions relatives aux aptitudes et au comportement. Il y a d’abord la question des perceptions. Même les gens dits «normaux» ne voient pas toujours toutes les couleurs, n’entendent pas tous les sons, et n’utilisent pas de façon optimale leurs organes de l’odorat, du goût, du toucher et leurs sensations organiques. Il s’agit là des canaux essentiels qui nous mettent en communication avec le monde fini, que la majorité des gens reconnaissent comme la réalité. Il est intéressant de noter en passant que, si les observateurs d’autrefois ont soupçonné que l’individu aberrant devait faire face à la réalité pour retrouver son équilibre, ils ont omis d’en définir le modus faciendi. [modus faciendi ou modus operandi (mot latin): manière de faire, moyen, méthode utilisée.] Pour faire face à la réalité du présent, il faudrait, à coup sûr, être capable d’en faire l’expérience par le canal de ces lignes de communication les plus couramment utilisées par l’homme dans ses activités. Chaque perception humaine peut être rendue aberrante par des dérangements psychiques empêchant la sensation reçue de parvenir à la section analytique du système mental. Autrement dit, même si les mécanismes de perception des couleurs se trouvent en parfait état, certains circuits déformants peuvent modifier la couleur avant que la conscience ait la possibilité de percevoir l’objet. On constatera que la cécité aux couleurs est relative ou limitée, si bien que les couleurs paraissent moins brillantes, ternes, ou, à l’extrême, entièrement absentes. Nous connaissons tous des personnes pour qui des couleurs «voyantes» sont exécrables, et d’autres qui ne les trouvent pas assez «voyantes» pour les remarquer. Ces degrés divers de cécité aux couleurs n’ont pas été attribués à un facteur psychique, mais considérés de façon plus ou moins nébuleuse, comme une sorte d’état mental, à supposer qu’on y prêtât la moindre attention. Il y a des gens que les bruits dérangent; des gens pour qui, par exemple, le gémissement d’un violon correspond à une torture de l’ordre d’un clou enfoncé dans l’oreille; pour d’autres, cinquante violons jouant fortissimo agissent comme un calmant; d’autres, en présence d’un violon, ne manifestent qu’ennui et désintérêt; pour d’autres encore, un violon qui jouerait la mélodie la plus compliquée, ne laisserait qu’une impression de monotonie. Ces différences de perception auditive, ainsi que les déficiences relatives aux couleurs ou à la vision en général, ont été dites de nature inhérente ou attribuées à des malformations organiques, ou laissées complètement inexpliquées. D’une personne à l’autre, les sensations olfactives, tactiles, organiques, le sens de la douleur, de l’équilibre varient de façon surprenante. Faites-en l’expérience rapide auprès de vos amis; vous constaterez les différences énormes de perception pour un stimulus identique. L’un sent une dinde dans le four avec admiration, l’autre avec indifférente, et le troisième ne sent rien du tout. Et un autre vous soutiendra peut-être que la dinde rôtie sent exactement comme la brillantine – si l’on pousse l’exemple à l’extrême. Tant que nous n’avons pas de Clairs, ces différences demeurent obscures. Car, dans une large mesure, de telles différences qualitatives et quantitatives de perception sont dues à l’aberration. Vu les différences d’expériences passées agréables et de sensibilité intrinsèque, les Clairs seront différents les uns des autres, et l’activité d’un Clair n’aura rien de standard, de moyennement adapté, but terne et ennuyeux des doctrines passées. Le Clair réagit de façon optimale, compte tenu de son propre désir de réagir. De la mèche lente qui brûle lui semble toujours dangereuse, mais sans le rendre malade. Une dinde rôtie sent bon pour lui s’il a faim et aime la dinde, et, à ce moment-là, elle sent très, très bon. Des violons ne jouent pas un son unique; ils jouent des mélodies, ne causent pas de souffrance et sont appréciés au maximum si le Clair a du goût pour les violons; dans le cas contraire, il aimera les timbales, les saxophones ou, en vérité, selon son sentiment, il peut n’aimer aucune musique. En d’autres termes, il y a deux variables [grandeurs, aspects ou facteurs variables] en activité. L’une, la plus folle, est la variable causée par les aberrations. L’autre, tout à fait rationnelle et compréhensible, est produite par la personnalité. Ainsi les perceptions d’un individu aberrant (non mis au Clair) sont très différentes de celles d’un individu mis au Clair (non aberrant). Bien sûr, il y a aussi les différences dues aux organes de perception eux-mêmes et les erreurs occasionnées par eux. Certaines de ces erreurs, un minimum, sont organiques; des tympans crevés ne sont pas de bons mécanismes d’enregistrement du son. La majorité des erreurs de percepts (message des sens tels que vue, ouïe, odorat, etc.) dans la sphère organique est causée par des erreurs psychosomatiques. Des lunettes sont partout perchées sur le nez, même chez les enfants. On s’efforce de corriger par là un état que le corps à son tour s’applique à détériorer de nouveau. La vue, une fois arrivée au stade des lunettes – et non à cause des lunettes – se détériore encore en vertu du principe psychosomatique. C’est là une affirmation aussi catégorique que la loi d’après laquelle, si les pommes tombent des arbres, c’est qu’elles obéissent aux principes de la gravitation. L’un des moindres bénéfices que tire le Clair de sa mise au Clair, c’est que, si sa vue était autrefois mauvaise, elle s’améliorera de façon étonnante et recouvrera en temps voulu un niveau de performance optimum avec tant soit peu d’attention (loin de dresser les opticiens contre la Dianétique, voilà qui leur promet de bonnes affaires. On a vu des Clairs, vers la fin de l’audition, changer cinq fois de lunettes de façon presque consécutive pour suivre les modifications de leur vision – et de nombreux aberrés, mis au Clair sur le tard, se stabilisent visuellement à un niveau très proche de l’optimum). Chez l’aberré la vision se trouvait modifiée par les aberrations, sur une base organique, à tel point que l’organe lui-même ne fonctionnait pas à son régime maximum. Des tests répétés ont montré que l’éviction des aberrations amenait le corps à entreprendre un effort courageux de reconstruction presque parfaite. L’ouïe, de son côté, présente des variantes organiques considérables. Des dépôts de calcium, par exemple, peuvent faire «bourdonner» les oreilles de façon permanente. La disparition des aberrations permet au corps de se réadapter en direction d’un niveau optimum: les dépôts de calcium disparaissent et les oreilles cessent de bourdonner. Mais, indépendamment de ce cas bien spécifique, l’ouïe présente des variantes singulières sur le plan purement organique. Par la faute de l’organe ou des aberrations, l’ouïe peut s’hypertrophier ou s’atténuer au point qu’un individu pourra surprendre des bruits de pas au coin du pâté de maisons voisin de façon tout à fait courante, alors q ue l’autre n’entendr a pas une grosse caisse tambourinant à sa porte. Ces singulières différences de perceptions dues aux aberrations et difficultés psychosomatiques représentent la moindre des découvertes proposées. D’une personne à l’autre, l’aptitude mnémonique prése nte des variantes bien plus fantastiques. L’observation des Clairs et des aberrés a mis au jour un processus de mémorisation tout à fait nouveau, inhérent au système mental, mais insoupçonné jusque-là. Ce processus de mémorisation, sous son aspect le plus total, n’est à la disposition des aberrés que dans un nombre de cas limité. Chez un Clair, c’est chose standard. Bien entendu, nous ne prétendons pas ici que les savants du temps passé n’ont pas su regarder. Nous avons affaire à un sujet d’étude complètement nouveau et inexistant dans le passé, le Clair. Ce qu’un Clair peut aisément accomplir, très peu de gens, dans le passé, ont occasionnellement pu le réaliser en partie. En Dianétique, nous désignerons cette aptitude mentale intrinsèque, aptitude non acquise, par le terme technique de «retour». Le mot est employé avec le, sens qu’en donne le dictionnaire et, précisons-le, le mental possède cette aptitude de mémorisation de façon tout à fait normale: la personne peut «envoyer» une partie de son mental à un moment du passé, sur un plan mental ou à la fois mental et physique et refaire l’expérience des incidents qui ont eu lieu dans le passé avec les mêmes sensations et de la même façon qu’auparavant. Autrefois, une pratique connue sous le nom d’hypnotisme utilisait ce qu’on appelait la «régression» sur des sujets en état d’hypnose. L’hypnotiseur renvoyait le sujet, d’une façon ou d’une autre, dans une période de son passé. Il avait recours à des techniques de transe, à des drogues et à toute une technologie. Le sujet hypnotisé pouvait retourner «entièrement» à ce moment passé, si bien qu’il donnait l’impression d’avoir l’âge auquel il était retourné, et uniquement les facultés apparentes et souvenirs possédés à l’époque – c’est ce qu’on appelait la «revivification» (le fait de revivre). La régression était une technique grâce à laquelle une partie de l’individu restait dans le présent et une partie retournait dans le passé. Ces aptitudes mentales étaient considérées comme n’existant que chez les sujets hypnotisés et n’étaient utilisées qu’avec la technique de l’hypnose. Il s’agit là d’une très vieille pratique remontant à quelques milliers d’années et existant encore en Asie, comme elle existe, apparemment, depuis l’aub e des temps. Nous employons ici le terme de «retour» au lieu de «régression» parce qu’il s’agit de quelque chose de différent, et parce que la régression est un mot ambigu à la signification péjorative. Revivre est substitué à revivifier, en Dianétique, pour la simple raison qu’on n’y utilise pas de méthode hypnotique, comme on l’expliquera plus loin; on trouvera également une explication de l’hypnotisme. Le mental possède donc une autre aptitude mnémonique. Une partie du mental peut «retourner» même si la personne est bien éveillée, et refaire l’expérience complète d’incidents passés. Si vous voulez vérifier, essayez sur différentes personnes et trouvez-en une qui y parvienne aisément. A l’état de veille totale, elle peut «retourner» à certains moments de son passé. Elle ignorait sans doute l’existence de cette aptitude avant d’en avoir fait l’essai. Ou alors elle croyait que tout le monde pouvait en faire autant (genre de supposition qui nous a empêchés de découvrir tant de ces phénomènes). Elle peut retourner au moment où elle nageait et se sentir nager de nouveau en retrouvant toutes les sensations auditives, visuelles, olfactives, tactiles, gustatives, organiques, etc. Un monsieur «savant» passa un jour plusieurs heures à démontrer à son auditoire que le souvenir d’une sensation olfactive, par exemple, était impossible puisque «la neurologie avait prouvé que les nerfs olfactifs n’étaient pas reliés au Thalamus» [partie du cerveau considérée comme le principal centre de collecte, de commutation et d'intégration inconscient des perceptions sensorielles, où sont pré-triées les impulsions qui doivent parvenir à la conscience.]. Deux membres de l’auditoire lui firent remarquer qu’ils pouvaient retourner mais en dépit de cette preuve le monsieur «savant» continua à soutenir que le souvenir olfactif était impossible. Un contrôle parmi les membres de l’auditoire, sans tenir compte de la question du retour, révéla que la moitié des personnes présentes se rappelaient les sensations olfactives en sentant de nouveau les odeurs. Le retour est le souvenir par images, dans son sens le plus total. La mémoire tout entière est capable d’amener les régions sensorielles à ressentir les impressions d’un événement passé. Le retour partiel est chose courante, pas assez courante pour qu’on le considère comme normal; mais, à coup sûr, assez courante pour que nous l’ayons étudié avec attention, car il varie énormément d’un individu à l’autre. Percevoir le présent serait une façon de faire face à la réalité. Mais si l’on est incapable de faire face à la réalité du passé, on se refuse à confronter par là même une fraction de réalité. Et si l’on considère comme souhaitable l’aptitude à «voir la réalité en face», il faut être capable de voir aussi bien la réalité passée pour être considéré comme complètement équilibré selon les normes actuelles. Or, pour «voir en face la réalité d’hier», il faut posséder une certaine aptitude au souvenir. Mais combien avons-nous de façons de nous souvenir ? Il y a d’abord le retour. C’est là quelque chose de nouveau. C’est une méthode qui permet d’examiner les images animées et autres perceptions sensorielles complètes, recueillies à l’époque de l’événement. Il permet aussi de retrouver des conclusions et imaginations passées. C’est très utile de pouvoir, au cours d’études, de recherches ou dans la vie courante, se retrouver à l’endroit où se présentaient des données intéressantes. Nous avons aussi les différentes façons de se rappeler. Le rappel optimal consiste à utiliser la méthode du retour accompagnée d’un ou de plusieurs sens, l’individu lui-même restant dans le présent. En d’autres termes, quand certaines gens pensent à une rose, ils la voient, la respirent, la sentent. Ils la voient nettement, dans toutes ses couleurs, avec les «yeux de l’esprit», pour employer une vieille expression. Ils la sentent nettement. Ils peuvent même en sentir les épines. Ils pensent à une rose en se souvenant réellement d’une rose. Quand ces gens pensent à un navire, ils voient un navire spécifique, en perçoivent le mouvement s’ils se rappellent être à bord, sentent le goudron ou autres odeurs moins agréables, et entendent les sons présents. Ils voient le navire en mouvement, avec toutes ses couleurs, et entendent les sons présents avec toutes leurs tonalités. Ces facultés varient énormément d’un aberré à l’autre. Certains, si vous leur demandez de penser à une rose, ne peuvent que se la représenter visuellement. Certains la sentent, mais ne la voient pas. Certains n’en voient pas les couleurs, ou alors de façon très atténuée. Si vous demandez à certains de penser à un navire, ils ne verront qu’une image sans relief, immobile et terne, semblable à un tableau ou à une photographie. Certains verront un bâtiment en mouvement, sans couleur, mais avec les sons. Certains l’entendront, mais sans voir la moindre image. Certains ne parviennent qu’à penser à un navire purement abstrait; ils savent que les navires existent, mais sont incapables de voir, sentir, entendre, palper, etc. Certains observateurs ont autrefois donné à cette aptitude le nom de «visualisation», mais le terme convient si peu au son, au toucher, aux sensations organiques et à la douleur, que le terme de rappel est celui que nous emploierons régulièrement comme terme technique dianétique. La valeur du rappel dans la vie courante a été l’objet de si peu d’observations que le concept n’en a jamais été précisé dans le passé. C’est pourquoi nous nous sommes attardés aux descriptions qui précèdent. Il est très facile de tester le rappel. Si vous demandez à vos amis quelles sont leurs possibilités dans ce domaine, vous vous ferez une idée de la façon dont cette aptitude varie de l’un à l’autre. Certains ont telle forme de rappel, certains telle autre, certains n’en ont pas, mais n’opèrent que par concepts de rappel. Mais n’oubliez pas, au cours de ce test, que chaque perception est classée dans la mémoire et possède donc son propre rappel, y compris la douleur, la température, le rythme, le goût et le poids, en plus des sensations mentionnées plus haut: vue, son, toucher, odeur. Les dénominations dianétiques de ces divers rappels sont le visuel (vue), le sonique (son), le tactile (toucher), l’olfactif (odeur), le rythmique (rythme), le kinesthésique (poids et mouvement), le somatique (douleur), le thermal (température), et l’organique (sensations internes et, avec une définition nouvelle, l’émotion). Il existe une autre classe d’activités mentales que nous pouvons grouper sous les termes d’imagination et d’imagination créatrice. Nous avons là encore un beau domaine de recherches. L’imagination consiste à recombiner des choses perçues, pensées ou mises au monde par un processus intellectuel, mais qui n’ont pas nécessairement une existence réelle. C’est la méthode employée par le mental pour envisager des buts désirables ou prévoir certains futurs. L’imagination s’avère extrêmement précieuse lorsqu’il s’agit de résoudre un problème ou de vivre, tout simplement. Le fait qu’il s’agisse d’une recombinaison n’enlève rien à sa merveilleuse et vaste complexité. Le Clair utilise toute son imagination. Il existe une impression imaginaire pour chaque perception: vue, odeur, goût, son, etc. Ces impressions sont édifiées à partir de modèles existant dans les magasins mnémoniques (contenant les expériences enregistrées) et en les combinant et assemblant de façon conceptuelle. Les nouvelles structures physiques, les lendemains en termes d’aujourd’hui, l’année prochaine d’après l’année passée, le plaisir à obtenir, les actes à accomplir, les accidents à éviter sont autant de problèmes pour l’imagination agissante. Le Clair possède dans leur totalité les imaginations visuelle en couleur, sonique avec les tons, tactile, olfactive, rythmique, kinesthésique, thermique et organique. Si vous lui demandez de s’imaginer dans un carrosse doré à quatre laquais, il «voit» l’équipage en mouvement, en couleur, il «entend» tous les sons présents, il «respire» toutes les odeurs qu’il estime présentes, il «sent» le capitonnage, le mouvement et sa propre présence à l’intérieur du carrosse. En plus de l’imagination courante, nous avons l’imagination créatrice. C’est une aptitude d’une ampleur indéfinissable, très variable d’un individu à l’autre, et que certains possèdent à un degré extrême. Nous la mentionnons ici, non comme partie intégrante des opérations du mental habituellement traité par la Dianétique, mais en tant qu’entité réelle. Elle est présente chez le Clair même si ses aberrations passées en empêchaient la pratique. C’est une aptitude intrinsèque. Seul le fait d’en interdire l’utilisation courante peut la rendre aberrante, c’est-à-dire rendre aberrant son emploi permanent ou bloquer tous les processus mentaux. Mais l’imagination créatrice, cette aptitude qui permet la réalisation d’œuvres d’art, la création de nations et l’enrichissement de l’Homme, peut être considérée comme une fonction indépendante, complètement autonome, et qui ne doit aucunement son existence à la présence d’aberrations individuelles, puisque son étude chez le Clair qui en est doué, démontre de façon certaine son existence innée. Elle est rarement absente chez un individu. Nous avons enfin l’activité mentale la plus importante. L’Homme est considéré comme un être raisonnable. Sa raison est fonction de son aptitude à résoudre des problèmes en percevant, créant et comprenant diverses situations. Cette raison est la plus élevée des fonctions mentales qui font de l’Homme un Homme et non un animal différent. Ses aptitudes à se souvenir, à percevoir et à imaginer lui confèrent la possibilité de parvenir à des conclusions, et d’utiliser ces conclusions pour en atteindre d’autres. Tel est l’Homme raisonnable. La raison, par opposition à l’aberration, n’est observable que chez le Clair. Les aberrations de l’aberré lui donnent une apparence de déraison. Même s’il est possible de qualifier cette déraison «d’excentricité», «d’erreur humaine», ou «d’idiosyncrasie personnelle» et autres définitions plus amènes, elle n’en reste pas moins déraison. La personnalité n’est pas fonction de la quantité de déraison qui motive un individu. Ce n’est pas un trait de personnalité, par exemple, que de conduire en état d’ivresse pour tuer un enfant sur un passage clouté, ou même de risquer de tuer un enfant en conduisant dans cet état. La déraison est simplement ceci: l’inaptitude à tirer des réponses justes de données précises. Or, fait étrange, alors que «tout le monde sait (et quelle horrible quantité d’erreurs ce genre d’affirmation laisse se propager) qu’il est humain de se tromper», il se trouve que la section raisonnable du mental, celle qui calcule les réponses aux problèmes et qui fait que l’Homme est Homme, ne peut absolument pas se tromper. Nous avons considéré cette découverte comme surprenante, mais à tort. On aurait pu parvenir plus tôt à la même conclusion. Car la chose est simple et facile à comprendre. L’aptitude calculatrice réelle de l’Homme n’est jamais en défaut, même chez l’individu sérieusement aberrant. A observer l’activité d’un tel aberré, on pourrait conclure de façon irréfléchie que les raisonnements de cette personne sont faux, mais ce serait là une erreur d’observation. Tout individu, aberré ou Clair, raisonne parfaitement à partir des données perçues et enregistrées. Prenez n’importe quelle calculatrice électronique (et le système mental est un magnifique instrument, de loin supérieur à toutes les machines qu’il pourra inventer dans les siècles à venir), et confiez-lui un problème. Multiplier un par sept. Elle répondra correctement: sept. Maintenant, multipliez six par un, mais continuez à retenir le sept. Six fois un font six, mais la réponse que vous obtiendrez sera quarante-deux. Continuez à retenir le sept et confiez d’autres problèmes à l’appareil. Ils seront faux, non comme raisonnements, mais comme réponses. Maintenant, fixez ce sept de telle façon qu’il soit impossible de le mettre hors circuit, quels que soient les leviers manipulés et essayez de vendre l’appareil. Personne n’en voudra, car, de toute évidence, la machine est folle. Elle dit que 10 fois 10 font 700. Mais est-ce que la partie calculatrice est folle ou lui a-t-on simplement confié des données fausses ? De la même façon, le mental humain, qui doit résoudre des problèmes importants comprenant suffisamment de variables pour laisser perplexe mille fois par heure une simple machine à calculer, peut se trouver victime de données incorrectes. Les données incorrectes s’introduisent dans la machine. La machine présente des réponses incorrectes. Des données incorrectes s’introduisent dans les magasins mnémoniques humains et la personne réagit de «façon anormale». La résolution du problème de l’aberration humaine consiste à trouver la «retenue de sept». Vous en entendrez parler beaucoup, plus loin. Pour l’instant, nous sommes arrivés à nos fins immédiates. Telles sont les diverses aptitudes et activités du mental humain, qui a pour constante mission de résoudre et mettre en application une multitude de problèmes. Il perçoit, se rappelle ou retourne, il imagine, il conçoit puis résout. Assisté de ses prolongements (percepts, magasins mnémoniques et imagination), le mental présente des réponses invariablement exactes, sous réserve de modifications causées uniquement par l’observation, l’éducation et le point de vue. Et les buts fondamentaux de ce mental, la nature fondamentale de l’Homme, tels qu’on les découvre chez le Clair, sont bons et constructifs, uniformément bons’ et constructifs, leurs solutions ne se trouvent modifiées que par l’observation, l’éducation et le point de vue. L’Homme est bon. Débarrassez-le de ses aberrations fondamentales, et avec elles s’en va le mal dont la scolastique [Scolastique : terme générique désignant les érudits du milieu et de la fin du Moyen Âge attachés à la tradition et orientés vers les dogmes théologiques, en particulier en philosophie et en théologie (environ du 10e au 15e siècle). et la morale étaient si friandes. La seule partie détachable de lui est cette «mauvaise» section. Et, une fois cette section détachée, sa vigueur et sa personnalité retrouvent une force nouvelle. Et il est heureux de voir cette «mauvaise» section l’abandonner, car elle était faite de douleur physique. Vous trouverez plus loin des expériences et validations de ces faits, vérifiables avec la précision si chère au physicien. Le Clair, donc, n’est pas un individu «conditionné», contrôlé par ses inhibitions désormais débloquées. C’est un individu sans inhibitions et autodéterminé. Et ses aptitudes à percevoir, se rappeler, retourner, imaginer, créer et raisonner correspondent à la description donnée plus haut. Le Clair est le but de la thérapie dianétique, but qu’un peu de patience et d’étude permettent d’atteindre. Tout individu peut être mis au Clair, à moins d’avoir été malheureusement privé d’une partie importante de son cerveau ou d’être né avec une structure nerveuse grossièrement malformée. Nous venons de voir le but de la Dianétique. Voyons maintenant celui de l’Homme. L. Ron Hubbard Chers Amis, Sur cette terre, une guerre bien plus importante que celles dont nous entendons parler dans les médias, fait rage. L’enjeu dépasse la vie et la mort, et cette guerre est ancestrale. On ne sait pas quand elle a commencé, elle remonte à très loin, et ne figure pas dans nos livres d’histoire. Mourir à la guerre est terrible et on se demande inévitablement pourquoi? Et pour qui? Tant de choses ont été écrites sur la guerre que j’écrirais inévitablement des répétitions. Je ne le ferai donc pas. La guerre générale est de faire croire aux thétans qu’ils sont de la matière. Et c’est pire que de mourir. Mourir encore et encore, sans savoir qu’on est à nouveau mort est désolant, n’est-ce pas? Faire une erreur n’est pas vraiment grave. Mais répéter une erreur à l’infini est grave, et c’est encore pire quand on ne s’en souvient même pas. La solution est Clair. C’est l’état de Clair. C’est une planète mise au clair. Il s’agit de rendre quelqu’un, Clair. Il ne s’agit pas de dire à quelqu’un qu’il est un thétan, c’est-à-dire un être spirituel. Nous mettons au Clair quelqu’un et il en prend conscience. D’après mes observations et mon expérience personnelle, je peux dire qu’être conscient de soi-même en tant qu’être spirituel est une échelle de gradients avec beaucoup de nuances de gris. Les niveaux les plus élevés sont connus de peu de gens et peu d’entre eux y sont parvenus. L’état de Clair fait partie de notre Pont, il y a un chemin clairement défini pour atteindre l’état de Clair. Souvent, cela commence par une Réparation de Vie, puis des Procédés Objectifs. Cela comprend l’audition de Dianétique, les Grades avec toutes leurs étapes ainsi que quelques cours. La mise au Clair consiste en différents types d’audition, dont la plupart sont inclus dans les Grades. Qu’est-ce qu’un Clair? Eh bien, je laisse Ron parler. Ci-dessous, le chapitre «Le Clair» du livre «La Dianétique: La Science Moderne de la Santé Mentale». Si vous avez des questions, je reste bien volontiers à votre disposition. Meilleures amitiés. Max Hauri

  • L'Etat d'être

    Introduction: L'état d'être – «Être ou ne pas être?» C’est la chose sur laquelle l’Homme est fixé. Mais ce n’est pas la bonne question. Accorder l’être ou ne pas accorder l’être est la question sur laquelle il est collé chaque jour de sa vie. Lisez la lettre d'introduction de Max Hauri à cet article ci-dessous L'Etat d'Être Extrait de la Conférence «L'Etat d'Être» [Beingness] du 18 décembre 1953 par L. Ron Hubbard «Mais au-dessus de toutes ces choses, il y a la capacité de la personne à accorder l’être au moment présent, au passé, au futur, à d’autres personnes et à ses propres choses. Accorder l’être et ensuite de ne pas en être effrayé. Et si vous avez accordé l’être, continuez ensuite à l’accorder, au lieu de vous arrêter de le faire, juste parce qu’une partie de cela vous a frappé.» Nous avons discuté du sujet de cause et effet, qui est la première ligne dans les Facteurs. Eh bien, il y a une seconde ligne. Une qui est un des points le plus important pour chacun – l'état d'être (Beingness). Ce n’est qu’un mot: être, et toutes les autres choses, cause et effet inclus, sont en fait des symptômes de l'Etat d'être (Beingness). La vie elle-même avec toutes ses randomités consiste en cela, que vous désiriez que d’autres choses soient ou non, ou que d’autres choses désirent que vous existiez ou non. Cette seule chose forme la base du jeu. Toutes les choses dans la vie ont à faire avec l'état d'être (Beingness). Le Beingness est «l’étoffe» dont est faite la vie. Une chose qui est en vie est en dessous du niveau d’un thétan. un thétan est quelque chose qui accorde l’être. ​ Le royaume des fourmis Jetons un œil au royaume des fourmis. On a accordé l’être aux fourmis. Une fourmi n’est pas un Beingness en soi. Cela signifie qu’elles ne sont pas des états d’être indépendants, comme un thétan par exemple. Et là, on se heurte à quelque chose d’étrange. En tant que thétan, si vous allez par là et que vous jouez avec une fourmi, et que vous lui envoyez un rayon à travers la tête pour court-circuiter quelques importantes choses afin de la faire tourner en rond, vous obtenez instantanément l’idée qu’il y a quelque chose là quelque part qui devient terriblement furieux envers vous. Vous pourriez même aller tout au fond de l’océan et vous feriez une observation similaire. Un auditeur peut oublier des fois qu’il entraîne un thétan, et que le thétan n’a pas besoin de respirer. Un thétan peut visiter toutes sortes d’endroits. Vous pouvez visiter le fond de la mer aux Philippines où se trouvent les poissons les plus intéressants que vous ne puissiez jamais rencontrer. Si vous descendez jusque là-bas, vous allez y voir un monde de vie phosphorescente. Les poissons se baladent avec des torches et ils se dévorent les uns les autres comme partout ailleurs. ​ Accorder l’être Tout cela nous mène au fait que cette forme de vie a un Beingness accordé. Quelque chose lui a accordé cet être. Si vous commencez à vous amuser avec, quelque chose va se fâcher. Vous pourriez continuer à jouer avec et rien ne se passera. Mais vous recevrez un coup émotionnel en retour, parce qu’en fait vous travaillez contre une ligne de communication de quelque chose, quoi que cela puisse être, qui contrôle les poissons et les escargots du corail. Vous pêchez cet animal ou cette créature et vous commencez à détruire cet Beingness. Vous blessez le Beingness général de cette sorte d’êtres. Mais ce qui est même encore plus important que cela est que, en tant que thétan, vous avez touché des entités génétiques, pas d’un ordre aussi bas que des fourmis ou des poissons, mais qui sont certainement connectées avec eux et leurs sont dévouées jusqu’à un certain point. Mais aucun mot n’a été dit ici que le corps est un thétan dégradé. Je n’ai jamais dit cela, et je ne le dirai pas maintenant non plus. C’est une possibilité. Mais personnellement, je ne crois pas que cela soit vrai. Je pense que c’est une toute autre classe de Beingness. Mais cela doit être une classe plus élevée que les fourmis et les poissons, etc. Cependant, c’est quand même quelque chose à qui on a accordé l’être. En d’autres termes, au-dessus se trouve un second niveau de «quelque chose». Nous ne savons pas tout ce qu’il y aurait à savoir au sujet de l’anatomie des formes de vie dans cet univers. Principalement parce que nous ne devons pas absolument le savoir. ​Idées fixes Bien, la vie peut tout faire, jusqu’au moment où elle ne se consacre plus qu’à une seule ligne de communication. Chaque être peut faire ce qu’il veut, jusqu’au moment où il ne se consacre plus qu’à une seule ligne de communication, qu’il considère comme étant invariable. Les seules justifications pour les lignes de communication en Scientologie sont qu’elles résolvent les lignes de communication et rétablissent l’aptitude à créer des lignes de communication, des formes et de la randomité. L’automatisation prend place parce que l’être a été accordé. Vous accordez l’être à un espace ou à quelque chose d’autre, et après cela vous dites que ce Beingness va maintenant fonctionner de cette façon. C’est une seconde ou une troisième classe de Beingness en comparaison d’un thétan. Il a donc fondamentalement fait une fourmi ou quelque chose qui n’a pas cette forme concrète. Il a appelé une idée à la vie. Et si vous appelez une idée à la vie, alors vous avez accordé l’être à un espace. Qu’en est-il de cette idée? Nous allons maintenant parler de ces choses que la vie fait et qui sont assez différentes du MEST. Nous arrivons à ce point: MEST n’a pas d’idées, la vie si. D’avoir une idée, c’est un peu comme d’accorder l’être. Si vous accordez l’être à quelque chose, alors jusqu’à ce point, vous lui avez donné la vie. Et si vous commencez à enlever vos automaticités, en fait vous détruisez de la vie. Mais vous détruisez de la vie que vous aviez installée là. ​ La détérioration d’un thétan La détérioration d’un thétan se passe durant ce cycle. Il accorde l’être et ensuite il regrette de l’avoir fait. Après avoir accordé l’être, il coupe ces connexions avec l’être, et il pense qu’il a coupé son propre Beingness. Par conséquent, chaque fois qu’il accorde l’être, il croit qu’il se rend lui-même plus petit. Ce n’est pas vrai. Une personne devient de plus en plus et toujours plus grande. Le thétan a une réserve illimitée du nombre d’être qu’il peut accorder. C’est pour cela qu’on pourrait même dire qu’il devient de plus en plus grand. Un thétan peut accorder l’être et le retirer ensuite, aussi longtemps qu’il ne persiste pas à résister à ce qu’il a déjà créé. ​ Créer des adversaires Ce que vous ne devriez pas faire est d’accorder l’être à quelque chose et ensuite de décider à le combattre. Mais c’est une des premières choses que fait un thétan afin de créer quelque randomité. Il créé l’autre joueur d’échecs. Et ensuite après avoir créé l’autre joueur d’échecs, il joue un jeu avec lui. S’il continue avec ce genre de comportement, il va finir par avoir créé tous ses ennemis lui-même. Les idées, qu’il a créées, pourraient être de vrais êtres vivants ou ils peuvent simplement naviguer dans l’air là autour, ou ils sont dans l’espace, ou encore dans son espace fixés comme des choses pour lesquelles il refuse de prendre aucune responsabilité. Nous avons là ainsi le problème de l’Homme et de ses idées. Nous pourrions dire: «l’Homme est ses subordonnés.» Ou nous pourrions aussi dire: «La chose qui accorde l’être et ces choses à qui on accorde l’être.» ​ La chose la plus noble que peut faire un thétan Un thétan a accordé l’être à un corps. Quand cet être est accordé, le thétan va le faire jusqu’à un tel degré, qu’il va croire qu’ensuite le corps a un propre Beingness qui est similaire au sien. Vous obtenez ainsi un thétan qui se conforme aux ridges du corps, qui sont bien sûr ses propres ridges. Ils sont ses idées, ses mécanismes, et il pense ainsi qu’il est le corps. Une chose qui accorde l’être et qui est capable d’accorder l’être infiniment, qui peut animer et doter de vie toute chose, et qui finalement arrive à la conclusion que quelque chose lui a accordé la vie et l’être, sera dans un très mauvais état. Par conséquent, la chose la plus noble qu’un thétan peut faire est d’accorder la vie et l’être. Et la chose la plus stupide que peut faire un thétan est d’installer quelque chose d’autre (otherness) et de le combattre. C’est l’histoire de l’Homme qui se bat contre lui-même! ​ Accorder l’être au moyen d’un via Chaque préclair que vous avez est simplement le drame d’un être qui peut accorder l’être et qui combat cet être qu’il a accordé. Il est entouré de choses auxquelles il ne désire pas accorder l’être. Des choses dont il est convaincu qu’elles ne sont pas bonnes s’il leur accorde l’être. Il croit qu’il doit utiliser un système de communication afin d’accorder l’être. Nous nous trouvons ici avec une seconde qualité de genre de Beingness. Pourquoi? Il pense qu’il doit utiliser un système de communication afin d’accorder l’être. Regardons un charpentier. Il accorde l’être au bois en prenant une scie, un marteau et un ciseau et en fabriquant une boîte. Il a maintenant créé une boîte. Cela signifie accorder l’être via un système de communication. Quel serait le genre de Beingness qu’il accorderait à quelque chose, s’il était simplement assis là en accordant l’être à cette chose? Il pourrait probablement créer une boîte en bois de cette manière. Mais il ne croit pas qu’il peut le faire. Par conséquent, il utilise, comme il le pense, le plus fiable système de communication et créé avec un marteau, une scie et un ciseau. Vous pouvez regarder autour de vous, juste où vous vous trouvez, et vous verrez deux ou trois choses auxquelles vous n’accorderiez pas volontiers l’être. ​ Résistant à tous les effets Vous prenez un morceau de papier ou une montre et vous vous dites: «C’est idiot pour moi d’accorder maintenant l’être à cette montre, parce qu’elle est déjà en train de marcher. Elle est en train de marcher, parce que le propriétaire respectif l’a mise en marche ou l’a arrêtée.» Vous voyez là, on avait déjà accordé l’être à cette montre par un système de communication. Un thétan arrive un peu plus tard dans le jeu et il commence à accorder l’être à une chose, qui est déjà soumise à une autre ligne de Beingness. Et ainsi rien ne se passe. C’est la chose précise que la montre n’a pas le droit de faire. C’est inhérent en elle. Elle doit résister à tous les effets. L’entreprise, qui a produit ces montres dans le Connecticut, les produit avec ce postulat inhérent à l’intérieur. Et le type qui les a planifiées et conçues, les a fabriquées avec le postulat inhérent: résiste à tous les effets. ​ Un étranger dans la ville Un thétan peut ensuite croire qu’il lui est impossible de pouvoir convenablement rivaliser avec l’univers MEST. Il apparaît sur la scène, mais antérieurement, on avait déjà accordé l’être à la scène. Et c’est le point où un individu a la vie dure dans une nouvelle communauté. Tout l’être est déjà accordé (c’est ce qu’il pense). Ce n’est pas vrai, seul le thétan croit que c’est comme ça. Il arrive dans la nouvelle commune et tous les appartements sont complètement étranges. On leur avait déjà accordé l’être. Chacun le lui répète continuellement: «Cette maison appartient au juge Morton, et là-bas c’est le pub de Bill South, et là nous avons notre palais de justice, que nous avons reconstruit dernièrement, car il avait été la victime des flammes.» Il découvre que chacun ici avait accordé l’être à la ville, sauf lui. Et définitivement, il découvre que chaque personne dans cette ville est impatiente de lui dire qu’elle a accordé l’être à cette ville. Mais pas lui, lui il est un étranger. ​Accorder l’être à l’espace Prenons un enfant qui était né et a grandi dans cette ville. L’enfant a exploré tous les recoins et a gravé ses initiales sur le vieux chêne. Il a cassé les fenêtres de cette maison, et dans une autre maison, une vieille dame a essayé de l’attraper. Il y a la maison, où il avait fait un poisson d’avril à quelqu’un. Il a plus ou moins laissé ses empreintes presque partout dans la ville. Au début de sa plus tendre enfance, il avait eu ses propres idées au sujet de cette ville, et heureusement, il les avait eues deux à trois ans avant que quelqu’un pense qu’il avait déjà eu des idées à son sujet et commence à l’éduquer. Mais à ce moment-là, il savait déjà que les gens se trompent. Il sait que la maison sur la colline est hantée par des esprits, qu’elle a toujours été hantée et que les esprits continueront de la hanter dans le futur. Même si des gens démolissaient cette maison, il saurait encore que c’est l’endroit où la maison hantée se trouvait. Il lui a accordé l’être. En d’autres termes, il l’a identifiée, il l’a classifiée et il l’a visitée. De cette façon, une personne habite la communauté entière dans laquelle il a grandi. Cela fait que les gens, qui ont déménagé trop souvent dans leur jeune âge, atteignent un point où ils ne se croient plus être capables d’occuper la communauté. Nous parlons ici de la question d’être de l’espace, mais il y a plus que simplement être de l’espace. ​ Accorder l’être à votre futur C’est une chose vraiment bizarre. Un type arrive par le haut d’une colline et voit la ville étalée devant lui. Il dit: «Quel endroit terrible, instable, laid et misérable que voilà!» Et le prochain type arrive par le haut de la colline, regarde la ville et lui donne de l’être et dit ensuite: «Il y a une ville là en bas.» Le premier type descend à la ville et personne ne fait quoi que ce soit pour lui. Quand on va changer les fers de son cheval ou réparer sa voiture, on va mal mettre les fers ou on va réparer ses pneus d’une façon étrange qui fera qu’ils ne dureront pas longtemps. Les choses se passent de cette façon. Et le prochain type traverse la ville et il lui a accordé l’être. De toute façon, il n’y a probablement rien qui ne va pas dans son équipement, mais il descend là et trouve que tout le monde est vraiment sympa avec lui. A l’hôtel, il reçoit une bonne chambre. La nourriture est bonne et tout le monde est heureux et content de tout cela. Ce genre de choses lui arrive durant sa vie entière. Cela ne signifie pas qu’on a créé son futur à ce degré simplement en considérant que les choses ne sont pas bien, mais parce que le futur ne se crée pas sur le long terme. On le crée sous la forme de fractions de seconde. On crée son futur moment après moment. Et si on n’accorde pas l’être au futur, il n’est pas vivant. Il ne contient pas de vie. Une fraction de seconde après avoir prononcé le postulat, aucune vie n’a lieu. ​ Ce que la vie fait le mieux Au-dessus de ça, il y a une partie du raisonnement à un niveau plus élevé, le fait d’être. Si l’on ne veut pas accorder l’être aux gens à qui on parle, on essaye systématiquement de ne pas leur accorder l’être… Vous voyez ce qui va se passer? On commence à combattre le fait qu’on accorde l’être. On parle à quelqu’un et on lui accorde l’être. On fait ça simultanément. Nous parlons de quelque chose qui est très très diabolique, tout à fait irréel. Nous parlons de ce que la vie fait le mieux. Elle agite sa baguette magique et dit «Sois» ou «Vis» ou «Existe», et toutes les choses le font. C’est ça que la vie fait. ​ «Ne pas accorder l’être» égale «moins d’espace» Vous avez là une personne, qui a causé que plus de choses existent, et qui ne désire plus causer que quoi que ce soit existe. Il est donc ainsi attaqué par toutes les choses qu’il a créées. Dans son environnement immédiat, les choses vont attaquer la personne. Elles refusent de lui accorder l’être. Quand l’environnement d’une personne lui a refusé l’être trop souvent, elle va elle-même refuser l’être à l’environnement. A côté de tout ce qui est mécanique, ce Beingness va se manifester d’une manière ou d’une autre afin d’invalider la personne qui ne désire pas accorder l’être. Il doit avoir de moins en moins d’espace, parce qu’il ne peut pas se déployer sur un espace plus grand patrce qu’il n’est pas capable d’accorder le Beingness à ces choses. Vous verrez cette manifestation sur les corps de ces gens que vous auditez. Vous verrez jusqu’à quel point des gens ont refusé de leur accorder l’être, et pendant qu’ils sont audités, vous verrez jusqu’à quel point ils refusent d’accorder l’être. ​ L’État d’être et l’échelle des tons L’Echelle des Tons est une échelle de la vie. C’est aussi une échelle de la quantité d’être que quelqu’un pense avoir et il reflète le nombre de mouvement qu’une personne pense pouvoir contrôler. Il le montre dans un grand nombre de choses. Vous allez découvrir que chaque personne qui a des difficultés de sortir de sa tête, ou qui a des difficultés avec des terminaux, sans s’occuper des relations mécaniques, est quelqu’un à qui on a refusé l’être dans une grande mesure. Il exigeait qu’on lui accorde l’être, et il rencontra de la résistance, alors il refusa d’accorder l’être à qui que ce soit d’autre. Qu’est-ce que cet «accord de l’être»? Ce sont une série de mots ou des mots qui sont en corrélation. Ils s’usent rapidement. Ce sont des symboles. Mais l’action elle ne s’use pas. ​ Réhabiliter la capacité de créer L’accord de l’être ou le refus d’accorder l’être – tous les mots de l’Homme et toutes les choses auxquelles une personne doit faire face dans la vie peuvent donc être résumées. La première décision est d’être. Quand vous trouvez la vie dans cet univers, il y a eu une personne qui a décidé d’être. Mais au-dessus de ce niveau, il existe «l’accord de l’être», et cette fonction peut être entraînée. Une personne qui a perdu cette capacité d’accorder l’être a perdu aussi son aptitude à créer. Quand nous réhabilitons la création, nous regardons tout d’abord ce point chez le préclair: son désir d’accorder l’être. ​Lire les pensées Toute œuvre artistique doit vivre. Avec ce sujet nous n’essayons pas de pénétrer dans le domaine du mysticisme ou de la magie noire. Mais de temps à autre vous ferez cette expérience, et ne pensez pas que c’est une expérience inhabituelle. Vous dites à un préclair: «OK, maintenant mets ce postulat, peu importe ce que c’est, dans le mur à l’entrée de cette chambre.» – Ensuite vous allez mettre le même postulat dans le mur d’entrée de cette chambre. Voyez-vous que vous allez obtenir la formulation identique de son postulat? Vous allez mettre votre postulat dans ce mur. Mais vous êtes en communication avec lui, et c’est un système de communication plus élevé. Cette chose avec le «lire les pensées» peut être quelque chose de très indéfinissable et très inquiétant. Mais ici, où vous obtenez une coïncidence d'Etat d'être (Beingness) de cette façon directe, vous avez affaire à cela. Le moins le cas est capable d’extérioriser, le moins positif c’est. Mais vous êtes immédiatement dans un système de communication de thétan à thétan, et un système comme cela existe indépendamment des mots. ​ L’art, qui contient de la vie L’artiste, qui peut peindre sans accorder l’être à son œuvre d’art, est plutôt un mauvais artiste. Il applique simplement de la couleur sur une esquisse. Quand Michelangelo peignait quelque chose ou quand il faisait une sculpture, sa forme était presque parfaite. La forme et l’esquisse de la peinture ou de la statue sont bien assez bonnes pour que vous puissiez en voir une photographie et penser que c’est magnifique. Nous sommes là tout près de la limite de ne presque plus pouvoir en parler. Le langage MEST ne suffit pas à cela. Avant d’avoir confronté un original de Michelangelo dans la réalité, vous ne reconnaissez pas que le type qui l’a peint, l’a vraiment pensé de cette façon. La quantité de vie dans la statue elle-même qui est contrôlée ou qui est maintenue en place d’une façon ou d’une autre est tout juste en train de devenir une supernova ou quelque chose comme cela. C’est la quantité de vitalité. En d’autres termes, cette chose est vivante, et sa vie est parfaitement apparente, même pour n’importe quel vaurien dans la rue. J’ai vu une fois une statue sensationnelle, toute blanche, d’un sculpteur dont je n’avais jamais entendu le nom. C’était dans une partie du monde tout à fait étrange et mystérieuse, où l’on n’aurait jamais imaginé qu’un artiste puisse y avoir vécu. La statue était tellement simple dans sa forme, que vous ne pouviez que difficilement l’appeler comme cela. Mais elle était d’une telle vitalité, animée d’une nature toujours en expansion, qu’en fait, la statue remplissait de paix toute la cour. Elle était en vie, il n’y avait absolument aucun doute à ce sujet. Et ce n’était pas quelque chose qui ne pouvait être reconnu que par des gens ayant reçu un don particulier. Ces gens qui ne faisaient que labourer leurs champs ne l’ont peut-être pas remarqué immédiatement, mais chaque mendiant, chaque marchand ambulant, chaque bonne, chaque personne, chaque gentleman et chaque commis passant dans la rue venait dans la cour presque chaque soir, s’asseyait un moment et regardait la statue. Il y avait des endroits beaucoup plus jolis pour se reposer, mais ils venaient regarder la statue. Elle était vivante. Naturellement, vous pourriez dire, qu’ils ont eux-mêmes accordé encore plus d’être à la statue, et ainsi ils ont préservé la tradition de son existence. Et donc que cette chose animée en a résulté. ​ Amener de la vie neuve N’avez-vous jamais vu une maison qui n’était pas habitée et qui se délabrait et perdait son Beingness? N’avez-vous jamais vu une ville qui perdait son Beingness? Ou n’avez-vous jamais directement senti le Beingness d’une ville? Les gens maintiennent ce Beingness. Un artiste, un écrivain ou un poète peut arriver et accorder un nouveau Beingness à une ville. Il peut simplement improviser cela. Il regarde simplement autour de lui et dit: «Vous avez vraiment une très jolie ville ici!» Et il raconte tout aux gens à ce sujet. Ils n’avaient jamais accordé l’être à cela. Ils étaient tellement occupés à se dévorer entre eux, qu’ils n’en avaient jamais pris note. Mais c’est quelque chose sur laquelle ils peuvent être d’accord. Et dans cet instant particulier, la ville va être vivante. C’est très étonnant de faire cela dans une ville. C’est une aptitude que chaque être possède. Finalement avec le temps l’Homme s’est découragé. Il a pensé que c’était une tromperie ou quelque chose comme cela. Ce n’est pas le cas. Un artiste a très très peu affaire avec les faits, plus il a affaire avec les faits et plus il devient un ouvrier. Ce qu’il fait vraiment c’est diriger le Beingness. S’il peut inspirer à quelque chose un brin de vérité, alors il est un artiste. Cela m’est égal le nombre de diplômes qu’il a obtenus et avec qui il a étudié. C’est simple de libérer cela. Ce n’est pas un de ces talents inatteignables donnés uniquement par Dieu, ou un talent que personne ne peut choisir. Vous êtes là – vous êtes en vie. Quand vous étiez petit, vous avez accordé l’être à votre chien, à votre chariot, en d’autres termes vous les rendiez vivants. Et même encore maintenant, vous accordez l’être à votre voiture, à votre livre favori ou à d’autres objets. Peut-être même que cette chose vous est arrivée: vous portiez un vêtement particulier, quand vous aviez eu une expérience désagréable, et le jour suivant, ou peut-être trois ou quatre jours plus tard, vous n’aviez pas envie de porter ce costume ou cet habit. Vous le laissez de côté. La raison de cela est que vous lui aviez transmis un certain Beingness. Ce Beingness est plus qu’uniquement du temps, de l’espace et de l’énergie. C’est une vivacité et cela échappe à l’observation jusqu’à ce qu’une personne l’examine. Vous êtes aussi vivant que d’autres vous ont accordé l’être et que vous avez accordé l’être à d’autres. En tant que groupe, vous n’êtes vivant que jusqu’à ce degré. Mais vous n’êtes réellement en vie que si vous êtes vous-même tout à fait désireux d’accorder l’être et si vous êtes capable et désireux d’autoriser d’autres à accorder l’être. Vous êtes vivant jusqu’à ce degré uniquement. Cela m’importe peu par quelle humeur quelqu’un est submergé, jusqu’à quel point d’ivresse quelqu’un peut arriver ou combien d’héroïne il peut prendre, il ne gagnera jamais plus de vie par cela. Aucun stimulant artificiel et aucune liaison amoureuse ou quoi que cela soit d’autre peut amener quelqu’un à ce niveau ou à cette caractéristique d’existence, car nous parlons là de la vie elle-même. Quand un préclair est audité, ce qu’il désire est souvent complètement incompréhensible. Il dira: «J’aimerais être heureux.» Et cela est la plus immense escroquerie dans cet univers. Il ne peut pas vivre dans cet univers et être heureux 24 heures par jour, 12 mois par année ou durant 100 unités galactiques. C’est impossible, car il se sentirait misérable si c’était le cas. Il cherche lui-même le drame et la tension. Je n’ai jamais vu quelqu’un qui jouissait plus de la vie que cette fille qui jouait cette magnifique tristesse d’avoir été abandonnée. C’est seulement si elle n’arrive pas à jouer la magnifique tristesse d’avoir été abandonnée, qu’elle va être submergée par la magnifique tristesse. Vous allez devoir commencer à l’auditer. Ce cas a eu la plus remarquable des liaisons amoureuses, et il a fait ceci et cela. Elle est vraiment désireuse de vous parler avec une certaine fierté de quelque chose à ce sujet, mais prenez toujours note de cette lueur de fierté qui se cache derrière cela. Ce n’est pas du matériel aberrant. Ensuite, elle arriva aux difficultés n’ayant pas pu montrer un certain type de Beingness qui par conséquent était empêché et accumulé dans le flux. Des gens ont ensuite travaillé à dénier sa capacité d’être une certaine chose. Ils déniaient son être. Ils diraient à cette personne: «Tout cela n’est pas croyable. Vous êtes seulement en train de dramatiser cela, et vous ne le croyez pas vraiment, et ces pleurs ne veulent rien dire, vous essayez uniquement de vous esquiver. Vous essayez simplement d’obtenir quelque chose». L’existence est en fait toute l’étendue du Tableau d’Evaluation Humaine. Lorsqu’on peut exécuter cela librement, lorsqu’on a un champ large pour vivre et exprimer ses sentiments, exprimer les émotions et s’impliquer, alors toutes ces choses deviennent vitales et le nerf de la vie. Mais au-dessus de toutes ces choses, il y a la capacité de la personne à accorder l’être au moment présent, au passé, au futur, à d’autres personnes et à ses propres choses. Accorder l’être et ensuite de ne pas en être effrayé. Et si vous avez accordé l’être, continuez ensuite à l’accorder, au lieu de vous arrêter de le faire, juste parce qu’une partie de cela vous a frappé. On ne peut pas devenir capable dans la vie en ayant peur de la vivre. Jamais. Et on ne peut pas être soi-même sans être disposé à accorder l’être, car on est le seul à pouvoir s’accorder l’être à soi-même. Donc, nous arrivons à un niveau de processing qui nous en dit déjà beaucoup, et qui est dans sa propre théorie son propre procédé. «Être ou ne pas être?» C’est la chose sur laquelle l’Homme est fixé. Mais ce n’est pas la bonne question. Accorder l’être ou ne pas accorder l’être est la question sur laquelle il est collé chaque jour de sa vie. L. Ron Hubbard Chers Amis, Une nouvelle année est derrière nous, et pour nous, elle fut fructueuse. De plus en plus de personnes reconnaissent l’importance d’une philosophie appliquée qui souligne que le spirituel est au-dessus du matériel et que le thétan – c’est-à-dire vous – est la source de la vie. Pourtant, nous nous voyons confrontés à un monde plein de défis, et il ne semble pas que ces défis disparaissent dès demain. C’est pourquoi il appartient d’autant plus à chacun de contribuer activement à façonner le monde, car chacun d’entre nous est un élément important de notre société. L’idée d’avoir été «créé» conduit malheureusement souvent à se voir comme un effet. Dans un système qui vise à nous réduire à de simples consommateurs et à nous «rendre heureux» avec le statu quo, il est facile de suivre le courant et de ne pas résister. Mais de cette manière, nous ne sommes que des effets et non des causes. Le risque de conformité est considérable. L’idée que Ron partage dans son livre «La Création des Aptitudes Humaines» m’apparaît presque comme un axiome : «Pourtant, on peut dire avec une certaine vérité qu’un Homme est sain d’esprit dans la mesure où il est dangereux pour l’environnement.» J’apprécie les personnes qui se rebellent, qui agissent activement et qui défendent leur opinion lorsque quelque chose ne leur convient pas. Des personnes qui prennent des initiatives et se défendent contre l’injustice. Ces personnes façonnent activement le monde et le rendent juste. Il est important d’être fort et de ne pas avoir peur des idées «folles» de nos semblables. Bien sûr, nous devons être capables de faire la différence entre le bien et le mal, et si quelqu’un agit vraiment mal, nous devrions être prêts à défendre l’équité. Grâce à notre philosophie, grâce à la Scientologie, nous acquérons une base de vie et comprenons ce qui est bien et ce qui est mal. Ce n’est pas à nous de dire aux autres ce qui est bien ou mal. En auditant l’énergie nocive et les échecs, chaque individu reconnaît lui-même ce qui est bien et ce qui est mal. L’hypothèse de base de la Scientologie, selon laquelle l’Homme est fondamentalement bon, est constamment confirmée par l’audition de l’énergie nocive et des échecs. La Scientologie ne forme pas de «bonnes» personnes, mais des personnes efficaces – des personnes qui sont causes et qui font la différence. Un Clair n’est pas simplement «bon», un Clair est cause. Bonne et heureuse année!!! Max, Erica, Melinda, Dirk, Vreni, Jean et Sibylle

  • Histoire de Noël un peu différente

    Introduction: Les conférences de Phoenix contiennent en effet des données très fondamentales que je recommande chaudement à tous. Ron explique également comment le savoir asiatique selon lequel l’homme est un être spirituel et immortel est parvenu au Proche-Orient via la Route de la Soie et de là, en Europe. Lisez la lettre d'introduction de Max Hauri à cet article ci-dessous Histoire de Noël un peu différente: Notes sur les Conférence de Phoenix 1954 Scientologie son Héritage, partie 1 Scientologie son Héritage, partie 2 Scientologie son Héritage, partie 3 Livre anglais original scanné des Conférences de Phoenix 1954 Si vous désirez recevoir les conférences en audio, veuillez envoyer un e-mail à Max en lui indiquant ce que vous souhaitez. Voici un extrait de la Conférence de Phoenix N° 4: Quoi qu’il en soit, certaines des choses écrites par Gautama s’avèrent vraiment très intéressantes pour nous… très, très intéressantes pour nous. (Tout à fait à part: dhyana pourrait être traduit littéralement comme le mot indien pour Scientologie, si vous vouliez le dire à l’envers.) Il s’agit simplement de ceci (c’était dans le Dhamma Pada): «Tout ce que nous sommes est le résultat de ce que nous avons pensé. C’est basé sur nos pensées ; c’est constitué par nos pensées.» Intéressant, non? Le vers suivant, pourrait-on dire, est: «Par soi-même le mal est fait; de par soi-même on souffre. Par soi-même le mal est laissé en suspens; de par soi-même on est purifié. La pureté et l’impureté appartiennent à soi-même; personne ne peut purifier un autre.» Eh bien, c’est exactement comme vous dites : vous ne pouvez pas accorder l’être au préclair et le valider à outrance ; vous devez le faire travailler de par son autodétermination ou pas du tout, si vous voulez donner à cela une interprétation quelconque. Autrement dit, vous devez restaurer sa capacité à accorder l’être ou il ne se remettra pas. Et nous savons cela d’après des tests. Et nous en arrivons au vers suivant: «Vous-même devez faire un effort. Les bouddhas sont seulement des prédicateurs. Ceux qui sont pleins d’attention, qui empruntent la Voie sont affranchis des chaînes du péché.» Ceux qui sont plein d’attention. Maintenant le suivant dit: «Celui qui ne se lève pas quand il est l’heure de se lever ; celui qui, même jeune et fort, est plein de paresse, et dont la volonté et les pensées sont faibles, cet homme paresseux et oisif ne trouvera jamais la voie de l’illumination.» Le dénominateur commun à la psychose et à la névrose, c’est l’incapacité de travailler. Et le vers suivant: «L’ardeur est la voie de l’immortalité; la paresse est la voie de la mort. Ceux qui sont énergiques ne meurent pas. Les paresseux sont déjà comme morts.» Voilà quelques lignes tirées de cette œuvre. Chers amis, Récemment, une amie est venue me voir et m’a apporté de la part de sa grand-mère un ancien livre de Scientologie datant de 1954. Probablement le dernier exemplaire sur cette terre, imprimé et distribué par HASI, Association Hubbard Internationale des Scientologues. Le titre du livre est «Notes sur les Conférences – Phoenix 1954». À ne pas confondre avec «Notes sur les Conférences» de 1951 qui a toujours été disponible pendant toutes ces années – et qui est en fait le prédécesseur du futur «Conférences de Phoenix» publié en 1968. Les deux livres sont basés sur les conférences de Phoenix que Ron a données en 1954 à Phoenix. Le livre anglais en annexe, «Notes sur les Conférences – Phoenix 1954», est un recueil de citations de ces conférences. HASI est également mentionné au début du livre: «Les notes suivantes sont tirées des conférences données par L. Ron Hubbard à Phoenix en juillet 1954. Nous avons essayé de suivre le plus fidèlement possible le texte de ces conférences, et les notes ne contiennent pas d’opinions ou d’évaluations personnelles. Elles sont destinées aux personnes qui suivent ou ont suivi les cours professionnels, afin de les aider dans leurs études. Elles ne remplacent en aucun cas l’écoute des enregistrements et ne conviennent donc pas aux non-initiés.» Les conférences de Phoenix contiennent en effet des données très fondamentales que je recommande chaudement à tous. Ron explique également comment le savoir asiatique selon lequel l’homme est un être spirituel et immortel est parvenu au Proche-Orient via la Route de la Soie et de là, en Europe. «Notes sur les Conférences – Phoenix 1954» n’existe qu’en anglais et comme nous pouvons obtenir les conférences de Phoenix en français, il est peu probable que ce livre soit traduit. Pour ceux qui ne parlent que le français, je vous joins les trois premières conférences en français sur ce blog. Je considère qu’il s’agit d’une lecture de Noël digne de ce nom. Ces trois conférences relativement courtes font à mon avis définitivement partie des meilleures conférences de L. Ron Hubbard et je ne peux que les recommander. Joyeux Noël! L’Equipe de la Ron’s Org Grenchen Avec toutes mes amitiés. Max Hauri

  • Autodétermination, Déterminé par d'autres, Pandéterminisme

    Introduction : «On ne peut être autodéterminé que si l’on peut observer la situation réelle à laquelle on est confronté: sinon, l’être est déterminé par l’illusion ou par d’autres.» – Les Fondements de la Pensée Lisez la lettre d'introduction de Max Hauri à cet article ci-dessous. Voici un extrait du livre «Introduction à la Scientologie» ou «Voyage vers soi-même» de Richard DeMille aussi nommé D. Folgere. Il était un proche compagnon de route de L. Ron Hubbard au début des années cinquante et a écrit pour Ron le livre «Comment vivre, bien que cadre». Un excellent livre, d’ailleurs. L’autodétermination est l’essence de la Scientologie. C’est le seul principe sans lequel aucune partie de la Scientologie ne peut être utilisée ou comprise. C’est l’idée qui mène à toutes les autres et sans laquelle aucune autre ne peut être atteinte. C’est le principe fondamental de l’être. ​ Ce que l’autodétermination n’est pas Peut-être devrions-nous dire quelque chose sur ce que l’autodétermination n’est pas. Là encore, nous évitons les malentendus en éliminant les conceptions antérieures avant de discuter des conceptions actuelles. L’autodétermination n’est pas l’égoïsme. L’autodétermination n’est pas l’altruisme. L’autodétermination n’est pas l’arrogance, l’orgueil, l’obstination, l’entêtement, le sectarisme, le fanatisme, l’égocen­trisme ou le fascisme. ​ Il faut être autodéterminé pour comprendre l’autodétermination L’autodétermination est un principe qui peut être compris en proportion directe du degré auquel il est expérimenté. Un homme qui a cédé 99 % de son autodétermination à son environnement peut apprendre au sujet de l’autodétermination jusqu’à ce qu’il en ait le visage noir, mais il ne comprendra qu’un pour cent de ce qu’il lit. On demande à nouveau à l’étudiant de ne pas être trop pressé de comprendre ce que l’on entend par autodétermination. Toute la Scientologie est une étude de l’autodétermina­tion. L’autodétermination est un principe qui doit être utilisé et pas seulement discuté. On ne devient pas autodéterminé en accrochant à son corps un panneau signalant «Autodéterminé», pas plus que le gouvernement ne peut rendre tout le monde riche en imprimant beaucoup, beaucoup d’argent. Ce genre de «richesse» et ce genre «d’autodétermina­tion» ne sont que mirages. L’autodétermination est une échelle de gradient. Plus on monte sur cette échelle, plus on manifeste de créativité, de réceptivité et de bon sens. Un tel comportement haut sur l’échelle ne peut être reconnu facilement que par des êtres hauts sur l’échelle. Les êtres bas sur l’échelle échouent presque inévitablement et refusent de reconnaître les comportements hauts sur l’échelle. À prime abord, cela peut sembler du plus pur snobisme, mais l’étudiant découvrira par lui-même – et donc on ne lui demande même pas de croire le présent auteur – que ceux qui vivent au fond de la mer ne peuvent pas considérer pleinement la vie des oiseaux. Heureusement, si les poissons s’intéressent suffisamment à leur propre vie, ils peuvent s’élever à la surface de l’eau et se faire pousser des ailes. C’est ce qu’on appelle le processing [audition]. ​ Caractéristiques de l’autodétermination Certaines des attitudes d’autodétermination, comme présentées sur le Tableau Hubbard des Attitudes et ailleurs (pages 30, 38, 50 du texte anglais), Max : I have not changed the pages numbers for German and French) sont énumérées ici. L’individu autodéterminé: Survit, a raison, est responsable, gagne, contrôle les objets, perçoit les mentaux des autres, es vérité, est conviction (confiance), sait, cause, est libre, crée, change et détruit l’espace, crée, change et détruit le temps, crée, change et détruit l’énergie, est une source de mouvement, crée, change et détruit des illusions. ​Caractéristiques du déterminisme par d’autres L’individu déterminé par d’autres succombe, se trompe, perd, blâme l’environnement, est contrôlé par des objets, est isolé des autres êtres, hallucine, se méfie, ne sait pas, est un effet, est empêché, est perdu dans l’espace, n’a pas de temps, est impuissant devant l’énergie et le mouvement, et est inondé d’hallucinations. ​L’être humain normal L’être humain normal se situe quelque part entre les extrêmes de l’autodétermination et du déterminisme par d’autres. L’être humain normal ne crée pas sciemment beaucoup d’espace, de temps ou de mouvement ; mais il n’est pas non plus totalement perdu dans l’espace, lié par le temps ou impuissant devant le mouvement. Il n’est pas vérité; mais il n’a pas non plus d’hallucinations. Il a un accord avec les autres sur la réalité de certaines choses, et il peut compter sur cette réalité, tant que les autres ne se retournent pas contre lui. Cela signifie bien sûr, qu’il est «sain d’esprit» dans la proportion exacte de sa conformité à la société. L’être humain normal n’est pas aussi malheureux qu’il pourrait l’être, mais il pourrait être considérablement mieux loti qu’il ne l’est. «On ne peut être autodéterminé que si l’on peut observer la situation réelle à laquelle on est confronté: sinon, l’être est déterminé par l’illusion ou par d’autres.» Une déclaration qui donne à réfléchir. Quand on lit, on écoute ou on regarde les médias, quels qu’ils soient, peut-on vraiment être autodéterminé? C’est quelque chose de l’ordre de grandeur de «plus je sais, plus je sais que je ne sais pas». (Aristote) Cette déclaration est également révélatrice de nos structures d’état et de gouvernement. Ne nous fait-on pas croire ici que nous sommes autodéterminés? Combien de fois nous a-t-on dit que nous étions souverains? La détermination par d’autres, l’autodétermination et le pan-déterminisme sont des mots que l’on «comprend», qui sont explicites. Mais le sont-ils vraiment? Que signifie «pan-déterminé» ou «pan-déterminant»? Voici sa définition: «Pleine responsabilité des deux côtés d’un jeu.» – «Nous voyons la version aberrée du pan-déterminisme dans la volonté de contrôler tous les autres afin de se mettre en valeur ou de se rendre important.» «Un état dans lequel on détermine à la fois ses propres actions et les actions des autres. Par exemple, un joueur d’échecs est pan-déterminé lorsqu’il joue des deux côtés de l’échiquier.» Pan-déterminé, Pan-déterminisme. Avec mes meilleures amitiés. Max Hauri

  • Psychopathes

    Introduction: Ces psychopathes ne se contentent-ils pas de se réincarner encore et encore? Oui, ils le font. Les psychopathes se réincarnent en psychopathes. Les parents de psychopathes sont unanimes à dire que l’enfant a été difficile dès sa naissance. La bonne nouvelle est que seulement 2 à 3 % de la population sont des psychopathes (ce n’est peut-être pas une bonne nouvelle), mais les 97 à 98 % restants ne sont pas psychopathes. Lisez la lettre d'introduction de Max Hauri à cet article ci-dessous ​ Dianétique: sa relation avec la Scientologie – Auditor N° 25 – 1er avril 1967 Aujourd’hui, la Scientologie produit des Clairs en nombre de plus en plus important. Son expansion s’accélère au fur et à mesure que la technologie standard délivre ce que la Scientologie promet dans chaque organisation scientologue à travers le monde. La Scientologie est la voie qui mène de l’être humain à la liberté totale ou à l’état d’être total. La Dianétique a permis de passer d’un être aberré ou normal à un être humain capable. Cette étape n’avait jamais été franchie dans l’histoire de l’humanité. Curieusement, le passage de l’être humain à l’esprit a été atteint, quoique rarement, dans le bouddhisme, dans d’autres pratiques spirituelles, et même dans le christianisme, mais il n’a pas été généralement considéré comme tel. La Scientologie y parvient réellement et pour la première fois avec une stabilité totale, sans rechute et invariablement un par un. Néanmoins, l’homme avait un indice des objectifs de la Scientologie, même s’il les considérait presque au-delà de Dieu. Mais l’homme n’avait aucune idée de la Dianétique. Aucune. C’était le coup de tonnerre. L’homme taillait, sciait, blessait, injectait, enseignait, moralisait, conseillait, pendait et emprisonnait des hommes avec enthousiasme, sans avoir la moindre idée de ce qui poussait l’homme à se comporter comme il le faisait ou de ce qui le rendait malade ou en bonne santé. La réponse était et est encore la Dianétique. En 1950, j’ai écrit un livre, publié le 9 mai, intitulé La Dianétique: La science moderne de la santé mentale. À l’époque, j’étais même sous contrat pour écrire quelques histoires et romans et je m’occupais tranquillement de mes affaires. Puis le livre a fait un tabac. Personne ne s’attendait à ce qu’il devienne un bestseller, mais il s’est retrouvé instantanément et immédiatement en tête de la liste des bestsellers et n’a pas bougé d’un iota. Le livre a suscité un énorme engouement. Des groupes de Dianétique ont vu le jour dans tout le pays. Les gens lisaient le livre, puis commençaient à auditer leurs amis avec des résultats étonnamment bons. Mais il n’y avait pas d’organisation adéquate pour maintenir la ligne, pour maintenir les critères d’application technique. J’ai découvert que quelqu’un s’affairait à dire aux gens que l’audition était un art – qu’il n’y avait rien de scientifique là-dedans ! Le moment était venu d’établir positivement et complètement ma responsabilité pour l’ensemble de la Dianétique. C’est à contrecœur que j’ai pris cette responsabilité, car je savais que l’enfer allait se déchaîner et c’est ce qui s’est passé ! L’Occident, vous le savez, est une barbarie scientifique. Ce n’est pas vraiment une civilisation – pas encore – mais il est très scientifique. En fait, la société est très déséquilibrée à l’heure actuelle, dans la mesure où elle possède le pouvoir scientifique sans disposer du savoir-vivre élémentaire. Elle possède le pouvoir sans l’humanité et, dans cette mesure, n’est pas une civilisation. Savez-vous qu’à l’heure actuelle, ils ne sont pas en mesure de mettre au point une seule technologie pour faire rire quelqu’un qui pleure – ou faire pleurer quelqu’un qui rit? Ils tentent de modifier le comportement humain en forçant la main. «Si vous ne changez pas et n’agissez pas mieux, je vais vous taper sur la tête avec une massue.» Telle est l’approche de cette civilisation. Lorsque l’on commence à mettre la vérité sur la table, il est possible qu’il y ait un peu de confusion. Il suffit de poser un point de référence stable pour que la confusion se dissipe. Les premiers jours de la Dianétique ont marqué les débuts de la Scientologie. C’était la même histoire, une donnée stable qui entrait et la confusion qui se dissipait. Ce qui s’est passé alors n’était pas si terrible. En juillet de cette année-là, malgré les turbulences et tout le reste, j’ai porté mon chapeau – celui d’être moi-même. Personne n’a jamais réussi à me faire dévier de cette ligne depuis. Dire «Oui, je suis celui qui a écrit ce livre. Oui, je suis celui qui dirige ce groupe », en dépit des chats morts, des réveils et des critiques, cela n’a pas été facile. Il s’agissait simplement d’une donnée stable dans un monde très, très aberré. Tout au long de cette période, mon idée était de poursuivre mes recherches, de les achever et de délivrer – délivrer les produits, en dépit de toutes les interruptions. J’ai consacré mon temps exclusivement à la recherche et je n’ai pas prêté attention aux critiques et aux chats morts. La découverte fondamentale de la Dianétique est l’anatomie exacte du mental humain. Le pouvoir aberrant des engrammes a été découvert. (Un engramme est une image mentale d’une expérience contenant de la douleur, de l’inconscience et une menace réelle ou imaginaire pour la survie). Des procédures ont été mises au point pour les effacer. Le bénéfice que l’on peut tirer du parcours d’une demi-douzaine d’engrammes dépasse tout ce que l’homme a pu faire pour qui que ce soit dans l’histoire de la race humaine. Mais il y avait une question de temps. Il faudrait plus de 75 ans pour effectuer suffisamment d’audition Dianétique pour effacer tous les engrammes sur la piste du temps d’une personne. Je devais court-circuiter tout cela. Je devais ramener tout cela à l’essentiel. La découverte de ce que le mental enrobait a été la découverte de la Scientologie. Il recouvrait un thétan. Un thétan est la personne elle-même – pas son corps ou son nom, l’univers physique, son esprit ou quoi que ce soit d’autre ; ce qui est conscient d’être conscient ; l’identité qui est l’individu. Le thétan est plus familier à chacun d’entre nous en tant que vous. La vérité, c’est que nous ne sommes pas qu’une idée dans un livre, qui ne dérange rien sur une étagère et qui ne se lit même pas lui-même. Amener des individus, des êtres humains vivants à un point de reconnaissance de leur propre état d’être – est une action vivante. C’est une action totalement vivante. Il est beaucoup plus facile de faire face à un concept ou à une idée qu’à une entité vivante, qui respire. À partir de 1954, lorsqu’il est devenu évident que nous étions engagés dans la résolution du problème de l’esprit humain, nous sommes devenus des entités vivantes qui respirent. Jusqu’à cette date, nous pouvions être une très belle attraction que les gens pouvaient laisser tranquille ou pas. Nous n’avions pas besoin d’être très sérieux. Mais beaucoup de gens étaient très sérieux à ce sujet. Quelle que soit la manière dont on le déclarait, beaucoup de gens le prenaient au sérieux. Nous étions alors une chose vivante, qui respirait. Nous n’étions pas qu’une idée. Le fait est que nous n’avons jamais été à aucun moment, autre chose. Nous n’étions pas une philosophie qui traversait la société. Nous étions des êtres. Et lorsque nous avons commencé à monter au créneau, c’est l’enturbulation d’un nombre incalculable d’années qui a commencé à s’envoler. C’était assez difficile. Nous n’avions pas d’armes à cette époque particulière. Nous avions beaucoup de technologie, plus que l’homme n’en avait jamais rêvé à ce moment-là, mais ce n’était pas grand-chose. Et nous avions commencé à faire un trou, si l’on peut dire, dans le conglomérat de l’aberration humaine. Souvenez-vous que c’était la vie qui faisait ce trou. Nous étions des êtres vivants. Ce n’était pas le principe qui faisait le trou, c’était nous qui l’appliquions. Nous nous sommes heurtés à toutes les aberrations de la société presque simultanément et d’un seul coup, et la confusion qui s’en est suivie était si fantastique qu’il nous a fallu quinze ans pour stabiliser notre position organisationnelle afin de pouvoir résister aux coups de boutoir qui nous sont tombés dessus. Il s’agit là d’une étape évolutive essentielle à la croissance de toute organisation, et nous l’avons franchie. Nous avons gagné. Il y a 17 ans, il y avait beaucoup de choses inexpliquées. Eh bien, elles ont toutes été résolues en Scientologie. La voie de sortie est la voie que vous avez, en Scientologie, à travers les grades. Il a fallu toutes les connaissances de l’audition Dianétique. Il a fallu tout les matériaux. Il a fallu toutes les observations inhabituelles. Il a fallu toutes ces années de travail pour tailler ce chemin très fin, d’apparence plutôt ordinaire aujourd’hui, qui fonctionne rapidement, à travers les Grades. Mais nous sommes confrontés à un problème gigantesque: la Scientologie fonctionne trop vite entre les mains d’un auditeur. Les procédés scientologiques sont trop rapides pour produire l’ensemble des phénomènes d’audition pour l’auditeur en formation et il ne s’habitue donc pas à les gérer. Par conséquent, comment peut-il apprendre à auditer? Il ne peut pas, en parcourant la Scientologie, car il n’aura jamais assez de pratique. En tant que superviseur ou nouvel étudiant, vous avez besoin d’un procédé qui ne produise pas de résultats instantanés. La Dianétique possède une vertu que nous n’aurions jamais appelée ainsi en 1950. Elle est lente. Vous pouvez auditer un pc pendant très, très longtemps. Et vous pouvez vous exercer à auditer. L’audition Dianétique a été très utile pour apprendre les principes fondamentaux du mental et c’est pour cela que je veux que vous l’utilisiez. Cette audition Dianétique a de la valeur. Elle a une plus grande valeur que l’homme n’a jamais eue auparavant. Ceci répond aux problèmes que Sigmund Freud essayait de résoudre. Elle les résout de manière spectaculaire. Et comparée à la Scientologie, ce n’est rien. En Scientologie, vous disposez de la technologie de rétablissement total d’un être, et cela ne veut pas dire un corps. Ne perdez jamais de vue que la réhabilitation du corps est secondaire par rapport à la réhabilitation de l’être. La Dianétique, voyez-vous, est un petit jeu. L’ordre de grandeur entre la Dianétique et la Scientologie est difficilement comparable. C’est comme tirer sur des lapins, mais vous poursuivez des buffles. Ce n’est même pas cet ordre de grandeur. C’est comme creuser un fossé en comptant le nombre de grains de sable qui se trouvent au-dessus de l’endroit où le fossé devrait être. Lorsqu’il est apparu clairement que nous étions engagés dans la résolution du problème de l’esprit humain, la question des manifestations superficielles du mental est devenue tout à fait secondaire. Mais la Dianétique est actuellement utilisée à bon escient et c’est une utilisation très positive. C’est une excellente formation. Et c’est pour cela que je veux que vous l’utilisiez. Apprenez-en plus sur l’anatomie du mental au travers de la formation d’auditeur Dianétique. L. Ron Hubbard Fondateur Chers Amis, L’écart qui s’est creusé m’inquiète. D'une part, nous disposons de technologies ultramodernes, les progrès sont énormes et le mot est faible. C’est tout simplement admirable. D’autre part, les gens se cognent à l’ancienne. Les mauvaises intentions de ceux qui organisent ces guerres relèvent tout simplement de la maladie mentale. La psychopathie à l’état pur. Difficile à surpasser. Inutile de dire que la combinaison de ces deux points est abominable. Ron était et est toujours en avance sur son temps. Cette citation, tirée de l’article que j’envoie aujourd’hui, résume bien la situation: «L’Occident, vous le savez, est une barbarie scientifique. Ce n’est pas vraiment une civilisation – pas encore – mais il est très scientifique.» Y a-t-il un espoir? Ces psychopathes ne se contentent-ils pas de se réincarner encore et encore? Oui, ils le font. C’est la mauvaise nouvelle. Les psychopathes se réincarnent en psychopathes. Les enfants ne sont pas des «pages blanches», ils ne sont ni blancs ni innocents, ni en ce qui concerne les bons ou les mauvais. Les parents de psychopathes sont unanimes à dire que l’enfant a été difficile dès sa naissance. La bonne nouvelle est que seulement 2 à 3 % de la population sont des psychopathes (ce n’est peut-être pas une bonne nouvelle), mais les 97 à 98 % restants ne sont pas psychopathes. Et la beauté est que tant d’enfants viennent au monde avec de bonnes intentions. Il semble que certains enfants puissent se souvenir de vies antérieures, mais mon observation est qu’il est apparemment très rare qu’un enfant en parle. C’est probablement une bonne chose. Mais ce qui me fait vraiment plaisir, c’est de voir que les enfants apportent leurs aptitudes. Celles qu’ils ont. Certains thétans démarrent leur vie d’un tremplin bien plus haut que ce que l’on croit pour ces petites créatures. Ils peuvent aussi apporter avec eux un niveau d’éthique très élevé. La personne apporte toujours son cas, qu'il soit bon ou mauvais. La Dianétique ou la Scientologie peuvent-elles «guérir» un psychopathe? Malheureusement, non. Nous ne le pouvons pas et même Robert D. Hare, psychologue criminel, affirme que ce chapitre n’est pas encore écrit. Mais comme on le dit si bien en anglais «It takes two for tango», [il faut être deux pour danser le tango] et si une grande partie des 97 % décident de ne pas être victimes, nous aurons réussi et alors nous trouverons et créerons aussi des méthodes et des possibilités pour aider ces vrais pauvres diables. D’une manière ou d’une autre, l’audition est la solution. La Dianétique est le début, tout le monde peut l’apprendre et plus encore, la recevoir. C’est notre travail quotidien. Nous avons un joyau dans les mains. Pour ceux qui se font auditer, tout est possible. Ron l’écrit si bien dans l’article «La Dianétique, sa relation avec la Scientologie». Meilleures amitiés. Max Hauri

  • La magie: un sujet perdu?

    Introduction: Vous avez été éduqué sur le fait que la magie, en tant que sujet entier, est un tas d’absurdités. Mais cela vous indique que vos postulats ne fonctionnent pas. Que votre intention n’est pas supérieure aux réactions chimiques. Ainsi, vous avez été soigneusement éduqué pour invalider votre propre volonté et aptitude à postuler. La magie: un sujet perdu? Advance! 29 – 10 février 1975 La magie est donc apparemment un art perdu. Mais l’est-il vraiment? Malgré la propagande noire contre la magie, il existe encore des magiciens parmi nous qui manient leur baguette de sorcier et refusent de disparaître. Anachronismes d’un monde oublié. Il s’agit des devins de l’eau ou des minéraux, connus aujourd’hui sous le nom de radiesthésistes ou sourciers [NdT: En anglais «dowser» signifie sourcier et radiesthésiste. La traduction française donne le nom de sourcier quand il s’agit d’eau et de radiesthésiste quand il s’agit de minéraux, gisements et autres éléments.] Le terme sourcier vient d’un ancien mot anglo-saxon qui signifie «pousser vers le bas». Il fait référence à la tendance d’un instrument tenu en main, comme un bâton fourchu, plongeant lorsqu’il est tenu par un sourcier compétent au-dessus de l’eau, ou d’un autre gisement. Bizarre, hein? C’est surnaturel. Un vestige de magie dans une ère scientifique qui a failli amener le monde à une nouvelle orgie barbare de destruction et de chaos. Certainement que les racines des sourciers remontent loin dans les traditions obscures de la magie. La baguette de sourcier traditionnelle est une baguette ou une branche de noisetier fourchue. Le noisetier figure en bonne place sur la liste des bois ayant des associations magiques, utilisé autrefois comme ingrédient dans divers charmes et remèdes populaires. Le bâton fourchu est également riche d’associations magiques. La «baguette de sorcier» du sourcier est liée magiquement à la baguette de la fée, au balai de la sorcière médiévale et à d’autres instruments au pouvoir magique. Outre le bâton fourchu, d’autres instruments ont été utilisés dans le même but, comme un pendule qui se met à osciller lorsqu’il passe au-dessus du site recherché, et une longue tige ou un fil métallique, dont l’une des extrémités est coudée à angle droit. Mais le fait est que ces magiciens ne rôdent pas seulement dans les collines du Pays de Galles à l’époque d’Arthur, mais qu’ils sont parmi nous aujourd’hui. Et la science a reconnu ici et là, à contrecœur, qu’ils travaillent. Plusieurs géologues éminents ont été des sourciers-magiciens. Le professeur Barrett, un expert distingué de la prestigieuse Société pour la recherche psychique (Society for Psychical Research), a écrit dans le Times du 21 janvier 1905: «En tenant compte des échecs dont je n’ai pas entendu parler, je n’hésite pas à dire que là où il existe des filons et où la découverte d’eau souterraine pour un approvisionnement domestique est une question de la plus grande difficulté, les chances de succès d’un bon radiesthésiste dépassent de loin les simples coups de chance, ou le succès obtenu par l’observateur le plus habile, même avec une connaissance complète de la géologie locale.» Pourtant, bien que l’existence de ces magiciens modernes avec leurs baguettes de sorcier soit reconnue, personne n’arrive à comprendre comment cela fonctionne, y compris les radiesthésistes eux-mêmes. Dire simplement que c’est magique ne mène nulle part non plus, car qu’est-ce que la magie? L’encyclopédie la plus érudite du 20ème siècle admet l’absence de définition de la magie. Donc tant que la magie n’est pas expliquée, il n’y a pas d’explication. De nombreuses théories élaborées ont été mises au point pour expliquer le pouvoir des sourciers. Selon la tradition de Cornouailles, la baguette divine ou de radiesthésiste est guidée vers les gisements par les lutins, les gardiens des trésors de la terre. Certaines théories récentes du 20ème siècle ne sont pas beaucoup plus plausibles. Par exemple, un homme était tellement désireux de prouver que ce phénomène avait une explication physique qu’il a proposé de l’expliquer par «une vibration mécanique créée par le frottement de l’eau en mouvement, agissant sur le diaphragme ventral [estomac] sensible de certaines personnes à la morphologie exceptionnellement subtile». Hmmmm. D’autres commentateurs plus honnêtes de cette scène admettent que la source du pouvoir du radiesthésiste est un mystère. En particulier, un auteur pense qu’il s’agit d’une forme de perception extrasensorielle et que la question du radiesthésiste sera résolue lorsque le domaine de la perception extrasensorielle sera mieux étudié, car ce domaine est également un mystère. Commençons à y voir plus clair. Quelle est la source du succès du radiesthésiste là où il l’obtient? Il a été facilement démontré qu’il n’existe aucune relation physique entre un morceau de bois ou une bille tenue au bout d’une ficelle (pendule) et des substances aussi diverses que l’eau, le charbon ou même des trésors enfouis. En d’autres termes, c’est le fait que ces instruments soient détenus par certains maîtres de l’art qui les rendent apparemment utiles – pour le radiesthésiste. Une baguette de fée sans fée n’est bien sûr qu’un bâton inerte. En fait, certains sourciers affirment qu’ils peuvent voir ce qu’ils cherchent sous terre et n’ont pas besoin de baguette. Cela vous donne-t-il un indice? Regardons plus loin. Chuck Lewis, lecteur d’Advance! et scientologue, est un maître radiesthésiste du pétrole. À la demande d’Advance! il écrit ce qui suit: «Aux États-Unis, la capacité à trouver des gisements minéraux par la méthode de la «radiesthésie» (à l’aide de la soi-disante baguette divine ou d’un pendule) a été pendant des années très dépréciée et délaissée par la majorité des gens de la communauté scientifique. Bien que quelques personnes aient admis à contrecoeur que quelqu’un, plus tard, pourrait trouver de l’eau en utilisant un «bâton de sorcier» (une branche fourchue fraîchement coupée d’un pêcher, d’un saule, d’un noisetier ou d’une autre espèce d’arbre), l’idée que d’autres minéraux précieux tels que l’or, l’argent ou le pétrole pourraient être localisés avec une méthode similaire n’est pas une réalité acceptée par la majorité des gens dans ce pays. Dans la plupart des pays européens, l’art de la radiesthésie est accepté comme une méthode d’exploration minière viable et éprouvée, et a le statut d’une véritable science. «Selon certains auteurs sur ce sujet, notamment les auteurs du livre Découvertes psychiques derrière le rideau de fer [Psychic Discoveries Behind the Iron Curtain] de Shelia Ostrander et Lynn Schroeder, l’art de la radiesthésie, (c’est-à-dire la sensibilité aux radiations pour trouver de l’eau et des minéraux) est pratiqué depuis au moins 7'000 ans. Les bas-reliefs de l’Égypte ancienne représentent des devins équipés de baguettes de sourcier et même de coiffes à antennes. Les rois de la Chine ancienne, comme le Roi Yu (2'200 avant J.-C.), sont représentés portant des baguettes de sourcier. Les premières gravures sur bois représentent des mineurs de l’Allemagne médiévale utilisant des baguettes de radiesthésiste pour localiser des gisements de minerai. Au Vietnam, les ingénieurs de la première et de la troisième division des Marines américaines ont utilisé des baguettes de radiesthésiste pour localiser les tunnels ennemis, les pièges et les obus de mortier non explosés. «En utilisant une baguette plus sophistiquée qu’une tige de pêcher, je suis capable de localiser et de définir les structures pétrolières et gazières. Je l’ai fait à de nombreuses reprises, non seulement dans mon état natal le Texas, réputé pour ses nombreux et abondants champs pétrolifères, mais aussi dans de nombreuses autres régions des États-Unis, notamment en Californie, en Arizona, au Nouveau-Mexique, en Oklahoma, au Kentucky, en Illinois, au Missouri, en Arkansas, en Ohio et en Pennsylvanie. «La baguette que j’utilise pour la radiesthésie a une longueur de 10,5 pouces (26,6 cm) en ressort hélicoïdal en acier de 3/4 de pouce (1,9 cm) de diamètre, avec un bouchon de 2,5 pouces (6,35 cm) d’acier à haute teneur en carbone, inséré dans le haut, et le ressort lui-même inséré dans une poignée en bois à la base. «Lors de recherche de zones pétrolifères ou gazières, cette tige est tenue dans la main droite. (Elle ne fonctionnera pas pour moi si elle est tenue dans la main gauche!) Dans ma main gauche, je tiens une petite fiole de pétrole brut. Je peux travailler à pied ou en voiture. Lorsque je m’approche d’une zone hydro-carbonifère, je ressens une légère traction sur la baguette de radiesthésiste, semblable à un frémissement sur un fil de pêche, et la baguette commence à osciller de haut en bas en direction du pétrole. La tige continue son mouvement de balancier jusqu’à ce que j’atteigne le point où je me trouve immédiatement au-dessus de la structure pétrolifère, lorsque la tige commence à tourner dans le sens des aiguilles d’une montre. Inversement, lorsque je me trouve au-dessus d’une zone renfermant du gaz naturel, la tige tourne dans le sens inverse des aiguilles d’une montre. Tant que je suis juste au-dessus de la zone pétrolifère ou gazière, la tige continue à tourner – parfois si violemment et si rapidement que le ressort se détache de la poignée et s’envole de ma main. «Selon mes propres accords et calculs, je peux déterminer la profondeur approximative de la formation pétrolifère ainsi que l’épaisseur des strates pétrolières ou gazières. «J’ai été membre de la Société Britannique des Radiesthésistes (British Society of Dowsers) et j’ai été exposé à de nombreuses théories sur la force exacte qui fait fonctionner le «doodlebug» (Baguette divine. Un dispositif non scientifique pour localiser du pétrole ou des minéraux) comme on l’appelle en rigolant dans le secteur pétrolier. «Les scientifiques soviétiques, dont le Dr. A. A. Ogilvy, président du département de géologie de l’université d’état de Moscou, appellent la radiesthésie par un nouveau nom démystifié. La méthode des effets biophysiques ou BPE (Biophsyical Effects Method) en abrégé. «Selon le Dr. S. Tromp, un géologue hollandais effectuant des recherches pour l’UNESCO, un radiesthésiste peut cartographier un champ magnétique artificiel aussi minuscule que 0,001 unité de Gauss (Unité d'induction magnétique dans le système CGS électro-magnétique, et – à l'origine – unité d'intensité de champ magnétique correspondant à l'œrsted.) dans une pièce, et qu’il existe une réaction du corps à l’eau et aux minéraux dans la terre qui peut être clairement enregistrée avec un électrocardiogramme. D’autres scientifiques européens ont remarqué que le corps du radiesthésiste réagit réellement, enregistrant une pression sanguine et un pouls plus élevés lorsqu’il se trouve au-dessus d’une zone minéralisée. «Bien que de nombreuses théories aient été avancées sur ce qui fait réellement fonctionner la baguette, je suis convaincu que Théta joue le plus grand rôle. Je peux localiser des zones pétrolifères et gazières éloignées en travaillant à partir d’une carte, ce qui place cela carrément dans le domaine de la capacité Théta.» Merci Chuck. Alors voilà, les amis – l’aptitude théta, l’aptitude d’un thétan comme étant supérieur à l’univers physique, cause et effet. Mais vous dites, «Et à propos de la magie? C’est là que nous avons commencé avec cet article.» Oui, quand est-il au sujet de la magie? Tout le sujet peut-il être qualifié de folie primitive? Eh bien puisque l’encyclopédie la plus officielle ne fournit pas de définition, nous le ferons. Il convient de différencier la magie, des tours de passe-passe sur scène ou prestidigitation qui est un divertissement basé sur des illusions et des tours de passe-passe. Le mot magie vient d’un ancien mot persan dont la racine signifie pouvoir, être capable. Donc! À ce stade, nous avons le privilège de citer les œuvres de L. Ron Hubbard pour une clarification complète de ce qu’est exactement la magie. «Un magicien postule ce que sera son objectif avant de commencer à accomplir ce qu’il fait. Le vieux magicien était l’arrière-arrière-arrière-grand-père de votre magicien de scène moderne. Mais votre magicien de scène ne sait généralement pas que le vieux magicien a existé. Le magicien de scène a un chapeau, une baguette et un bric-à-brac de différentes sortes. Mais il ne sait généralement pas d’où ils viennent. Il s’agit en fait d’éléments de rituel datant des 8ème, 9ème et 10ème siècles. «Chacun d’entre eux signifie quelque chose de terriblement spécifique et le rituel le plus impressionnant du monde est associé à leur utilisation. Le magicien était très ritualiste et il postulait très soigneusement l’effet qu’il essayait d’obtenir avant d’être cause de cet effet. C’est la première chose qu’il faisait. Il se demandait: «Qu’est-ce que j’essaie de faire? Puis il faisait une déclaration de ce qu’il essayait de faire. Et une fois qu’il avait fait une déclaration de ce qu’il essayait de faire, il entreprenait les démarches nécessaires pour l’accomplir. «Si quelqu’un ne l’avait pas fait, il serait tombé inévitablement dans ce piège: il deviendrait l’effet de sa propre cause, car ce qu’il aurait finalement accompli lui semblerait surprenant et souhaitable comme effet sur lui. «Il se tenait donc soigneusement à l’écart de cette foire d’empoigne, et n’avait plus rien à voir avec elle. Chaque fois qu’il obtenait un effet quelconque, il disait: «Vous voyez? J’ai obtenu cet effet. Il était toujours cause de cet effet.» La magie a donc à voir avec le fait de postuler rituellement des effets à réaliser. En fait, vous pourriez la définir comme l’art ou la pratique de postuler rituellement des effets à réaliser. Nous savons maintenant pourquoi les matérialistes modernes se moquent de la magie. Pour eux, la seule force qui existe est celle de l’univers physique et les seuls changements qui se produisent sont provoqués par des causes physiques. Le surnaturel dans leur système mondial devient un vilain mot. Vous avez été éduqué sur le fait que la magie, en tant que sujet entier, est un tas d’absurdités. Mais cela vous indique que vos postulats ne fonctionnent pas. Que votre intention n’est pas supérieure aux réactions chimiques. Ainsi, vous avez été soigneusement éduqué pour invalider votre propre volonté et aptitude à postuler. Donc vous voyez, avec la définition de la magie, nous sommes de retour dans le royaume de l’aptitude théta. L. Ron Hubbard a révélé l’énoncé ultime au sujet des aptitudes d’un thétan dans les deux premiers axiomes de la Scientologie: «Axiome 1: La Vie est fondamentalement un Statique. Définition: Un Statique de Vie n’a ni masse, ni mouvement, ni longueur d’onde, ni localisation dans l’espace ou dans le temps. Il possède l’aptitude à postuler et à percevoir.» «Axiome 2: Le Statique est capable de considérations, de postulats et d’opinions.» Maintenant, qu’en est-il de la perception extrasensorielle? (Nous avons mentionné plus haut dans cet article qu’une autorité pensait que la résolution du mystère de la radiesthésie ne serait résolue que lorsque la perception extrasensorielle serait comprise). Perception extrasensorielle? Vous l’avez deviné – toutes les aptitudes réelles jamais décrites sous le nom de perception extrasensorielle sont simplement des aptitudes théta qui relèvent des Axiomes 1 et 2. Grâce aux travaux de L. Ron Hubbard, tous les mystères ont été résolus! L’Homme a longtemps cherché à se comprendre et à comprendre ses propres aptitudes. Il s’est longtemps intéressé et impliqué dans diverses solutions fascinantes pour tenter de retrouver sa puissance de postulat et d’intention. Récemment, au cours des quelques derniers siècles, le matérialisme occidental a tenté d’écraser cet intérêt et de mettre à sa place une philosophie esclavagiste selon laquelle tout n’est que boue. Grâce à la Scientologie, la tradition antérieure selon laquelle le potentiel de l’Homme est supérieur à l’univers physique a été ravivée et clarifiée. Grâce à la Scientologie, l’Homme peut répondre par lui-même aux ultimes énigmes de l’existence. Enfin, grâce à la technologie de Dianétique et de Scientologie, chacun d’entre nous peut retrouver sa pleine puissance native de postuler et de percevoir. Il peut se créer la position d’un gagnant triomphant dans le jeu de la vie au lieu d’un participant esclave. Il est certain que n’importe quel magicien efficace du 10ème siècle viendrait nous voir aujourd’hui et nous serrerait la main.

  • Travail d'Équipe

    Introduction: Ensemble, nous sommes forts – la Scientologie est une activité de groupe. Voir aussi l'article très approprié de Ron ci-dessous concernant le travail d'équipe ou le bulletin en pièce jointe. Lisez la lettre d'introduction de Max Hauri à cet article ci-dessous Extrait du HCOB 28 mai 1969 Dianétique et résultats des Groupes de Conseil Dianétique Les meilleurs résultats d’audition sont obtenus grâce au travail d’équipe. Même un groupe d’auditeurs essayant de gagner beaucoup d’argent essaie généralement de ne faire que de l’audition. Ce n’est pas le fait qu’ils aient des échecs avec les cas. C’est le fait qu’ils ne réussissent pas à pourvoir aux « Chapeaux » essentiels. Un auditeur de Revue doit être un Scientologue entraîné. Le fait de ne pas en avoir vous amène à envoyer un pc coriace à l’organisation la plus proche. Mais il n’y a aucune raison de ne pas travailler et faire partie d’un groupe, même si les autres membres ne travaillent que temporairement. La meilleure solution pour y arriver est de constituer un Groupe de Conseil Dianétique et de faire tenir les postes essentiels indiqués sur le Tableau de l’Organisation. C’est à cette condition que le progrès et les succès du groupe seront stables. Ce groupe doit naturellement établir un contact avec un docteur en médecine compétent ou une clinique. Aux U.S.A., en particulier, les Auditeursdoivent être ministres. Un auditeur de Dianétique doit être capable d’auditer toute la journée même si le groupe entier ne travaille que le soir. Voyons les choses en face. L’auditeur isolé aura des échecs avec les cas. Il n’aura pas le temps d’y remédier. Il ne pourra pas amener les personnes en Qual. Après un certain temps, les gens abandonneront et il aura avec les cas des échecs qui apporteront la confusion dans le voisinage, comme cela arrive dans les autres professions. Les psychiatres et les psychologues ont échoué en tant que praticiens isolés, non seulement parce qu’ils n’avaient pas vraiment de technique, mais aussi parce qu’ils ont essayé de travailler seuls. Cela les fit se tourner vers les gouvernements qui les utilisèrent alors uniquement pour contrôler les populations et voilà envolée toute la technique qu’ils n’auraient jamais pu développer. En Dianétique, la théorie du praticien isolé a totalement échoué. Comme cela a été le cas dans la pratique Dianétique des premiers temps, les auditeurs qui l’utilisaient ne s’occupaient que des gens fortunés, les autres sont partis à la dérive. La réponse au problème (nous l’avons découvert depuis longtemps) c’est le groupe. Tous les Chapeaux, l’organisation, les activités de Dianétique et la façon dont ils sont coordonnés sont à la disposition des Groupes de Conseil Dianétiques. Tout cela représente, en soi, un vaste domaine de développements intéressants. Pour monter des organisations, nous devrions connaître les données fondamentales de l’organisation. On peut aider à affranchir un Groupe de Conseil Dianétique, le rendre fidèle et l’aider. Cela aura tendance à stabiliser tout domaine où s’exerce une pratique, et cela minimisera les échecs sur les cas. La position officielle des organisations est la suivante : elles ne peuvent être rendues responsables des résultats obtenus par les praticiens isolés. L’audition est un travail d’équipe. Même si vous étiez docteur, psychiatre ou psychologue, vous feriez mieux d’avoir sous la main ou de pouvoir appeler le reste de l’équipe, ou au moins un Groupe de Conseil Dianétique, même si vous n’en faisiez pas partie intégrante. Le but de l’audition est de rendre les gens en bonne santé et de leur rendre leur équilibre mental. Les gens en général en sont très heureux et très reconnaissants. Et puis, il y a quelques personnes qui ont mal mené leur vie et qui représentent, c’est le moins qu’on puisse en dire, un bon petit paquet. La réalité de la situation exige que l’audition soit une activité de groupe. Du fait qu’un tel groupe peut aussi enseigner un cours, il n’est pas difficile de recruter des gens capables d’aider. Je me souviens en particulier de deux cas pathétiques d’individualisation. L’un d’eux était un psychologue qui apprit à auditer et dut cesser de pratiquer la Dianétique, car il résolvait tous les cas de sa clientèle, si bien qu’il avait beaucoup de difficultés à trouver des « patients ». L’autre était celui d’un auditeur qui dut auditer tout l’équipage d’un navire de guerre, en tant que pcs sans voir venir d’aide. Dans les deux cas, le fait de constituer un Groupe de Conseil Dianétique, en faisant vérifier chacun de ses membres sur leurs « Chapeaux » respectifs et en leur faisant faire leur travail, même de façon temporaire, aurait tout résolu. L’union fait la force. Un auditeur ne peut, en vérité, vivre et travailler seul. L. Ron Hubbard Chers amis, Voici les retours de Daniela sur ce que nous avons obtenu en ce qui concerne la déclaration de protection à Münich. C'est un pas de plus vers la liberté. Pour vous rafraîchir la mémoire, j'ai également joint le bulletin d'information du mois de mars à l'e-mail. Ensemble, nous sommes forts – la Scientologie est une activité de groupe. Voir aussi l'article très approprié de Ron ci-dessous ou le bulletin entier en pièce jointe. Avec mes meilleures amitiés, Max Hauri Chers amis, Nous tenons à vous informer que la décision rendue contre la ville de Münich concernant l'utilisation de la déclaration de protection de Scientologie est maintenant mise en œuvre. Voir pièce jointe. Grâce à votre soutien, notre avocat s'est occupé de cette question et a publié le jugement en question sur Internet de manière à ce qu'il puisse être facilement trouvé par les gens qui se trouvent dans une situation similaire et qui cherchent de l'aide. Par exemple, le jugement est disponible sur l'une des plus grandes plateformes juridiques, Beck-online. Cela signifie que le jugement obtenu peut également être utilisé dans d'autres domaines où cette forme discriminatoire «d'explication» est requise. Voici à nouveau le jugement dans sa version abrégée. Les personnes qui souhaitent le lire dans son intégralité peuvent le trouver sur Internet à l'adresse suivante : VG Munich (30th chamber), judgment of 28.12.2022, AZ M 30 K 19.2699. «Il est ordonné au défendeur (la ville de Münich) de cesser et de s'abstenir d'accorder des subventions pour la promotion d'initiatives parent-enfant dans le domaine de l'entraide familiale, qui sont conçues comme des avantages volontaires, dépendant de la présentation et du respect d'une déclaration de protection, par laquelle l'opérateur de la structure s'engage à exclure immédiatement de la poursuite de la tâche financée les personnes qui, pendant la période de financement, en tant que scientologues libres ou membres de la «Zone Libre», appliquent, enseignent ou diffusent d'une autre manière les technologies de L. Ron Hubbard ou les techniques et méthodes scientologiques.» Je pense que nous avons fait un bon pas en avant vers l'affirmation de soi. Un grand merci à tous ceux qui ont contribué à ce projet. Avec mes meilleures salutations. Daniela Mikorey

  • Intelligence

    Introduction: J’ose dire qu’aller à l’école et apprendre des choses n’améliore guère l’intelligence. Certes, on peut parler intelligemment, ou simplement participer à la conversation. Mais malheureusement, j’ai vu trop de gens instruits dire des bêtises et faire des choses stupides… Lisez la lettre d'introduction de Max Hauri à cet article ci-dessous Point juridique concernant les attaques publiques, HCO PL 23 novembre 1967-II Voici ce que Ron dit : La pratique de la Scientologie est aujourd’hui une action très routinière. Elle consiste en des exercices qui : Améliore la capacité de communication de l’individu, Lui donne l’intelligence pour gérer ses problèmes, Lui permet d’être un être social sans commettre d’actes antisociaux, L’amène à abandonner les explications concernant ses échecs pour s’atteler à la réussite, Gère toute la réactivité et, Permet la Mise au Clair. Ces exercices ne sont absolument pas effrayants. Si la psychologie en disposait, elle les utiliserait et connaîtrait un grand succès. L. Ron Hubbard Chers amis, J’ose dire qu’aller à l’école et apprendre des choses n’améliore guère l’intelligence. Certes, on peut parler intelligemment, ou simplement participer à la conversation. Mais malheureusement, j’ai vu trop de gens instruits dire des bêtises et faire des choses stupides, ce qui me permets de défendre facilement mon argument. J’ose également dire que les TRs, c’est-à-dire nos exercices de communication, l’audition, et j’inclus ici ce qu’on appelle les Procédés Objectifs ou les CCH, augmentent l’intelligence. [CCHs: Communication, Contrôle, Avoir. Les procédés objectifs utilisent la Communication, le Contrôle et l’Avoir pour améliorer justement cela et rendre quelqu’un plus capable, plus actif et plus haut de ton]. Ron dit que «la réalité est proportionnelle à la charge enlevée». Il s’agit d’une affirmation très importante et d’une base sur laquelle construire. Permettez-moi de donner un exemple de la façon dont la charge empêche de voir la réalité: Un enfant peut être tellement paniqué par une guêpe qu’il saute dans le vide. Ou avez-vous déjà essayé d’expliquer quelque chose à quelqu’un qui se trouve dans une charge de chagrin? Auditez d’abord le secondaire et vous pourrez ensuite lui parler. L’intelligence est améliorée en enlevant les charges, et non en remplissant quelqu’un de données. Un thétan ne peut pas penser avec ces données tant qu’il n’a pas été débarrassé des déchets, c’est-à-dire des émotions erronées, des contrariétés, des méfaits, des problèmes, de la douleur, de l’inconscience, des idées fixes, etc. Meilleures amitiés, Max Hauri

  • Le Mystère du Lamaïsme

    Introduction: Découvrez le mystère du Lamaïsme. Bouddha s’est en fait rendu au Tibet et a développé ce que l’on appelle le Lamaïsme, une extension supplémentaire du Bouddhisme, dans un effort de produire une méthodologie pour atteindre la base du mental et permettre à un individu d’être spirituellement libre. – L. Ron Hubbard Lisez la lettre d'introduction de Max Hauri à cet article ci-dessous. Publié à l'origine dans la revue «Advance! 24», environ 1974 Le Lamaïsme signifie littéralement la pratique, le système ou la doctrine des Lamas. Lama signifie «Supérieur». Ce terme est réservé à un ecclésiastique de haut rang dans le bouddhisme tibétain, mais par courtoisie, il est étendu à tout Gelong (moine tibétain ordonné). Mais qu’est-ce que le Lamaïsme? Quand a-t-il commencé? Par qui? Quels sont ses points les plus intéressants? Nous sommes au printemps de l’an 747 de notre ère. Un événement important se produit, qu’un jeune noble tibétain aurait pu décrire ainsi: «La fumée s’élevait verticalement. C’est la première chose que j’ai remarquée. Puis j’ai réalisé que je ne sentais plus le vent éternel. Il s’était arrêté – comme s’il attendait lui aussi, en retenant son souffle, l’arrivée de Padma Sambhava, qui devait apporter ses nouvelles connaissances et peut-être sa sagesse. «Les citadins semblaient vaquer à leurs occupations en sourdine, même s’il est douteux qu’ils aient prédit l’arrivée du gourou. Même les chiens avaient cessé d’aboyer. Un silence s’est installé, comme pour laisser la place à l’écoute de la nouvelle connaissance. «J’ai donc attendu. «Puis, comme le soleil qui se lève sur les citadelles des montagnes blanches qui nous ont si longtemps préservés, le béni du ciel et ses disciples apparurent soudain sur le plateau intérieur. Le roi et ses épouses étaient là pour les accueillir. «Nos histoires rappelleront plus tard au monde que ce nouvel enseignant, connu sur Terre sous le nom de Padma Sambhava, fut le fondateur du Dharma dans le pays des Chaînes Enneigées. Le Dharma, Dharma signifiant connaissance; la vérité que Bouddha a révélée et que nous pouvons découvrir dans nos propres cœurs et mentaux.» En fait, selon les écrits tibétains, Gautama Bouddha s’est réincarné en Padma Sambhava dans le but explicite de «prêcher le Dharma ésotérique», que nous pourrions décrire, en termes modernes, comme les doctrines et les pratiques les plus «éloignées» du bouddhisme. Revenons quelques années en arrière. L’arrière-plan du bouddhisme tibétain s’appelle Tantrayana, «Véhicule des Textes du Tantra», une forme occulte de bouddhisme qui a commencé à apparaître en Inde au deuxième siècle de notre ère et qui, dès le sixième siècle, a été inscrite au programme des grandes universités bouddhistes de l’Inde. Padma Sambhava était un professeur renommé de l’université de Nalanda, la plus célèbre université bouddhiste indienne. Selon la biographie de Padma, le bon roi Thi-Srong-Detsan, qui voulait introduire de manière splendide le bouddhisme au Tibet, s’est renseigné sur le professeur le plus célèbre et a trouvé le nom de Padma. Il l’a invité et Padma a accepté. Après son arrivée, Padma a construit le premier monastère bouddhiste tibétain à Samye, a traduit des quantités de documents bouddhistes sanskrit en tibétain, a établi la religion supérieure du bouddhisme au Tibet et a fondé un ordre de moines. Il est également l’auteur de divers ouvrages que nous examinerons plus tard. Padma est devenu un véritable héros culturel du Tibet. Sa biographie écrite par un disciple proche lui attribue divers pouvoirs OT et est déjà légendaire. Comme l’affirme un lama tibétain du 20e siècle: «Padma Sambhava... fut le premier grand maître de la Doctrine de l’Eclairé pour le peuple du Tibet... Il les a fait évoluer socialement de la barbarie brutale à une perspicacité religieuse inégalée... Toutes les sectes de bouddhistes tibétains le vénèrent. L’Inestimable Gourou ne peut être considéré que comme l’un des principaux héros culturels et éclairés de notre humanité commune.» L’une des choses intéressantes à propos de Padma est qu’il a caché des copies de divers ouvrages et traductions dans des grottes et des caches à travers le Tibet: «afin que (comme l’indique sa biographie) soient préservés les enseignements originaux non corrompus pour les générations futures... Tout ce qu’il enseignait était répertorié et caché. Il a même caché les enseignements du Seigneur Bouddha dans leur pureté, afin que les non-bouddhistes ne puissent pas les altérer. Personne, à part Tertons (un récupérateur de textes cachés), n’aurait le pouvoir de découvrir et de produire les écrits secrets.» Selon la biographie de Padma, Tertons a été désigné pour réapparaître à diverses époques avec pour mission expresse de découvrir et de révéler les œuvres sacrées. Selon l’école Nyingma du Tibet, des textes sacrés ont été trouvés par Tertons au cours des siècles, dans 49 endroits différents du Tibet. Padma Sambhava était donc un personnage fascinant! Jetons donc un coup d’œil à certains des documents qui portent son nom. Le lamaïsme tel qu’il a été caractérisé à ses débuts par Padma s’intéresse avant tout au mental et à l’extériorisation. De toutes les paroles de Bouddha, c’est une extension en particulier de ce qui suit: «Tout ce que nous sommes est le résultat de ce que nous avons pensé. Tout est fondé sur nos pensées, tout est composé de nos pensées. Si un homme parle ou agit avec une mauvaise pensée, la douleur le suit, comme la roue suit le pied du bœuf qui tire le chariot. «Tout ce que nous sommes est le résultat de ce que nous avons pensé. Tout est fondé sur nos pensées, tout est constitué de nos pensées. Si un homme parle ou agit avec une pensée pure, le bonheur le suit, comme une ombre qui ne le quitte jamais.» En interprétant les documents tibétains que nous allons étudier, il faut se rappeler que nous les examinons avec une lumière si puissante qu’elle dissipe les ombres qui ont tourmenté les interprètes occidentaux précédents, même lorsqu’ils pensaient les comprendre. Cette lumière est bien sûr, la scientologie, le développement ultime de l’étude de la connaissance, du mental et de l’esprit. Il ne serait pas facile d’aborder ces premiers matériaux bouddhistes tibétains, dont la plupart sont renfermés dans un langage symbolique, sans connaître les parties de l’homme telles qu’elles sont révélées dans la scientologie. En fait, aussi fascinants que soient ces documents, il faut résister à la tentation d’y lire plus d’informations qu’il n’y en a réellement. Alors hissez vos voiles mentales et dirigeons-nous vers le jalon du lamaïsme, un livre sur «l’auto-libération» de Padma Sambhava. Il comporte l’introduction suivante: Voici l’Art de Connaître le Mental, de Voir la Réalité, appelée Autolibération, extrait de «La Doctrine Profonde de l’Autolibération par la Méditation selon les Divinités pacifiques et courroucées». Fondamentalement, cela pourrait se résumer ainsi: Il y a un absolu qui est supérieur à l’univers physique et n’en fait pas partie. Cet Absolu est la Vérité Ultime – et c’est vous, mon ami! La libération est le processus qui consiste à réaliser réellement ce point. Le piège fondamental est de s’enfoncer dans l’illusion que l’univers physique est roi et d’y croire. Au contraire, dit Padma, «le mental [par lequel il entend l’être inconditionnel], lorsqu’il est désinhibé, conçoit tout ce qui survient dans l’existence». La peine et le malheur proviennent essentiellement de la méconnaissance de soi. Réaliser l’essence que l’on est déjà, est «la fondation de toutes les joies». Pour parvenir à la libération de soi, il faut (1) l’enseignement, (2) la compréhension, (3) l’application et (4) la réalisation du fruit de l’enseignement. Un point de confusion dans les traductions est que le même terme, «mental», est utilisé pour englober à la fois le mental limité des pensées et des concepts et le Mental, qui est l’absolu auto-existant, notre propre essence. «En contrôlant et en comprenant» le mental limité, on peut atteindre le Mental dans son état véritable. Ce «mental» est «nu, immaculé; pas fait de quoi que ce soit, étant du Néant; clair, vide, sans dualité, transparent; intemporel, non composé, sans entrave, incolore; ... transcendant sur la création». Les scientologues reconnaîtront qu’il s’agit de l’Axiome 1 des Axiomes de scientologie, qui énonce l’affaire de façon bien plus précise: «La vie est fondamentalement un état statique. Définition: une vie statique n’a pas de masse, pas de mouvement, pas de longueur d’onde, pas de localisation dans l’espace ou dans le temps. Elle a l’aptitude de postuler et de percevoir.» Dans les derniers paragraphes de ce livre, Padma Sambhava déclare: «Bien qu’enseigné à l’époque actuelle, ce texte... a été caché au milieu d’une cachette de choses précieuses. Puisse ce Livre être lu par les passionnés bénis de l’avenir.» Merci, Padma. Une autre œuvre attribuée à Padma est probablement l’une des cinq œuvres pré-scientologiques les plus fascinantes: le Bardo Thödol. Accrochez-vous bien – nous allons faire un voyage à travers la mort! Le Bardo Thödol! Connu en Occident sous le nom du «Livre Tibétain des Morts», grâce à la splendide édition de W. Y. Evans-Wentz. Le Bardo est l’état intermédiaire entre la mort et la renaissance. Littéralement, le titre pourrait signifier: «Libération par l’Audition au Niveau Post-Mortem». Il s’agit d’un manuel technique et non philosophique. Comme l’indique l’introduction, il s’agit de «la Grande Doctrine de la Libération par l’Audition, qui Confère la Liberté Spirituelle aux Passionnés d’Intelligence Ordinaire". Comme nous l’avons vu dans le numéro 23 d’Advance! la véritable intention du bouddhisme, inconnue jusqu’alors en Occident, était l’extériorisation. Ce manuel est un développement plus poussé de ce sujet. Il contient ce point-clé: à l’exception peut-être des plus grands adeptes, l’Homme ne pouvait pas extérioriser de manière stable avec la technologie bouddhiste. En d’autres termes, c’est une technologie qui a échoué. Padma a repéré le point-clé selon lequel l’extériorisation naturelle se produit à la mort. Il s’est efforcé de tirer parti de ce point en convainquant l’être qu’il pouvait rester stablement dans cet état et obtenir ainsi la «libération». Il a également reconnu qu’il était plus facile de travailler avec un être dans un état d’extériorisation car, non encombré par un corps, il est beaucoup plus capable et réceptif. Diverses capacités paranormales ont été reconnues. Par exemple, à un moment donné, on s’adresse à l’être désincarné de cette façon: «O Bien-né, tu es en fait doté du pouvoir d’agir miraculeusement... un pouvoir qui t’est venu naturellement... tu es capable en un instant de traverser les quatre continents... ou tu peux arriver instantanément en n’importe quel lieu souhaité.» On pourrait dire en nos termes que le Bardo Thödol est une tentative de parvenir à un être spirituellement libre, capable d’exister sans référence à un corps ou à MEST, en surmontant la compulsion presqu’inévitable de l’être à replonger dans un corps en raison de ses actes néfastes passés (mauvais Karma). Textuellement, le manuel se compose d’instructions destinées au prêtre officiant et des passages qu’il doit lire au thétan extériorisé, juste avant la mort jusqu’à une période de 49 jours après, lorsqu’il reprend un autre corps, le cas échéant. Bien sûr, il était vital de savoir si le sujet était réellement en train de mourir ou pas. Pour cela, un autre traité existait, énumérant tous les symptômes de la mort. À ce propos, il est intéressant de noter que, dans les rites funéraires tibétains, le corps est incinéré ou complètement éliminé afin que le thétan ne puisse pas compulsivement traîner alentour, ce qui entraverait les tentatives de libération. Lorsque la personne mourait, on lui ordonnait de partir par l’ouverture naturelle de son crâne. Le premier moment de l’extériorisation, symbolisé par une Lumière Claire radiante, était considéré comme le point-clé; car si la personne pouvait tenir bon à la pleine réalisation de son être fondamental, «sa libération serait certaine». Selon ce manuel, l’être sera le plus certain de son propre état d’être lorsqu’il sortira [NdT: blow-out] pour la première fois hors de sa tête. Après le premier point d’extériorisation, l’être entre dans la zone Intermédiaire ou la zone d’Entre-deux-vies. Au fur et à mesure qu’il traverse cette période, il comprend clairement dans quelle condition il se trouve et quelles sont ses chances de se libérer. Chaque jour, le prêtre fait une lecture et donne des instructions à l’être pour l’aider à affronter sa condition et à échapper à la ronde des renaissances. La zone Intermédiaire n’est pas une partie de plaisir. Selon le texte, l’être est assailli de visions et d’hallucinations terrifiantes et souvent horribles qui n’ont cependant pas d’existence objective mais sont des «reflets de (sa) propre conscience». S’il ne parvient pas à les confronter, il sera submergé et accélérera sa renaissance. Le manuel incite la personne à réaliser que ces apparitions ne sont que ses propres dramatisations mentales. En les confrontant, ainsi que la vérité de son propre état d’être, «tu obtiendras la bouddhéité». Le manuel souligne que chaque fois qu’il ne saisit pas sa chance de se libérer, cette chance s’éloigne au fur et à mesure qu’il se précipite vers la renaissance. Pendant l’état Intermédiaire, il est également conseillé au récent défunt, dans l’intérêt de la libération, (1) de se défaire de ses biens matériels afin de ne plus y être attaché et (2) de garder ses pensées purifiées, par exemple en ne se mettant pas en colère, même s’il voit ses proches mal effectuer les rites funéraires! Finalement, selon le Bardo Thödol, l’être (s’il n’a pas atteint la libération) arrive à un moment donné où à cause de ses compulsions pour un corps, est rapidement attiré vers la renaissance. Lorsque la personne s’approche du stade de la renaissance, le manuel indique qu’elle «aura des visions d’hommes et de femmes unis» et il lui est conseillé de «se retenir... d’aller entre eux». D’ultimes efforts sont faits pour amener l’être à sublimer son besoin d’un corps. Si cela échoue, le prêtre officiant, en continuant à lire le Bardo Thödol, aide la personne à choisir la naissance la plus optimale possible. On insiste particulièrement sur le fait qu’il doit prendre un corps dans un pays où la religion s’épanouit afin de pouvoir reprendre son chemin vers l’émancipation. L’auteur préconise dans le Bardo Thödol que le texte soit lu «parmi de vastes congrégations. Diffusez-le;» afin que les êtres y soient déjà familiers, lorsqu’il sera lu à la mort. Comme le dit le texte: «Quelles qu’aient été les pratiques religieuses de chacun – qu’elles aient été étendues ou limitées – durant les moments de mort, diverses illusions trompeuses se produisent; c’est pourquoi ce Thödol est indispensable. Pour ceux qui ont beaucoup médité, la véritable Vérité apparaît dès que le corps et le principe de conscience se séparent. Acquérir de l’expérience de son vivant est important: ceux qui ont [ensuite] reconnu [la vraie nature de] leur propre être et qui ont ainsi acquis une certaine expérience, obtiennent un grand pouvoir pendant le Bardo des Moments de la Mort, lorsque la Lumière Claire se lève.» Il y a des instructions dans le Bardo Thödol à différents niveaux et attraits. Par exemple, à un moment donné, l’auteur déclare: «(Instructions à l’officiant): Si c’est un rustre analphabète qui ne sait pas méditer, dites ceci: ‘O noblement-né, si tu ne sais pas comment méditer’» et le prêtre lira ensuite les instructions du Bardo Thödol à ce moment-là. Dans la conclusion finale du manuel, la réponse est donnée à la question de savoir pourquoi ces instructions orales pourraient être efficaces: «Il n’y a pas de corps de chair et de sang dont on pourrait dépendre, mais un corps mental, qui est (facilement) affecté. Quelle que soit la distance à laquelle on vagabonde dans le Bardo, on entend et on vient, car on possède le sens ténu de la perception et de la prescience supranormales; et, se souvenant et appréhendant instantanément, le mental est capable d’être changé (ou influencé). C’est pourquoi il (c’est-à-dire l’Enseignement) est d’une grande utilité ici». Bien sûr, le défaut crucial de la procédure susmentionnée est que la personne qui a aidé ne savait pas si elle avait obtenu un produit ou non, et continuait doncautomatiquement. Tout le manuel était lu. J’imagine que si un individu «réussissait», disons le sixième jour, cela causa un sacré overrun lorsque le prêtre continuait simplement. Et ce serait la plus grande critique que l’on puisse faire à ce merveilleux travail. Il n’y avait pas de statistiques de résultats, pas d’histoires de réussite. Une procédure exploitable par définition, doit contenir des résultats démontrables. Et sans véritables statistiques, le Bardo Thödol ne pouvait que devenir un rituel stérile. Le bouddhisme que Padma Sambhava a apporté au Tibet présentait plusieurs autres caractéristiques techniques intéressantes. Il s’agissait de diverses «aides» à la méditation et à la recherche de la réalisation d’états spirituels souhaités. Ces aides étaient les mantras, les yudras et les mandalas tels que définis ci-dessous. Les mantras étaient des syllabes ou des phrases, généralement dépourvues de contenu significatif, qu’un gourou transmettait à son disciple lors d’une initiation secrète. Par exemple, om mani padme hum [NdT: Sanscrit] était un mantra célèbre destiné à invoquer un certain type de pouvoir spirituel. Ces mantras reposaient sur le concept selon lequel il existe certaines vibrations associées à des êtres spirituels et à des forces spirituelles et physiques, et que ces facteurs peuvent être invoqués en prononçant le mantra. À moins bien sûr que les mantras ne soient correctement psalmodiés, ils étaient considérés comme inutiles. Un deuxième outil du lamaïsme était le mudra ou les gestes ou postures structurés des mains et des doigts. L’idée était que certaines postures pouvaient conduire à certains états psychiques salutaires. Elles étaient également censées diriger d’une certaine manière les courants magnétiques ou électriques du corps. Le troisième outil était appelé le mandala, souvent représenté dans l’art tibétain. Le mandala peut être considéré comme une carte spirituelle à un niveau artistique et symbolique, et était utilisé comme une aide à la méditation. Après l’époque de Padma, l’histoire religieuse du Tibet, tout en couleurs, a conservé l’héritage fondamental conféré par Padma. Ses successeurs spirituels ultimes, les Dalaï et Panchen Lamas, étaient des personnages d’une période ultérieure. L’invasion en 1950 des forces communistes chinoises a marqué la fin de la revendication du Tibet sur l’histoire mondiale, une revendication qui n’a jamais été autre que spirituelle. Elle a fait éclater la bulle selon laquelle derrière le massif himalayen reposait un mystère de pouvoir spirituel exceptionnel. L’enveloppe était là, mais pas la puissance, car la vérité pour être la Vérité doit promouvoir la survie sur toutes les dynamiques, et tomber devant des soldats conduits par une idéologie athée n’est certainement pas une bonne survie. Mais les Lamas ancestraux n’ont pas échoué. En 1950, le Tibet n’était tout simplement plus le centre de leur héritage. Il a été transmis à l’avenir. Et en 1950, grâce au travail de L. Ron Hubbard, ce futur était déjà arrivé. Grâce à la dianétique et à la scientologie, les problèmes et les inhibitions concernant l’extériorisation et les états spirituels hors du corps avaient été entièrement résolus. Et il n’y a pas besoin d’attendre la mort ou d’abandonner le jeu de la vie! Ainsi, le Bardo Thödol et le lamaïsme ont échoué; échoué parce que la véritable barrière à l’extériorisation et à la liberté n’était pas connue des premiers pionniers du lamaïsme – le mental réactif. Non seulement cela, mais toute «libération» du jeu du corps ou de l’univers physique qui aurait pu être atteinte par le lamaïsme n’aurait été que temporaire, car la nature vicieuse du mental réactif aurait rapidement provoqué une rechute. L’Homme a dû attendre encore 724 ans, jusqu’à la parution par L. Ron Hubbard de la dianétique, de la scientologie et des cours avancés, avant que la véritable nature du mental – et la technologie permettant de le gérer pleinement – ne soit connue. L’avènement du lamaïsme s’est produit exactement à mi-chemin entre la mort de Bouddha (483 av. J.-C.) et l’an AD 24 [A.D.: «Après Dianétique», la publication de La Dianétique: La Science Moderne de la Santé Mentale. de notre ère. Padma Sambhava et ceux qui ont contribué au lamaïsme et ont maintenu en vie l’espoir séculaire de liberté spirituelle de l’homme, sur le haut plateau tibétain balayé par les vents, apprécieraient dans la scientologie l’incroyable solution à leurs échecs et à leurs aspirations. Après d’interminables éons d’errance à travers l’existence dans une direction sans victoires, finalement grâce à la scientologie et aux Cours Avancés, la roue de la renaissance est maintenant notre trophée et nous pouvons rejoindre le nouveau jeu merveilleux de la vie triomphante. Chers Amis, Voici un texte très intéressant, qui décrit le lamaïsme au Tibet et donne un aperçu du Bardo Thödol. «Bardo Thödol» en anglais: «Libération par l'audition durant l'état intermédiaire» et est également appelé le «Livre Tibétain des Morts». En voici 3 paragraphes. «Tout ce que nous sommes est le résultat de ce que nous avons pensé. Tout est fondé sur nos pensées, tout est composé de nos pensées. Si un homme parle ou agit avec une mauvaise pensée, la douleur le suit, comme la roue suit le pied du bœuf qui tire le chariot. «Tout ce que nous sommes est le résultat de ce que nous avons pensé. Tout est fondé sur nos pensées, tout est constitué de nos pensées. Si un homme parle ou agit avec une pensée pure, le bonheur le suit, comme une ombre qui ne le quitte jamais.» La zone Intermédiaire n’est pas une partie de plaisir. Selon le texte, l’être est assailli de visions et d’hallucinations terrifiantes et souvent horribles qui n’ont cependant pas d’existence objective mais sont des «reflets de (sa) propre conscience». S’il ne parvient pas à les confronter, il sera submergé et accélérera sa renaissance. Le manuel incite la personne à réaliser que ces apparitions ne sont que ses propres dramatisations mentales. En les confrontant, ainsi que la vérité de son propre état d’être, «tu obtiendras la bouddhéité». Avec mes meilleures amitiés, Max Hauri

  • Une prophétie vieille de 2500 ans

    Introduction : Une prophétie vieille de 2500 ans: «Un homme est aussi bien portant que ses objectifs et ses rêves sont intacts. Si un homme peut rêver, si un homme peut avoir des objectifs, il peut être heureux et il peut être vivant. S’il n’a pas d’objectifs, il n’a même pas d’avenir.» 30 mars 1954 – L. Ron Hubbard. Lisez la lettre d'introduction de Max Hauri à cet article ci-dessous Advance! 27 La conclusion surprenante de la série Advance! sur le bouddhisme. Avec Advance! numéros 23 et 24, vous avez suivi une série d’articles qui retracent le développement du bouddhisme. Dans le numéro 23, vous avez appris comment un homme, Siddhartha Gautama, a cherché à s’élever au-dessus de son propre destin et a compris la véritable nature spirituelle de l’Homme. Il est devenu Bouddha, celui qui est éveillé ou illuminé. Il a développé une philosophie selon laquelle la vie est fondamentalement une souffrance, mais qu’il existe un moyen d’échapper à la roue sans fin de la mort et des réincarnations en devenant soi-même un bouddha. Bien que Bouddha ait échoué parce qu’il n’avait pas les moyens d’atteindre pleinement ses objectifs, son œuvre était si répandue et si impressionnante qu’elle est devenue l’influence civilisatrice dominante pour les 2 500 années suivantes de l’histoire de l’Humanité. Dans le numéro 24, nous avons vu comment Bouddha lui-même s’est rendu au Tibet (dans une vie ultérieure) pour commencer le lamaïsme (bouddhisme tibétain) dans le but de développer des techniques d’extériorisation et d’approfondir ses études sur le mental. Son nom dans cette vie du 8 ème siècle était Padma Sambhava. Les œuvres les plus importantes attribuées à Padma Sambhava sont le grand livre de «l’auto-libération» et le «Livre des morts tibétain», un manuel technique destiné à libérer un individu de la roue des réincarnations. Avec ce numéro, nous sommes arrivés au point culminant de la série d’Advance! au sujet du bouddhisme. Voyez-vous, il y a 2 500 ans, une prophétie étonnante a été formulée, qui jette une lumière nouvelle et fascinante sur la voie spirituelle de l’Homme. Lisez la suite! Une Prophétie vieille de 2 500 ans Une promesse ancienne, faite il y a 2 500 ans, prédisant qu’un grand chef spirituel viendra apporter une liberté totale à l’Homme, peut-elle se réaliser? L’Homme s’est généralement tourné vers son passé pour y trouver ses âges d’or. Il a donc surtout vécu dans la nostalgie plutôt que dans l’espoir. L’avenir, de manière patente, [Évidente, qui ne prête à aucune contestation. Synonyme: manifeste.] n’a représenté qu’un prolongement des problèmes non résolus d’aujourd’hui, qui promettaient d’empirer avant de s’améliorer. Les points les plus prometteurs de l’histoire de l’Homme ont accompagné les recrudescences ou les renaissances de la philosophie religieuse; des jalons tels que le zoroastrisme, [Voir Advance! 20. Le zoroastrisme fondé par Zoroastre (forme grecque de l’ancien nom perse Zarathoustra) était la plus importante religion de la Perse antique.] le christianisme et le bouddhisme, entre autres. La plupart de ces mouvements ont prédit la fin de l’histoire de l’existence terrestre et le début de l’existence céleste – qui ne s’est pas produite! Dans le christianisme, par exemple, la date de la seconde venue du Christ à la fin du monde a été fréquemment repoussée dans le futur. Les premiers chrétiens l’attendaient de leur vivant. Récemment, les Témoins de Jéhovah se sont régulièrement réunis pour attendre la fin du monde. L’idée d’attente a été si prédominante dans l’histoire du christianisme que Franz Kafka, l’écrivain allemand, a écrit un jour avec cynisme que le Christ arriverait non pas le jour du jugement, ni le lendemain, mais le surlendemain! Cette vision eschatologique [En rapport avec la fin des choses, comme la mort, la résurrection, le jugement, l’immortalité.] de l’histoire a connu des rebondissements étranges, comme dans l’œuvre de Hegel, le «grand» philosophe allemand (1770-1830), qui estimait que sa propre œuvre était le dernier chapitre du livre de la vérité et marquait la fin de l’histoire. Marx, à son tour, a conçu que l’histoire se terminerait par une ultime bataille décisive entre les «travailleurs» et les capitalistes, après laquelle s’ensuivrait un paradis ouvrier éternel pervertissant ainsi l’idée chrétienne d’Armageddon, [Le lieu où se déroulera la dernière bataille décisive entre les forces du bien et du mal avant le jour du jugement et le paradis éternel qui suivra.] qui provient elle-même du concept zoroastrien antérieur du jugement et de la fin du monde. Ainsi, l’Homme a été si souvent déçu et trahi par les sauveurs et les paradis promis qu’il est un peu comme un buffle d’eau blessé qui tente d’encorner tous ceux qui essayent de l’aider. Parmi tout le panorama de ces prédictions et prophéties, une seule n’a pas fait appel à des organismes surnaturels, ni prévu la fin divine du monde. C’est la légende d’un successeur dont l’origine n’est autre que Bouddha Gautama. Bouddha ne considérait pas que son propre travail était terminé. Il s’est rendu compte qu’il lui manquait une technologie adéquate pour atteindre tous les objectifs de la liberté spirituelle. Il a prédit qu’une telle technologie du mental et de l’esprit serait développée en Occident par un successeur quelque 2 500 ans plus tard. Comme l’a déclaré Bouddha à Ananda (principal assistant de Bouddha) qui lui demandait: «Qui nous enseignera quand tu seras parti?» Et Bouddha répondit: «Je ne suis pas le premier Bouddha venu sur Terre, et je ne serai pas le dernier. Je suis venu vous enseigner la vérité, et j’ai fondé sur Terre le royaume de la vérité. Gautama Siddhartha mourra, mais Bouddha vivra, car Bouddha est la vérité, et la vérité ne peut pas mourir. Celui qui croit en la vérité et la vit est mon disciple, et je lui enseignerai. La Vérité sera propagée et le royaume de la vérité s’agrandira pendant environ cinq cents ans. Puis, pendant un certain temps, les nuages de l’erreur obscurciront la lumière, et en temps voulu, un autre Bouddha se lèvera, et il vous révélera la même vérité éternelle que celle que je vous ai enseignée.» Ananda dit: «Comment allons-nous le reconnaître?» Bouddha répondit: «Le Bouddha qui viendra après moi sera connu sous le nom de Metteyya, ce qui signifie ‘celui dont le nom est bonté’.» [Tiré du «Livre de la grande mort» des Canons Palis, les plus anciennes écritures bouddhiques. Le pali est la langue que parlait Gautama Bouddha.] Metteyya vient du mot pali metta signifiant amour. Correctement traduit en anglais oral, Metteyya signifie «celui dont le nom est bonté» ou «ami». Ainsi, ‘celui qui doit venir’ sera reconnaissable, selon Bouddha, comme un grand ami de l’Humanité. Il sera Metteyya (ami). Dans une autre déclaration, Bouddha prédit que Metteyya sera «accompagné d’une congrégation de quelques milliers de frères, tout comme je suis maintenant accompagné d’une congrégation de quelques centaines de frères». Cette idée bouddhiste d’un second Bouddha a filtré vers l’ouest jusqu’au Moyen-Orient où, selon une autorité, elle s’est exprimée dans l’idée chrétienne ultérieure de la seconde venue du Christ. Dans les pays bouddhistes, Metteyya est devenu un grand favori. Dans l’art et la sculpture, il était souvent représenté debout, contrairement à Bouddha qui était généralement représenté assis. Il est devenu un thème fréquent dans la littérature bouddhiste. Par exemple, «l’Anagata Vamsa», un poème indien du 8 ème siècle au sujet de Metteyya met dans la bouche de Gautama Bouddha les lignes telles que: «Je suis maintenant le parfait Bouddha; «Et il y aura Metteyya aussi. «Avant que ce même éon favorable «N’arrive à la fin de son temps.» Une partie prédominante de la légende est que Metteyya apparaîtra lorsque le monde sera en péril, que la religion aura dangereusement décliné et qu’un nouvel âge obscur menacera d’assombrir la planète. Les anciennes écritures tibétaines confirment que ce nouveau chef spirituel apparaîtra en Occident et qu’il aura des cheveux roux ou dorés: «Lorsqu’on le verra en Occident, assis à la mode occidentale, ses cheveux comme des flammes autour de sa noble tête, discourant, alors les habitants des Trois Mondes [Les Trois Mondes des écritures tibétaines: Le corps: le monde physique appartenant au corps et à son fonctionnement et à sa vie. La parole: le ‘monde’ de la communication entre les entités et les choses. Le mental: le monde propre à chacun, le monde de sa propre création.] se réjouiront, sachant que la libération de tous les êtres conscients est imminente. On l’appellera alors l’âge des bienheureux, car il deviendra courant d’atteindre la Libération en une seule vie.» Gandhi, un hindou, invoquait peut-être Metteyya quand il a écrit ce qui suit: «L’Asie a un message pour le monde entier, si elle veut bien s’en montrer digne. Toute l’Asie comprenant l’Inde, la Chine, le Japon, la Birmanie, Ceylan (Sri Lanka) et les États malais, porte l’empreinte de l’influence bouddhiste. Afin que l’Asie ne soit pas uniquement pour l’Asie, mais pour le monde entier, elle doit réapprendre le message de Bouddha et le transmettre au monde entier.» Paul Goddard, un interprète occidental réputé du bouddhisme, a également reconnu que le bouddhisme traditionnel n’était pas adapté au monde moderne. Il exprime en ses propres termes le besoin urgent d’une meilleure technologie: «Les bouddhistes américains et européens, avant de pouvoir atteindre communément l’illumination et l’état de Bouddha, auront besoin de leur propre méthode pour pratiquer la huitième étape de la Noble Voie, [La dernière étape de la procédure en huit parties que Bouddha Gautama a élaborée pour atteindre la bouddhéité.] mais une telle Méthode Juste ne peut être formulée avant que le Bouddha qui prend forme dans notre propre mental, ne vienne. Quand Il viendra, nous serons comme Lui, car nous Le verrons tel qu’Il est!’ ‘Viens quand même, Seigneur Maitreya!’ [Maitreya est la forme sanskrite du mot pali Metteyya, parfois orthographié Metteya.] En 1955, les bouddhistes du monde entier ont célébré l’anniversaire des 2 500 ans de l’ère bouddhique. Ces célébrations ont coïncidé avec la date la plus proche prévue pour l’arrivée de Metteyya, soit plus ou moins 1950. La couverture [pas disponible] de ce numéro d’Advance! exprime de façon saisissante cette prédiction. Elle montre Metteyya debout à l’extrémité d’un pont de 2 500 ans. On peut voir Bouddha à l’autre extrémité. La main droite de Metteyya est levée dans le geste Abhayamudra. Mudra signifie «geste», Abhaya signifie «libre de toute crainte ou de tout danger, sans peur». En tant que geste, il exprime l’octroi de la protection et de la bénédiction. Il représente donc un postulat pour un espace sûr dans lequel les êtres peuvent atteindre une liberté spirituelle totale. Pendant deux millénaires et demi, l’Orient a entretenu avec amour, l’espoir de Metteyya – contribuant ainsi à créer un avenir dans lequel il pourrait arriver et être accepté. Chers amis, Une autre année s’est achevée et nous avons maintenant toutes les chances d’espérer et de rêver à des cieux plus cléments, sans trop de nuages noirs! Nous créons notre futur, nous en sommes la cause et nous pouvons l’être bien plus que nous ne l’avons jamais pensé. Notre potentiel est loin d’être épuisé. Voici le véritable message du Nouvel An: Une prophétie vieille de 2 500 ans, tirée du magazine Advance! 27 de 1974. Je n’ai pas besoin d’en rajouter davantage, elle parle d’elle-même et chacun peut s’en faire sa propre idée. Comme écrit plus haut, quoi qu’il arrive, nous pouvons et devons toujours être optimistes. Nous pouvons maintenant mieux voir ce qui se passe. Il y a de plus en plus de vérité qui éclate, et c’est bien, même si c’est inconfortable. Créons et vivons nos objectifs et nos rêves. C’est un bon postulat pour l’année prochaine! «Un homme est aussi bien portant que ses objectifs et ses rêves sont intacts. Si un homme peut rêver, si un homme peut avoir des objectifs, il peut être heureux et il peut être vivant. S’il n’a pas d’objectifs, il n’a même pas d’avenir.» 30 mars 1954 – L. Ron Hubbard. Bonne et heureuse année! Max Hauri et la Ron’s Org de Grenchen: Erica, Melinda, Verena, Dirk, Jean et tous ceux qui nous aident à mettre la Ron’s Org là, chaque jour.

  • Criminalité

    Introduction: Dans cet article, vous pouvez apprendre ce qui est réellement considéré comme de la criminalité et de l'échange, et ainsi déterminer d'un coup d'œil ce qui se passe dans la vie. Extrait de la HCO PL 4 Avril 1972 – Ethique  –  Téléchargé l'extrait ou le texte complet À moins que nous ne voulions continuer à vivre dans un lointain nulle part, certains états de faits doivent être confrontés. Une inaptitude à confronter le mal conduit les gens à le négliger ou à ne pas en tenir compte ou à ne pas le voir du tout. Inversement, il peut y avoir un type de personne qui, comme un prêcheur d’antan, ne voit que le mal partout et, prenant peut-être ce qu’il a dans le coeur comme modèle, croit que tous les hommes sont malveillants. L’homme, néanmoins (comme vous pouvez le lire dans le HCOB du 28 novembre 1970, N° 22 de la Série du C/S, LA PSYCHOSE), est fondamentalement bon. Quand il suit le chemin du mal, il essaie de se restreindre et provoque un effondrement. [ cave-in: Un effondrement mental, parfois physique, dans lequel une personne ne peut plus être cause et est tout à fait effet. ] Le Tableau d’Evaluation Humaine dans Science de la Survie était assez vrai. Et on peut également trouver de telles personnes d’après l’Oxford Capacity Analysis, lorsque le graphique est bas et bien en dessous de la ligne centrale sur la droite. L’audition peut évidemment venir à bout de ce genre de choses, mais l’ESTO ne compte pas là-dessus pour résoudre ses problèmes de personnel. Les actions criminelles proviennent de telles personnes, à moins qu’on ne les empêche de commettre un acte malveillant en utilisant plus de contrainte venant de l’extérieur qu’elles n’ont de pression de l’intérieur pour le commettre. Dans la plupart des cas, c’est précisément une telle inégalité de pressions qui réprime la criminalité. Si vous n’avez aucune Présence Ethique dans une Org, alors la criminalité montre son nez. De telles personnes mentent plutôt que d’être amenées à confronter. Elles font de faux rapports (elles utilisent même le «PR» ce qui signifie Relations Publiques, pour dissimuler) et dans notre jargon, «PR» veut dire interposer un tas de faux rapports pour servir d’écran de fumée à la paresse ou aux mauvaises actions. À moins que vous ne mettiez l’Éthique en place, vous ne mettrez jamais la Technologie en place. Si vous ne pouvez pas mettre la Technologie en place, vous ne mettrez pas l’Administration en place. Ainsi, le manque d’Éthique permet à l’impulsion criminelle d’avoir le champ libre. Oui, on pourrait en venir à bout avec la Technologie. Mais pour avoir de l’argent, vous devez avoir l’Administration en place. À moins qu’il n’y ait de l’Éthique et des moyens de la mettre en place, peu importe combien cela peut sembler désagréable, vous ne mettrez jamais la Technologie et l’Administration en place. Bien sûr, il y a toujours l’éventualité d’une injustice, mais on y a paré. (Voir la HCO PL du 24 février 1972 I, Injustice.) Quand ce sont des mains criminelles qui appliquent l’Éthique (comme cela arrive dans certains gouvernements), cela peut devenir passablement sinistre. Mais là encore, l’Éthique sert à réprimer un massacre pur et simple. Ne pas venir à bout de la criminalité peut nous rendre tout aussi coupables des crimes qui en ont résulté que si on les avait commis! Donc la criminalité est un facteur dont il faut venir à bout. On en vient à bout de façon standard au moyen des HCOPLs de base sur l’Éthique et du système de l’Officier d’Éthique. ÉCHANGE Un Membre du Personnel qui n’est pas vraiment criminel ou psychotique, mais qui n’est pas chapeauté et qui ne produit pas, peut être rendu criminel. Cela l’ajoute aux rangs des criminels. Le système d’Éthique s’applique aussi à lui. Néanmoins, il y a quelque chose qu’un ESTO peut faire pour cela et qui est vraiment de la Technologie d’ESTO. Cela se situe dans le domaine de l’ échange . Si vous vous rappelez votre clarification du produit, vous verrez que l’échange, c’est quelque chose pour quelque chose. L’échange criminel, c’est rien de la part du criminel pour quelque chose de la part d’un autre. Qu’il utilise le vol, la menace ou la fraude, le raisonnement criminel vise à obtenir quelque chose sans rien produire. C’est évident. Un Membre du Personnel peut se laisser entraîner à penser dans ce sens si o n lui permet de recevoir sans qu’il contribue. À propos, cela donne la clé de la vieille énigme des philosophes en rapport à «ce qui est bien et ce qui est mal». L’ honnêteté est la route vers la santé d’esprit . Vous pouvez prouver cela et vous le prouvez chaque fois que vous amenez quelqu’un à aller bien en lui «tirant ses retenues». Les déments ne sont qu’une masse bouillonnante d’Actes Néfastes [ Acte d’omission délibérément dommageable qui apporte le moins de bénéfices au plus petit nombre de dynamiques ou le plus de dommages au plus grand nombre de dynamiques. ] et de Retenues. Et ce sont des gens physiquement très malades. Quand vous permettez à quelqu’un d’être malhonnête, vous le préparez à devenir physiquement malade et malheureux. L’Éthique traditionnelle de l’Organisation Maritime a étiqueté la non-exécution «risque» et le faux rapport «doute». Et c’est assez vrai. Quand vous permettez à quelqu’un de ne rien donner en échange de quelque chose, vous encouragez en fait la criminalité. Ne soyez pas surpris que les quartiers d’assistés soient pleins de vols et de meurtres. Les gens qui s’y trouvent ne donnent rien en échange de quelque chose. Quand l’échange n’est pas en place, tout l’équilibre social disparaît. Chaque fois qu’une Org a donné une bourse complète, cela s’est terminé par un gâchis. Quand vous embauchez un pc professionnel qui ne fait que rester assis là avec des gestes mous pendant que des gens l’auditent et lui apportent leur contribution, ne soyez pas surpris s’il devient de plus en plus malade . Il ne fournit aucune contribution en retour et il se retrouve submergé! D’une manière similaire, si vous empêchez activement quelqu’un de contribuer en retour, vous pourriez aussi le mettre en rupture d’ARC [ C’est une diminution de l’affinité, de la réalité et de la communication, c’est pourquoi nous l’appelons une rupture d’ARC. C’est un ARC soudain vers le bas. ] et le rendre malade. C’est l’ échange qui maintient l’inflow (flux de rentrée) et l’outflow (flux de sortie) qui donne à la personne de l’espace autour d’elle et tient le bank éloigné. Ces flux d’échange peuvent être déséquilibrés de nombreuses façons. Ce n’est pas que ce qui sort doit être pareil que ce qui rentre. L’égalité des quantités ne constitue pas un facteur. Qui peut mesurer la faveur d’autrui ou l’amitié? Qui peut réellement calculer la valeur qu’il y a à sauver un être de la mort à chaque vie? Qui peut mesurer la récompense qu’est la fierté d’un travail bien fait, ou des éloges? Car toutes ces choses ont des valeurs différentes pour des personnes différentes. Dans le monde matériel, la personne dont le facteur échange n’est pas en place peut penser qu’il «fait de l’argent». Seul un gouvernement ou un faux-monnayeur «fait de l’argent». Il faut produire quelque chose à échanger contre de l’argent. Là, tout de suite, le facteur échange n’est pas en place. S’il ne donne rien en retour pour ce qu’il reçoit, l’argent ne lui appartient pas. En faisant clarifier leur produit à un grand nombre de personnes, il a été trouvé que certains considéraient que leur nourriture, leurs habits, leur lit et leurs allocations n’étaient pas à eux du fait qu’ils produisaient. Ils étaient à eux «uniquement parce qu’ils étaient là». Cette «logique» bizarre dissimulait le fait que ces personnes produisaient peu ou pas du tout à leur poste. Cependant elles étaient les premières à hurler quand elles ne recevaient pas de l’audition, de la Technologie ou des cours onéreux (pour l’Org)! Ainsi une telle personne, si elle n’est pas chapeautée ou si on ne la fait pas produire, tombera malade. Il est intéressant de voir que lorsqu’une personne devient productive, son moral s’améliore. Inversement, il devrait être plutôt évident pour vous qu’une personne qui ne produit pas devient mentalement ou physiquement malade. Car son facteur échange n’est pas en place. Ainsi, quand vous récompensez une personne qui a de basses statistiques, non seulement vous privez les personnes qui ont de hautes statistiques, mais vous faites également s’effondrer la personne ayant de basses statistiques. Je ne pense pas que les États providence ont autre chose en tête! Les émeutes de l’ancienne cité de Rome ont été causées par ces facteurs. Là-bas, ils donnaient du pain et des jeux à une population qui a fini par devenir si sauvage qu’elle ne pouvait se réjouir que de torture et de morts horribles dans l’arène! Une grande partie de ce déséquilibre de l’échange provient de la psychologie pour enfant, dans laquelle l’enfant ne contribue à rien et on ne lui permet pas de contribuer à quoi que ce soit. C’est cela qui tout d’abord le submerge de sentiments d’obligations envers ses parents, et ensuite éclate en révolte totale lors de son adolescence. Les enfants à qui on permet de contribuer (non pas comme quelque chose de mignon à faire, mais pour de bon) font ressembler les enfants du même âge, qui ne contribuent pas, à des maniaques en délire! C’est le sadisme cruel des temps modernes que de détruire ainsi la génération suivante. Ne pensez pas que ce n’est pas voulu. J’ai examiné les tests d’OCA des parents qui le font! Ainsi, si une personne a été élevée cette vie-ci avec un facteur échange perverti, il se peut que l’ESTO ait du pain sur la planche. Il a à faire avec une criminalité inculquée! – L. Ron Hubbard

  • Ce que chaque auditeur devrait savoir

    Introduction: Il s’agit d’un article ambitieux, mais il contient des informations très importantes et fondamentales sur la manière d’améliorer les compétences d’une personne. Lisez la lettre d'introduction de Max Hauri à cet article ci-dessous. Extrait de la conférence «Le Tableau de Classifications et l'Audition» – 26 juillet 1966 Auditer signifie écouter et déterminer [NdT : compute], mais aussi obtenir un résultat sur un préclair, c’est-à-dire quelqu’un qui n’est pas encore Clair. Pour réussir à obtenir des résultats en Scientologie, il faut que l’audition soit effectuée de manière technique et professionnelle, sans s’écarter de la procédure standard. Un scientologue essaie de rendre les gens meilleurs et c’est une idée nouvelle dans le domaine entier du mental humain. Notre situation n’est pas comparable aux thérapies et autres choses, comme la torture et l’emprisonnement, qui ont passé pour de la thérapie mentale à travers les âges. Les objectifs de la Scientologie sont antérieurs à toutes les idées de «thérapie» et se trouvent d’abord dans la religion et la philosophie, il y a 10 000 ans. Mettre quelqu’un au Clair, c’est effacer son mental réactif. Toute la misère de l’homme est contenue dans le mental réactif. Nous ne sommes pas concernés par le comportement social. L’audition n’est pas une critique sociale. Les psychothérapies font de la critique sociale. Les psychiatres existent pour le « bien de la société ». Les législateurs s’intéressent aux «malades» et aux «aliénés». Ce n’est pas notre cas. Nous travaillons dans un domaine beaucoup plus ancien. Nous savons comment se comporte un préclair. Nous savons comment les êtres humains fonctionnent, mais nous ne nous en soucions guère. Le bon ou le mauvais comportement est une question de définition. Si vous tuez un homme, c’est bien ou mauvais par définition. Si vous le tuez à la guerre ou en le condamnant au tribunal, c’est bien. Mais si vous le tuez juste un centimètre en dehors des statuts légaux, c’est mal. Il existe une foule de comportements sociaux auxquels vous pouvez vous intéresser si vous le souhaitez, mais ne les confondez pas avec l’audition. Il existe une certaine voie de sortie. La Scientologie est le chemin, la voie vers la sortie. C’est la voie qui nous éloigne de la réactivité, de l’aberration, de l’identification de tout avec tout le reste. Elle augmente les capacités d’une personne, elle augmente ses performances générales et son existence à un degré fantastique qui peut être mesuré et expérimenté avec précision. Et ce chemin vers la sortie comporte certains petits jalons que vous devez franchir pour en sortir et que nous appelons les Grades de Libération. Il y a certains points qu’une personne doit passer sur le chemin de la Libération et ces points sont des aptitudes définitives retrouvées. Ces Grades ne sont pas composés de points uniques, bien que pour la commodité du public, nous les énumérons parfois simplement : 0 – Communication I – Problèmes II – Actes néfastes et Retenues III – Ruptures d’ARC IV – Facsimilés de Service V – La Piste Entière VI – R6-EW, qui décharge le mental réactif, et VII – La Mise au Clair, les matériaux indispensables pour effacer complètement le mental réactif. Il n’est pas possible d’atteindre les Grades supérieurs en ignorant les Grades inférieurs. Définitions: Mental Réactif: La pensée qui n’est pas sous le contrôle de la personne. Aberration, aberré: Écart par rapport à la pensée ou au comportement rationnels. Déraisonnable. Acte néfaste: Un acte nuisible ou contraire à la survie. Retenue : Un acte de contre-survie non divulgué. Rupture d’ARC: Rupture d’Affinité, de Réalité et/ou de Communication. Facsimilé de Service : Idée fixe qu’une personne utilise pour se donner raison et donner tort aux autres. Piste entière: Un enregistrement moment après moment de l’existence d’une personne dans cet univers. R6-EW: Routine 6 Mots de la Fin. Une procédure équivalente. Key-in: Le mental réactif revient. La seule autre chose qui barre cette route est de ne pas suivre la technologie standard. La technologie standard est contenue dans les Bulletins du Bureau des Communications Hubbard. La technologie moderne n’est contenue dans aucun des livres de Dianétique et de Scientologie. Mes recherches souffrent de mauvaise réputation uniquement parce que tout ce qui a été trouvé et noté a été enregistré, et non pas caché, par peur d’être impopulaire. La Vérité est la Vérité, pas un concours de popularité. Toutefois, ce n’est pas parce que nous avons développé quelque chose plus tard, que nous avons abandonné la technologie standard de quelque chose de plus ancien. Le principal problème de la personne qui étudiait la Scientologie (et ce problème était le sien, pas le mien) était qu’elle pensait que chaque fois qu’elle lisait quelque chose de nouveau, cela effaçait l’ancien. Et cela était dû au fait qu’elle ne comprenait pas l’ancien quand elle l’avait lu et qu’elle ne réalisait pas qu’il s’intégrait au nouveau qui venait d’être publié. Il y a très peu de choses qui ont été éliminées, mais l’idée d’overrun et le moment où un procédé est aplani nécessitent une correction. Ce dont il s’agit est la maîtrise d’une chose appelée le mental. Vous devriez comprendre ce qu’est l’Homme et savoir qu’il n’y a rien qui puisse aider un être aberré, si ce n’est l’audition. Vous devez donc savoir que l’audition est une petite voie très étroite délimitée au-dessus, au-dessous et des deux côtés par une masse globale de choses incorrectes qui peuvent être faites. (Il serait impossible d’énumérer le nombre de choses incorrectes qui peuvent être faites en matière d’audition.) Cette piste, appelée technologie standard est très étroite et il est très facile de s’en écarter et l’une des façons de le faire est d’oublier de gérer les préclairs durant leur audition. Par ne pas les gérer, cela signifie : négliger le fait que votre préclair a un problème de temps présent, ou une rupture d’affinité, de réalité ou de communication, ou qu’il est assis sur des actes néfastes et ne pas s’en occuper parce qu’ils se trouvent être au-dessus du Grade que vous parcourez avec le préclair. Vous pouvez toujours appliquer un procédé avancé à un préclair, à titre de rudiment, pour le redresser. Mais le jour où vous vous asseyez pour auditer cette personne et que vous ne détectez pas ou ne notez pas qu’elle a un problème de temps présent est le jour où vous aurez une perte. Cette personne n’est pas prête à monter les Grades du Tableau de Gradation. Pourquoi ce tableau est-il si précis et comment l’ai-je trouvé? Le Tableau de Gradation n’est constitué que des choses que vous ne pouvez pas auditer de front et c’est le principe du tableau et c’est la véritable raison pour laquelle j’ai trouvé les Grades, et je les ai isolés aussi simplement que cela. Je me suis dit qu’il y a certaines choses, si on n’y prête pas attention, qui empêchent tout progrès en audition. Par conséquent, elles doivent être les clés de l’aberration. Et c’est ainsi que nous avons obtenu le Tableau de Gradation. Au cours de toutes ces années d’expérience, et il y en a eu beaucoup, seuls ces facteurs se sont présentés. Des facteurs qui, pris individuellement, et qui combinés, peuvent totalement empêcher les gain de cas si on n’y prête pas attention. Ce sont les super barrières de la piste. Ce sont les poutres du pont qui sont tombées sur le côté. Quelles sont ces choses? Les choses auxquelles une personne se heurte qui l’empêche d’auditer, sont les problèmes de temps présent, les ruptures d’affinité, de réalité et de communication, les actes néfastes et les retenues, et les facsimilés de service. Les choses présentes avec lesquelles vous ne pouvez pas auditer sans un maniement, sont les Grades sur le Tableau de Gradation. Donc, bien sûr, si ce sont les choses qui arrêtent les progrès d’un préclair, elles doivent être les choses qui ont désespérément besoin d’être libérées. Je savais que lorsqu’elles seraient auditées à grande échelle, nous obtiendrions une libération. Il devait en être ainsi parce que ces choses étaient les points forts du mental humain qui empêchaient tout progrès ultérieur sur un cas. Il suffit qu’un préclair soit inquiet pour sa femme pour qu’il ne puisse pas répondre au commandement d’audition et ne puisse pas se concentrer sur quoi que ce soit. L’individu coupable de récents overts ne peut même pas vous parler. Avec ceci présent, vous ne ferez aucun progrès, pas un seul. Vous ne rencontrerez pas beaucoup de problèmes (car les procédés actuels fonctionnent comme dans du beurre), mais c’est à ce tout petit problème que vous devez vous intéresser. La Libération est un produit brut. C’est un produit très prometteur, mais ce qui a piégé toute la recherche sur le mental est qu’on peut produire un état temporaire de Clair. Donc on peut faire quelque chose qui ressemble à quelque chose qui n’est pas. C’était un piège en 1950. C’était également un piège en 523 avant J.-C. sur ce même sujet et cette même ligne de recherche. Un thétan extérieur (un être qui sait qu’il est un esprit avec un corps et pas seulement un corps) produisait tous les symptômes de santé d’esprit totale. Cela pouvait durer deux minutes, deux jours, deux ans, mais ça ne durait pas. Et en 523 avant J.-C., on l’appelait Bodhi. Une seule chose est sûre à propos d’un Libéré, c’est qu’il va key-in. La libération, telle que nous la pratiquons aujourd’hui, a cependant cet avantage : elle s’accompagne de l’expérience de la surmonter, et cette expérience est bénéfique à la personne, car elle a amélioré sa capacité à confronter. Maintenant, cela va un peu plus loin – un peu d’effacement se produit. L’audition moderne est suffisamment bonne pour qu’un peu d’effacement aille de pair. Il est donc plus susceptible d’être stable en tant que Libéré sur ces Grades qu’il ne l’était en tant que «Clair» selon le livre en 1950. De même, il ne key-in pas (ne récupère pas) toute la masse de ce niveau lorsqu’il key-in, il est maintenant simplement au point où le niveau suivant à effectuer, key-in. Un Libéré qui key-in ne retourne pas à l’état dans lequel il se trouvait avant cette audition. Dans les années 1950, nous ne savions jamais à quel niveau de Libération nous faisions un «Clair». Aujourd’hui, nous accédons à la Libération par gradients et nous savons quel type de Libération nous faisons. J’ai finalement eu l’idée que si nous voulions avoir quelque chose de quasi absolu en matière de Clair, nous devions avoir un effacement quasi total de la réactivité, et pendant trois ans, j’y ai travaillé très dur. Et maintenant nous l’avons. Cela n’enlève rien à la Libération. Faire une Libération est très, très utile et les grades de Libération sont des étapes essentielles sur la voie de Clair. La Libération se fait sur une ligne tracée ; elle permet de confronter une personne et de l’amener à gérer les choses qui ont ruiné sa vie et qui ruineraient la vie de n’importe qui. Tout ce qui empêcherait l’audition ruinerait la vie de quelqu’un, car l’audition est une chose assez puissante. Mais Clair n’est pas seulement «s’en sortir». Le Clair est l’effacement total du mental réactif et c’est un état stable, seulement personne ne l’a fait auparavant depuis le début de l’univers pour autant qu’on puisse le savoir. Il n’y a donc que certaines choses qui empêchent de réussir dans l’audition. Il n’y a que cette petite poignée de choses, comme indiqué sur le Tableau de Gradation, qui peuvent vous barrer la route en tant qu’auditeur. Ces choses que vous ne pouvez pas négliger ou ignorer, quel que soit le niveau de Libération atteint par l’individu, sont : les éléments de communication, les problèmes de temps présent, les actes néfastes, les ruptures d’ARC, les facsimilés de service – ou le fait qu’il soit sur la mauvaise partie de la piste. Parmi ces facteurs, les quatre premiers sont les plus importants. Si vous les négligez, vous ne ferez pas d’audition. Si ceci barre l’audition, cela barrera le vivre. Il n’y a rien d’autre qui puisse arriver aux gens qui puisse leur barrer la route. Cependant, il existe des points de sortie intermédiaires sur le Tableau de Gradation que vous négligez probablement. Au niveau 0, il y a aussi les procédés de valence. Au niveau I, nous avons les CCHs et il y a aussi les procédés de localisation. Au niveau II il y a les procédés d’ARC, et les Remèdes au cas s’adaptent également à ce niveau II. Vous pouvez devenir libéré sur un grand nombre de ces remèdes. Au niveau III, il y a l’audition par Liste, les actes néfastes-justifications, les solutions aux problèmes physiques et la datation sur l’électromètre, en plus des assessements R-3-H. Au niveau IV, il y a aussi les procédés pour monter l’Échelle, la libération de l’audition sur l’effort et l’audition cause et effet. Les procédés que vous utilisez actuellement et les derniers HCO Bulletins que vous avez sont tout à fait appropriés, mais il y a beaucoup d’autres choses qui peuvent être faites sur ces grades pour libérer les gens. Je ne vous dis pas de les utiliser, mais elles existent. Le fait est que vous êtes aujourd’hui très riches en procédés, lesquels sur une large échelle en général, s’occupent de ces conditions et font des Libérés avec une certaine précision. Tout échec que vous rencontrez est dû au fait que vous ignorez les définitions des Grades utilisés en tant que rudiments. Pendant combien de temps effectuez-vous un assessement d’une rupture d’ARC sur le niveau 0 ? Vous le parcourez jusqu’à ce que vous ayez géré la rupture d’ARC qui vous barrait la route à l’audition. Vous n’essayez pas maintenant de faire une libération de ruptures d’ARC. L’audition est effectuée de manière très standardisée. C’est un chemin très étroit. Ce n’est pas une large piste des deux côtés de la route. Elle est hautement bénéfique et a des objectifs, des buts et des gains définis. Lorsqu’elle est bloquée, vous constaterez que les seules choses qui la bloquent sont celles que j’ai mentionnées. Votre propre personnalité ajoutée à la technologie et le fait de progresser vers le haut font le reste du travail. Si vous voulez être un bon auditeur aux Grades VI et VII, alors devenez-en un. Vous, en tant qu’être, faites également partie de l’alignement et je compte sur cela et sur votre coopération en tant que thétan pour le pousser sur une ligne standard – tout droit vers Clair pour tout le monde. L. Ron Hubbard Chers Amis, Il s’agit d’un article ambitieux, mais il contient des informations très importantes et fondamentales sur la manière d’améliorer les compétences d’une personne. L’important est de comprendre de quoi est faite la vie: La communication: Inutile d’en dire plus. Les problèmes: Les problèmes sont une composante importante de la vie! Les gens adorent les problèmes. N’essayez pas d’enlever un problème à quelqu’un ou de le résoudre! Donnez une solution à quelqu’un et il ne l’acceptera tout simplement pas! Il veut le résoudre! C’est son problème. Son droit d’auteur! Les problèmes sont donc importants. L’action: La vie consiste à faire et à agir. Les actions qui tournent mal ou qui sont destructrices, qu’elles soient intentionnelles ou non, s’appellent des overts et le fait de ne pas en parler, c’est-à-dire de se retenir, s’appelle des retenues. Les changements: Les changements peuvent heurter les gens, agacer et contrarier quelqu’un. Il peut être difficile d’accepter les changements. On ne fait pas non plus de changements par peur de froisser ou de contrarier quelqu’un. Mais le changement n’est pas la seule cause de bouleversements; les raisons sont diverses. En Scientologie, nous le précisons et l’appelons rupture d’ARC – aussi parce qu’il s’agit d’une approche de solution pour l’auditeur: une rupture ou un effondrement de l’affinité (affection), de la réalité (accord) et de la communication. Comme nous sommes toujours confrontés à ces facteurs, il en résulte toutes sortes d’échecs ou de non-communications, nous sommes coincés dans des problèmes, nous faisons des choses que nous aurions mieux fait de ne pas faire avec le recul, nous nous faisons des reproches, ou nous avons des ruptures d’ARC, etc. etc. En Scientologie, nous appelons les choses ci-dessus les «rudiments»; c’est-à-dire des choses qui doivent d’abord être mises en ordre avant de pouvoir auditer. Il s’agit de cela: Rupture D’ARC, Problème de Temps Présent et Retenue. Si l’on est tellement coincé dans l’un des points ci-dessus, il faut l’aborder au début de la séance. Ces rudiments peuvent aussi se mettre en travers de la vie et devraient être gérés en audition. Tout le reste sera expliqué par L. Ron Hubbard. Il est utile de comprendre qu’il s’adresse à des auditeurs en devenir. Bonne lecture! Avec mes meilleures amitiés, Max Hauri

  • Spirales d’Existence

    Introduction : Très peu de personnes peuvent vraiment expliquer comment se passe le passage d’un corps à un autre. Certains peuvent parler d’expériences de mort imminente, mais rares sont ceux qui peuvent dire avec précision quelles ont été les étapes traversées ou les spirales d’existence. Lisez la lettre d'introduction de Max Hauri à cet article ci-dessous Notes d’une conférence donnée par L. Ron Hubbard le 3 décembre 1952 Examinons donc le microcosme [Univers en miniature; un monde petit; l’Homme est considéré comme une représentation miniature de l’univers.] appelé «Homme» comme un cycle d’action. Il commence par la conception et passe par la naissance, l’enfance, l’homme, puis il devient un vieil homme et ensuite meurt. Voilà ce qu’il croit être son cycle d’action. Il poursuit ce cycle et s’est longtemps contenté de croire qu’il cessait d’exister lorsque la fin du cycle était atteinte. La particularité de ce cycle d’action est le relatif contentement avec lequel il a été accepté. Il doit y avoir un très fort accord sur ce point, sinon personne ne le cautionnerait jamais. Il existe un principe de transmigration [Le passage d’une âme lors de la mort dans un autre corps. Vient de 'se déplace' (migrer) 'à travers' (trans).] ainsi que de réincarnation. [La renaissance de l’âme dans un nouveau corps; une théorie hindoue complexe de la renaissance.] bien qu’aucune de ces choses, vous le comprenez, ne soit la transmigration ou la réincarnation en tant que telles. Tout ce qui est, est la vie constante d’un être qui continue à prendre des formes différentes. Il n’est jamais un être différent, mais il doit se dire qu’il est un être différent. Il se dit qu’il n’est plus l’être qu’il était, qu’il est parti et mort, afin d’être l’être qu’il est à ce moment-là. Prenons maintenant ce que l’on appelle une spirale. Une spirale est simplement une période de vies, une période d’existences ou une existence unique en relation intime les unes avec les autres. Vous pouvez, par exemple, remonter dans le passé d’un préclair et trouver une spirale globale où il a été dans un corps. Il a pris un corps à un moment ou à un autre, il est entré et sorti des corps pendant un certain temps et puis, tout à coup, nous avons une longue spirale, vie après vie après vie, d’être dans des corps. On pourrait dire que l’univers est, bien que le terme «année» soit très trompeur, vieux de 75 trillions d’années. Au début, la spirale avait au moins 100 millions d’années. Un individu est entré dans l’univers MEST et a vécu 100 millions d’années jusqu’à ce qu’il puisse enfin concevoir qu’il était mort. Il s’est alors imaginé qu’il avait ressuscité à nouveau grâce à la nécromancie [magie] et s’est pris pour un nouvel être et a poursuivi sa spirale suivante pendant 50 ou 60 millions d’années. Puis il s’est senti «mort» et a été ressuscité à nouveau et a continué pendant peut-être 25 millions d’années. La spirale se raccourcit à chaque fois. La spirale actuelle de la plupart des gens ici est de 34 000 ans. Vous trouverez des préclairs qui sont sur leur spirale actuelle depuis environ 3 000 ans. Vous en trouverez très rarement une qui soit plus longue que cela. Quand c’est le cas, vous trouvez quelqu’un qui ne cadre pas avec la culture. Nous avons donc des spirales. Ces spirales descendent environ de 100 millions d’années, puis peut-être 50 millions et ainsi de suite jusqu’à ce qu’elles arrivent actuellement à ce point de spirale microscopique qu’est la spirale actuelle. Et l’Homme fait partie de ce point microscopique en une seule vie. L. Ron Hubbard Chers amis, Très peu de personnes peuvent vraiment expliquer comment se passe le passage d’un corps à un autre. Certains peuvent parler d’expériences de mort imminente, mais rares sont ceux qui peuvent dire avec précision quelles ont été les étapes traversées, de leur dernier à leur premier souffle dans leur nouveau corps. Pouvaient-ils tout voir et tout entendre? Ont-ils traîné pendant 53 ans avant de prendre la décision d’adopter un nouveau corps et s’est-il passé encore quelques années? Peut-être qu’ils regardaient la grande muraille de Chine ou peut-être qu’ils ont continué à s’inquiéter de leur dernière vie pendant quelques siècles; peu importe. Il se peut aussi qu’ils pensent «Pourquoi personne ne m’a dit cela? Qu’est-ce que je vais faire maintenant?» Il arrive de temps en temps qu’un enfant puisse dire avec précision qui il était dans sa dernière vie, mais je n’ai jamais entendu parler de tout ce qu’il avait vécu dans l’entre-deux-vies. D’une certaine manière, il oublie. Le livre «Fil Direct, un manuel de travail» donne des réponses à ce sujet. On peut vanter l’existence spirituelle, mais pour l’instant, le corps est la donnée stable pour un thétan. Une partie importante de la population ne peut pas s’imaginer une vie dans l’au-delà. D’après ce que je lis dans le Livre tibétain des Morts, il est question de rester conscient. On aide un thétan à rester conscient après sa mort, afin qu’il ne dérive pas dans l’hallucination et la confusion. Dans la terminologie de la Scientologie, on peut aussi parler de dope-off [Phénomène dans lequel une personne est fatiguée, a sommeil, se sent dans le cirage, comme droguée.] ou d’anaten. [Signifie une diminution ou un affaiblissement de la conscience analytique d'un individu pour une durée brève ou prolongée.] Voici quelques données stables de Ron, tirées du livre Scientologie 8-80: «Le thétan entre dans le corps à un moment dans la prime enfance. Ce peut être avant, durant ou après la naissance.» «Il y arrive dans un état de non-savoir concernant lui-même, désireux d’avoir une identité qu’il considère impossible d’avoir, sans un corps.» «…» «D’abord le thétan est d’ordinaire aveugle ou a une très mauvaise vue. Il regagne graduellement son aptitude à percevoir, à mesure qu’il s’élève sur l’échelle des tons. Il traverse une bande de dub-in [Toute image mentale créée inconsciemment qui semble être un enregistrement de l'univers physique mais qui n'est en fait qu'une copie déformée de la Piste du Temps.] située au-dessus de 0,0 et en dessous de 2,0. Plus haut sur l’échelle, il acquiert une vue nette et claire.» – L. Ron Hubbard Il faut être là et percevoir. Ou alors seulement confronter et rester éveillé. L’une des premières choses que l’on apprend en Scientologie est d’être là et de percevoir, ce que l’on appelle aussi TR 0, ou confrontation. Et finalement, l’entraînement et l’audition contribuent et améliorent cette capacité à être là et à percevoir. Et il est certain que les TRs, l’entraînement et l’audition font monter quelqu’un sur l’échelle des Tons. Le TR 0 est un exercice que l’on devrait faire régulièrement! On a toujours des gains en Scientologie, mais par expérience, je peux confirmer que le TR 0 donne très souvent les plus gros gains. Et on les emporte avec soi – pour toujours. Joyeuses Fêtes de fin d’année, Max Hauri

  • Vision du Futur

    Introduction : Il est temps de sortir de la dimension occidentale pour entrer dans la dimension orientale afin d’en savoir plus sur l’une des figures clés de l’histoire spirituelle de l’Homme – et de son futur! Lisez la lettre d'introduction de Max Hauri à cet article, ci-dessous «Une vision du Futur», tiré de la revue Advance! 30 Dans Advance! 25 vous avez été initié à l’histoire de Metteyya. Vous avez appris que Gautama Bouddha (563-483 avant J.-C.) développa une philosophie sur la souffrance et sa résolution par l’accomplissement d’un état spirituel connu sous le nom de Bodhi (illumination). L’œuvre de Bouddha amena l’Homme à un niveau supérieur d’intégrité personnelle, de respect de soi et de confiance mutuelle. Elle a mis l’accent sur les valeurs de l’Amour et de la Paix et constitua le prélude au message d’amour que le Christ adressa ensuite au monde. L’un des faits les plus remarquables concernant Bouddha est qu’il a reconnu que son propre travail était incomplet. Il a prédit qu’il serait achevé un jour par un successeur qu’il appela Metteyya. Aucun personnage de l’histoire de l’Homme n’a été plus longuement et intensément attendu que Metteyya. Comme Metteyya est un héritage d’espoir de l’Orient, nous devrions mieux comprendre comment l’Orient l’a compris. Il est temps de sortir de la dimension occidentale pour entrer dans la dimension orientale afin d’en savoir plus sur l’une des figures clés de l’histoire spirituelle de l’Homme – et de son avenir! Tout d’abord, Metteyya a été conçu par Gautama Bouddha comme un second Bouddha, le Bouddha à venir. En d’autres termes, nous avons ici une légende de la seconde venue qui précède de quelques centaines d’années l’interprétation du Moyen-Orient. Mais qu’est-ce qu’un Bouddha et comment Bouddha a-t-il été diversement imaginé? Le mot Bouddha vient d’une très ancienne racine sanskrite Budh signifiant à la fois «se réveiller» et «savoir». Bouddha est donc un terme désignant une personne qui s’est réveillée et a atteint l’illumination sur sa propre identité spirituelle et la vérité fondamentale de cet univers! Tous les bouddhistes croient que toute personne a le potentiel inhérent d’atteindre l’illumination – si elle se réveille et se consacre à cet objectif. Parce que cet objectif était si rarement atteignable à travers l’œuvre de Bouddha, lui et d’autres à suivre se sont tournés vers l’avenir, lorsque Metteyya rendrait cet objectif universellement possible. Gautama Bouddha n’est pas considéré comme ayant été le premier Bouddha à apparaître. Le bouddhiste indien d’il y a quelque 2 500 ans ne partageait pas la vision étroite du temps dont l’Occident a hérité du récit de la Genèse de l’Ancien Testament. Pour le bouddhiste indien, le monde n’a pas commencé hier ou il y a seulement 6 000 ans. Il concevait plutôt une trajectoire passée mesurée en millions d’ères temporelles. Selon lui, ces immenses périodes ont connu des apogées lorsque des Bouddhas d’époques non répertoriées sont apparus pour aider le monde à retrouver une destinée supérieure. Jusqu’à présent, le plus grand de ces êtres dans l’ère terrestre était Gautama Bouddha (environ 563-483 avant J.-C.). Mais même lui sera dépassé par son successeur, Metteyya. Pendant des centaines d’années après Bouddha, le concept de Bouddha est resté simplement celui d’un homme qui avait réussi par ses propres moyens et qui avait enseigné le chemin aux autres. Puis, au premier siècle avant J.-C., les bouddhistes ont commencé à développer de nouveaux concepts de ce qu’était un Bouddha et par conséquent de nouveaux concepts concernant Metteyya. Ces points de vue, ainsi que d’autres, distinguaient cette école de ce qui avait été enseigné auparavant. Ils se sont nommés «Mahayana» (Le Grand Véhicule) par opposition à «Hinayana» (Petit ou Moins Grand Véhicule), les croyances antérieures. Par la suite, le bouddhisme Mahayana a explosé en Asie du Nord-Est et, par le nombre d’adhérents, est devenu la forme la plus populaire du Bouddhisme. Au premier siècle de notre ère, le Bouddhisme Mahayana avait développé trois niveaux de réalité dans sa définition du Bouddha dans des ouvrages tels que le Saddharmapundarikasutra (généralement traduit par «Lotus de la Bonne Loi» mais qui signifie en réalité «Lotus de la Loi de la Vérité Fondamentale»). Ils ont appelé cette doctrine trikaya qui, malheureusement, se traduit mal en anglais par «la doctrine des trois-corps». En fait, kaya (corps) est un terme impropre car il ne s’agit pas du tout d’une doctrine sur les corps mais sur les états spirituels. Le plus haut niveau de réalité ou état spirituel était un état appelé Dharma-kaya, ou Corps de Vérité. Cela se traduit par Vérité ultime ou fondamentale. La Vérité Fondamentale n’est pas considérée ici comme un concept abstrait mais plutôt comme une Toutes-Sources, un absolu spirituel. En dessous du niveau du Dharma-kaya, nous trouvons un niveau d’êtres transcendantaux [Transcendantal: également transcendant; au-dessus et indépendant de l’univers physique; dépassant les limites ordinaires; excellant [se surpassant]; supérieur; extraordinaire. Dans cet article, transcendant et transcendantal sont utilisés de manière interchangeable.] qui sont libérés des entraves du corps et de l’univers physique. Ce type d’être ou d’état était appelé Sambhogakaya (corps de félicité). Ce niveau d’existence est conçu comme étant composé de bouddhas transcendantaux qui ne peuvent être perçus par les sens bruts mais qui peuvent être expérimentés spirituellement. Par exemple, on pourrait dire que celui qui sent que le Christ est près de lui, avec lui ou le guide dans la vie, fait l’expérience d’une réalité transcendante de ce niveau. Certains intellectuels de l’Inde ancienne pensaient que ces Bouddhas Transcendantaux n’étaient pas des entités réelles, mais des mock-up personnels de celui qui les regardait. En tout cas, cette doctrine conçoit un plan spirituel supérieur à l’univers physique, et qui n’en dépend pas. Plus bas sur l’échelle du Sambhogakaya, mais infiniment élevé par rapport à l’état de l’Homme, se trouvait le Bouddha Terrestre. Ce niveau était appelé Nirmanakaya (de Nirmana qui signifie «Êtres Manifestes»). Ces bouddhas de sang et de chair étaient parfois considérés comme les protégés ou même les projections des Bouddhas Transcendantaux dans le monde. La fonction des Bouddhas Terrestres est de faire connaître le Dharma, la Vérité, dans le monde et d’aider ainsi les autres êtres à se réaliser. Metteyya serait un tel Bouddha. Le bouddhisme Ch’an du 6ème siècle (exporté ensuite de Chine sous le nom de Bouddhisme Zen au 12ème siècle) a poussé cette doctrine encore plus loin. Les bouddhistes Ch’an considéraient que tout être participe à ces trois «corps». Chacun est Nirmanakaya dans la mesure où il possède un corps. Il devient Sambhogakaya lorsqu’il atteint l’illumination et se libère des entraves du monde. Finalement, il est aussi Dharmakaya dans la mesure où son vrai état d’être est en définitive illimité et identifiable comme la Vérité Fondamentale. Nous avons examiné en détail la doctrine Trikaya, qui était une doctrine centrale de la forme de Bouddhisme Mahayana, et son élaboration de la nature de Metteyya. La Roue de l’Enseignement, version Mahayana. (D’après une gravure sur bois tibétaine.) Les huit rayons symbolisent la voie octuple du Bouddha pour atteindre l’illumination. Le symbole du moyeu a été adapté du symbole chinois yin et yang représentant en fait, la polarité de base de l’univers. Dans l’usage bouddhiste, il représente l’interdépendance des deux faits fondamentaux de la vie: la souffrance et sa résolution, l’illumination. Notez que ce symbole forme un «S» au niveau du moyeu de la roue! Chaque Bouddha Terrestre était connecté à son propre Bouddha Transcendantal. Des noms étaient fournis pour ces entités. Par exemple, au-dessus de Gautama Bouddha se trouvait le Bouddha transcendant Amitabha. Le Bouddha transcendantal de Metteyya était appelé Amoghasiddhi. Au-delà de tous ces niveaux d’état d’être se trouvait le Dharmakaya, l’absolu spirituel. Au-dessous des Bouddhas Terrestres, ex­is­tait un autre grade spirituel appelé Bodhisattva. Certains Bodhisattvas exceptionnels servaient les Bouddhas Terrestres en tant qu’assistants. Bodhisattva vient de deux mots : bodhi – illumination, et sattva – être. Un Bodhisattva est un être qui aspire sincèrement à atteindre l’illumination (bodhi) ou qui, l’ayant déjà atteinte, refuse de se libérer de l’existence corporelle tant que tous les êtres n’ont pas été aidés sur la voie de l’illumination. Dans le bouddhisme Mahayana, toute personne qui recherchait l’illumination pour elle-même et faisait également le vœu d’aider les autres à y parvenir était un bodhisattva. La seule et grande vertu qui motivait les Bodhisattvas ainsi que les Bouddhas Terrestres – et la vertu dont découlaient toutes les autres vertus – était considérée comme étant la compassion. Un Bodhisattva ou un Bouddha se souciait profondément du sort des autres êtres. Malheureusement, le mot compassion a des connotations humanoïdes de pitié et de chagrin. Une meilleure formulation peut être trouvée dans Scientologie: Les Fondements de la Pensée de L. Ron Hubbard: «L’aptitude d’assumer ou d’accorder (donner, permettre) l’état d’être est probablement la vertu humaine la plus élevée. Il est encore plus important d’être capable de permettre aux autres d’avoir un état d’être que d’être capable de l’assumer soi-même.» Et dans d’autres citations de ses œuvres rassemblées, nous trouvons: «Je crois que commander c’est servir et ne donne que le droit de servir.» Et «... un être n’a de valeur que dans la mesure où il peut servir les autres.» Ces déclarations définissent brillamment l’orientation du Bodhisattva ou du Bouddha Terrestre et seraient facilement acceptées par les grands maîtres bouddhistes du passé. ​ Bouddhisme Mahayana Le Bouddhisme Mahayana développa un autre système doctrinal qui explique Metteyya d’une manière légèrement différente de celle décrite ci-dessus. Il s’agit de la doctrine du Bodhisattva Transcendantal. Ne confondez donc pas les deux car ils ne sont pas entièrement identiques. Dans ce système doctrinal, on conçoit qu’il existe dix stades d’existence au-dessus de l’Homme auxquels un Bodhisattva peut aspirer et s’élever. Ces niveaux sont décrits comme dix perfections : Le Bodhisattva est joyeux lorsqu’il consacre sa vie à aider les autres êtres. Il perfectionne son autodiscipline. Il est capable de confronter les adversités et de persévérer en les traversant, dans ses efforts pour aider les autres. Il est capable de percevoir et de rejeter les idées fausses. Il apprend à méditer – ce qui, en Orient, ne signifie pas nécessairement s’asseoir sur son siège pour réfléchir comme le Penseur de Rodin. Il s’agit plutôt de concentrer son attention en toute conscience. Il acquiert la sagesse et est capable de percevoir les causes de la souffrance. Il réalise la vérité fondamentale et se rend compte qu’en comparaison, le monde des apparences physiques n’est qu’un défilé passager. C’est l’étape sur laquelle le Bodhisattva atteint son illumination. Mais s’il cessait de fonctionner dans ce monde, il trahirait la confiance des êtres qui comptent sur lui pour les aider à atteindre «la vie plus élevée». Ainsi, bien qu’il soit libéré des compulsions du MEST, il reste dans ce monde pour honorer ses vœux. À ce stade, l’être abandonne le besoin d’un corps et devient un Bodhisattva Transcendantal. Il est capable d’agir en tant qu’être sans lien avec un corps et d’assumer n’importe quelle forme à volonté. À ce stade, le Bodhisattva peut stimuler les gens simplement en étant dans leur entourage grâce à sa propre bonté. Il continue à se consacrer à son objectif d’élever tous les êtres. C’est le dernier stade du Bodhisattva. Ici, il obtient une connaissance sans limite. Il n’est qu’à un pas de l’état du Bouddha total. Son rayonnement en tant qu’être est merveilleux. Dans ce système, Metteyya était considéré comme un Bodhisattva du dixième stade de perfection, juste une étape avant l’état de Bouddha. Il était imaginé comme existant sur un plan supérieur de réalité (identifié comme le «Paradis de Tusita»), se préparant à son rôle de futur Bouddha. Tout au long de l’histoire du Mahayana, Metteyya comme il sied au futur Bouddha, a été classé comme le Bodhisattva Transcendantal le plus élevé, une figure populaire dans l’art et la sculpture bouddhistes. De plus, en tant que futur Bouddha, Metteyya était en fait vénéré par certains cultes Mahayana. À un autre niveau encore, le personnage de Hotei, le grand dieu rieur bedonnant du Japon, est historiquement dérivé de l’Indien Metteyya par le biais du dieu chinois Mi-Lo-Fu. De manière assez appropriée, Hotei, bien qu’il ait perdu sa signification religieuse au fil des ans, est aujourd’hui le «Dieu» du Bonheur au Japon. Oui, Metteyya serait une bonne fortune pour le monde! Malgré toutes les complexités et interprétations doctrinales, l’histoire entière de Metteyya est basée sur les prédictions de Gautama dans le Canon Pali (les plus anciennes écritures bouddhistes). Par exemple, dans le discours sur «Guerre, Méchanceté et Richesse», on constate que le Bouddha prédit ce qui suit : À cette époque mes frères, il s’élèvera dans le monde un Exalté nommé Metteyya, Arahant, [Variation de Arhat, celui qui a atteint la perfection spirituelle.] Pleinement Éveillé, abondant en sagesse et en bonté, heureux, ayant la connaissance des mondes, inégalable comme guide des mortels désireux d’être guidés, un enseignant pour les dieux et les hommes, un Exalté, un Bouddha, comme je le suis maintenant. Lui seul connaîtra et verra parfaitement, pour ainsi dire comme dans un face à face, cet univers, avec ses mondes d’esprits, ses Brahmas [Pluriel de Brahma, dans la terminologie hindoue, terme désignant l’aspect créatif personnifié d’un absolu spirituel.] et ses Maras [Pluriel de Mara, littéralement la mort; la personnification du mal.], et son monde de reclus et de brahmanes, [Membres de la caste des prêtres indiens] de princes et de gens, comme moi maintenant, par moi-même, je les connais et les vois parfaitement. La vérité, belle dans son origine, belle dans son progrès, belle dans son achèvement, il la proclamera, tant dans l’esprit que dans la lettre, il fera connaître la vie supérieure dans toute sa plénitude et dans toute sa pureté, comme je le fais maintenant. Il sera accompagné d’une congrégation de quelques milliers de frères, comme je suis maintenant accompagné d’une congrégation de quelques centaines de frères.» Notez que dans la vision de Bouddha, Metteyya ne serait pas un philosophe de salon, mais il connaîtrait et expérimenterait les mondes de l’univers spirituel et physique comme Gautama l’avait fait. Il serait un homme, un fils, un guerrier, un mari et un Bouddha comme l’était Gautama. Il convient de souligner ici que Gautama Bouddha lui-même ne se considérait pas comme un dieu et ne prétendait pas être guidé par des forces surnaturelles. Il n’y a pas non plus d’évidence qu’il considérait Metteyya sous un autre aspect que celui qu’il se donnait à lui-même. Dans une autre prédiction, Bouddha déclare que ce Metteyya viendra lorsque le Bouddhisme lui-même aura échoué sur cette planète et que les nuages de l’erreur obscurciront le monde. Selon la légende, Metteyya aurait des cheveux roux ou dorés et il se manifesterait en Occident à une époque de crise mondiale. Ainsi, les signes négatifs suivants indiqueraient que le temps est proche pour l’arrivée de Metteyya. Le Bouddhisme au Tibet, en Chine et dans d’autres pays sera éclipsé par une nouvelle philosophie matérialiste. La religion elle-même connaîtra une tendance à la baisse dans le monde entier. Une fausse technologie concernant le mental sera mise en avant. De nouvelles armes extrêmement destructrices seront lâchées sur les populations. Nous allons entrer dans une «Ère de Crise» qui menace l’avenir de l’homme. ​Signes Positifs Par quels signes positifs connaîtrons-nous l’arrivée de Metteyya? La religion et les études spirituelles seront revitalisées. Une technologie humanitaire grâce à laquelle les individus peuvent retrouver leur intégrité personnelle, leur respect de soi et leur bien-être deviendra évidente. Un nouveau mouvement religieux vital attirera l’attention du monde, en provenance de l’Occident. La manifestation d’états spirituels élevés deviendra de plus en plus courante. Selon l’ancienne tradition, ces quatre points indiqueraient l’avènement de Metteyya. Il a été prédit que l’arrivée de Metteyya marquerait le début d’un nouvel Âge d’Or pour l’Homme. Mais quel genre d’Âge d’Or? Juste une autre utopie imposée et arbitraire comme le rêve de Karl Marx d’un paradis des travailleurs? Non. L’Âge d’Or de Metteyya serait basé sur ce qui suit: 1. Le respect de soi et des autres. 2. Une réelle confiance en soi et en ses semblables. 3. Devenir plus soi-même. 4. L’intégrité personnelle. 5. Le bien-être personnel. Voilà un Âge d’Or pour lequel il vaut la peine de travailler et d’attendre avec impatience! Chers Amis, Voici l’article «Une vision du Futur», tiré de la revue Advance! 26 ou même 30. [Les revues Advance! 26 et 30 sont en grande partie identiques.] Je n’écrirai pas grand-chose à ce sujet, si ce n’est que nous devrions parfois essayer de voir les choses d’un point de vue plus élevé. Meilleures amitiés. Max Hauri

  • Refoulement et Douleur

    Introduction: On peut gérer la douleur ou tout sentiment désagréable en inversant le flux. L'article Refoulement et douleur vous explique tout ! Lisez la lettre d'introduction de Max Hauri à cet article ci-dessous Un article tiré de la conférence donnée par L. Ron Hubbard le 2 septembre 1962, L’effet curatif de l’audition préparatoire Nous avons commis une erreur dans le passé. Nous pensions qu’il s’agissait de «contrôle», car sur cette planète, «contrôle» signifie plus ou moins «refoulement*». Le résultat fondamental d’un mauvais contrôle, bien sûr, est le refoulement. Un petit enfant continue à renverser son dîner sur son torse et vous l’empêchez de renverser son dîner sur son torse en le fouettant. Vous voyez, c’est ça «l’éducation standard d’un enfant». Les psychologues, quant à eux, ont une toute autre idée. Ils ont abandonné et disent : «Eh bien, on laisse l’enfant renverser son dîner sur sa poitrine.» Vous voyez ? C’est aussi connu comme permettre à l’enfant «d’évacuer son hostilité». C’est un grand mot, et en plus cela ne fonctionne pas avec l’enfant. Mais ce que j’essaie surtout de faire ressortir ici, c’est que les gens, lorsqu’ils sont blessés, ne veulent pas l’être. Je sais que cela ressemble à l’une de ces horribles simplicités, comme «la façon de traverser la rivière,» vous voyez, «c’est de traverser la rivière,» et «la façon de piloter un avion est de piloter un avion.» L’individu a une méthode simple, singulière et obsessionnelle pour ne pas blesser. Et il ne sait rien au sujet du mental. Sa méthode pour ne pas blesser est de refouler. Je ne dirais pas qu’il faut faire un test général à ce sujet, mais si vous prenez un mégot de cigarette et que vous le broyiez dans la paume de quelqu’un (vous commencez à le faire, vous voyez), cette personne saisira immédiatement sa main pour arrêter la douleur. À votre place, je ne ferai pas ce test. Ce que je veux dire ici, c’est que la première action impulsive, lorsque le message connu sous le nom de douleur commence à se frayer un chemin insidieux vers le thétan, est de dire «Non!» Or, lorsqu’un individu souffre, agonise, etc., il essaie d’empêcher la douleur de se manifester. Maintenant, il y a un gradient connu sous le nom de «attention à ». J’ai vérifié les choses, et c’est un gradient du refoulement. En d’autres termes, «si je fais suffisamment attention» – en d’autres termes, si je ‘refoule’ et bien j’irai bien. » Maintenant, l’individu, en gérant la douleur ou les problèmes mentaux, la met de côté. Il dit que cela n’existe pas. C’est une façon intéressante de gérer la vie. On pourrait imaginer quelqu’un vivant dans la jungle et un éléphant s’approchant de la porte et commençant à la défoncer ; et ce type qui a étudié Kismet [NdT : Sort assigné à l’homme par Dieu, auquel il ne peut échapper] ou une autre philosophie de ce genre, sait comment s’en occuper correctement. Il dit simplement : «Tout ce qui est matériel n’est pas.» «Cet éléphant n’est pas.» Et après qu’ils aient pris une spatule et qu’ils aient raclé le sol, il n’a toujours pas appris que cette philosophie n’est pas la meilleure. C’est probablement la pire philosophie que l’on puisse avoir, parce qu’elle rend tout indisponible et que tout fait mal, comme l’espièglerie. Mais il y a une autre maxime dans la Scientologie : Ce qui n’est pas admiré a tendance à persister. C’est donc probablement la philosophie la moins admirable [à refouler] que l’homme ait développée. Alors, bien sûr, tout le monde l’utilise. Ce bouton [refoulé] est commun à tous. «Eh bien, je vais l’oublier. La meilleure façon de gérer cela, c’est de l’oublier. Il n’y a aucune raison pour que je reste assis ici à me morfondre, je vais juste l’oublier. Boohoo-hoo,» vous voyez? Bing! – et puis plus rien, rien, rien. Vous voyez? Elle l’a fait. C’est le meilleur moyen de devenir malheureux. Si vous voulez que tout votre passé vous casse la tête, laissez tomber. C’est la meilleure façon possible. Il s’agit d’ailleurs d’un résidu de l’hypnotisme. L’hypnotiseur l’utilise, et bien sûr nous n’utilisons pas d’hypnotisme en Dianétique ou en Scientologie. Mais la connaissance est la connaissance, et l’hypnotiseur le sait très bien. Il sait comment imposer une contrainte à quelqu’un. Il la lui dit et la lui fait oublier. Ensuite, elle se déclenche comme un bouton automatique. Ainsi, si vous voulez mettre une personne en état d’automatisme total afin qu’elle puisse être restimulée à tout moment par n’importe quoi, tout ce que vous avez à faire, c’est de l’amener à refouler. D’accord. Cet individu a donc un accident de voiture. Donc, s’il ne refoulait rien, peu de temps après l’accident, cette mémoire de la douleur diminuerait et disparaîtrait. Il guérirait. Nous l’avons prouvé à maintes reprises. Il guérirait rapidement. C’est parce qu’il n’y a plus de refoulement. C’est la principale chose qui s’est produite là – le refoulement a disparu, c’est tout. En d’autres termes, cet individu serait guéri s’il ne refoulait pas. Il a un accident. Pendant l’accident, il refoule tout ce qui se passe, il refoule toute la douleur qui se produit pendant l’accident. Ce faisant, il arrête le temps sur la piste du temps – il arrête le temps. Il arrête le temps comme n’importe quoi d’autre, et cela, permettez-moi d’attirer votre attention, fait partie de l’univers physique : la matière, l’énergie, l’espace et le temps. Eh bien, s’il refoule la matière, l’énergie et d’autres choses, il va aussi refouler le temps. Ainsi, il «s’arrête sur la piste du temps» et s’arrête en plein dans l’accident. Un jour, il s’est passé quelque chose de très remarquable ici à Washington. Un sénateur des États-Unis avait souvent été envoyé à l’Hôpital Walter Reed pour des problèmes cardiaques – problèmes cardiaques, problèmes cardiaques, problèmes cardiaques, et voilà que son problème cardiaque se trouvait là. Un jour, j’étais assis dans son bureau et je lui ai demandé: «Sénateur, quand ces problèmes cardiaques ont-ils commencé?» «Eh bien», me dit-il, «cela a dû se manifester lors de l’accident de voiture.» Il avait eu un accident de voiture, il y avait deux filles dans la voiture et il ne voulait pas que quelqu’un le sache. Quoi qu’il en soit, je me suis assis là, et je lui ai fait parcourir l’incident. Ce vieux sénateur était assis là, il s’agrippait au volant et essayait de se retenir de passer par-dessus, et il essayait de retenir les filles, «mentalement», disait-il. Cela n’a pas duré longtemps ; je ne pense pas lui avoir fait parcourir l’incident plus d’une quarantaine de minutes. En fait, il n’y a pas prêté trop d’attention, mais il avait en quelque sorte additionné le déroulement de l’engramme comme «me racontant tout cela de manière très graphique afin que je comprenne tout». Et ce fut la fin de ses problèmes cardiaques. Son problème cardiaque n’était pas un problème cardiaque, c’était un accident de voiture. Eh bien, qu’est-ce que c’est ? C’est simplement l’effort de ne pas laisser quelqu’un d’autre se blesser, vous voyez, refouler la douleur pour eux, refouler la douleur pour soi, empêcher l’accident, s’arrêter à temps, et il a été arrêté juste au moment de l’accident. L. Ron Hubbard *Refoulé : Empêcher une pensée ou un sentiment de s’établir dans la conscience, ou du moins inhiber sa manifestation. (Dictionnaire CNRTL) Chers amis, Très tôt en Scientologie, j’ai compris que l’on pouvait gérer la douleur ou tout autre sentiment désagréable en inversant le flux. En d’autres termes, au lieu de condamner la douleur, il faut l’accepter et même l’aimer. En fin de compte, c’est ce que l’on fait en audition, mais on peut aussi l’appliquer dans la vie. À propos de l’audition : ce n’est pas quelque chose que l’on a obtenu une fois et qui est ensuite terminée. Les gains sont stables, oui; mais la vie continue, le rayon d’action et la zone de confort s’élargissent et les dynamiques augmentent, le jeu s’élargit donc il y a toujours quelque chose à regarder. Et puis il y a aussi le thème des innombrables compétences qui existent. Il est également possible de les encourager en permanence dans le cadre de l’audition. Il est également important d’avoir la compétence d’auditer, ce qui est tout simplement génial et donne un aperçu et une compréhension de la vie et des gens, que l’on ne peut pas obtenir sans l’application pratique de l’audition. Il y a parfois des idées contradictoires à ce sujet : D’un côté, on veut en finir le plus vite possible avec l’audition, et de l’autre, on devrait beaucoup auditer. La réponse est simple : même si l’on a été audité, on peut encore en obtenir davantage. L’auditeur et le préclair sont tous deux gagnants. L’industrialisation, l’informatique et maintenant l’IA (Intelligence Artificielle) nous donnent de plus en plus de temps libre, ce qui crée un grand vide qui ne demande qu’à être comblé. Il existe des possibilités infinies de le remplir. J’observe de plus en plus que ces activités sont axées sur le gain matériel ou «la consommation» de données, c’est-à-dire sur une sorte de pseudo-connaissance, parfois aussi appelées «connaissances inutiles». Cela sépare quelqu’un de la vie plus que cela ne l’y rattache. Un exemple effrayant est qu’apparemment, un pourcentage croissant de jeunes ne répondent pas à un appel téléphonique dont ils ne connaissent pas la provenance. Les clubs de sport disparaissent au profit des centres de fitness, où l’on paie simplement une cotisation au lieu d’apporter sa contribution au club pour le créer davantage, ce à quoi l’ARC est également associée. Pour faire court, nous avons une troisième activité dynamique précieuse : l’audition. Nous devrions l’utiliser davantage. Nous devrions faire plus de co-audition. Nous devrions auditer davantage d’amis et de connaissances. Nous avons d’innombrables HCOB et des conférences dans lesquelles Ron nous a donné des milliers de procédés. Nous devrions les utiliser. Nous ne le faisons pas assez. Ron était un grand fan de la co-audition ! Pour boucler la boucle, on peut éloigner la douleur et l’auditer. On acquiert des compétences en tant que préclair et en tant qu’auditeur. Ce n’est pas pour rien que la Scientologie est le jeu des jeux. Jouons-y, nous avons cette possibilité. Meilleures amitiés. Max Hauri

  • Maniement de l'énergie et de la force

    Introduction: Une personne doit être très forte avant de pouvoir être éthique et totalement bienveillant de son plein gré. Lisez la lettre d'introduction de Max Hauri à cet article ci-dessous. Un extrait de la conférence «ARC, Force, Être-Faire-Avoir» donnée le 8 décembre 1952 par L. Ron Hubbard Pourquoi «Pont»? Dans «MANIEMENT DE L’ÉNERGIE ET DE LA FORCE», L. Ron Hubbard fait la plus belle et la plus émouvante déclaration jamais faite sur la condition d’un être dans cet univers. Dans cet article, vous apprendrez le secret pour parvenir à la liberté dans cet univers, un secret qui n’était pas connu avant que Ron ne le découvre. Ron répond également aux questions suivantes: «Quel abîme ou gouffre le Pont vers la liberté totale enjambe-t-il réellement?» «Quel est le piège et comment en sortir?» Continuez à lire! Lorsque nous parlons de cet univers, nous parlons d’énergie. La seule façon pour un individu d’être retenu dans cet univers est d’être convaincu qu’il ne peut pas gérer l’énergie – parce que cet univers est composé uniquement d’énergie qui fonctionne dans une chose appelée l’espace de l’univers MEST. Si vous ne pouvez pas gérer l’énergie dans toute son ampleur, ne pensez pas que vous pouvez vous libérer de cet univers ou de tout autre univers. La force engendre la force et celui qui vit par l’épée mourra par l’épée, mais ce qui est amusant, c’est que vous devez être capable d’avoir assez de force pour utiliser une quantité illimitée de force avant de pouvoir passer à un niveau d’éthique supérieur. On ne peut pas reculer et se recroqueviller devant la force sous quelque prétexte que ce soit et avoir encore un état d’être au-dessus du niveau de cet univers. Il n’est peut-être pas très agréable de penser qu’un éclair de 100 000 kilowatts puisse frapper le visage du corps MEST, mais je vous assure qu’il s’agit d’une petite quantité de jus par rapport à ce que vous pouvez supporter en tant que thétan. En tant que thétan, vous devriez être capable de vous curer les dents avec un éclair d’un million de kilowatts! Si vous avez déjà vu la compassion et la peur des très faibles comparées à la pitié des très forts, vous verrez la parodie de l’échelle inférieure qui tente de faire écho au sommet de l’échelle. Une personne doit être très forte avant de pouvoir être éthique et complètement clémente de son plein gré. Au bas de l’échelle, une personne a été forcée d’être, et tout l’affecte. Elle est l’effet de ceci et de cela. Bien sûr, elle a toujours en elle une partie de ses aptitudes. Il y a encore du théta, là au bas de l’échelle, mais pas beaucoup. On pourrait dire qu’elle a «traversé l’étendue de force avec succès». Mais franchement, personne n’a jamais rampé hors de cet univers par le fond du trou. Personne n’est jamais sorti par là. C’est une tombe. La seule façon de sortir est de passer à travers. Vous devez être capable de maîtriser le plein usage et le contrôle de n’importe quel facteur de la première dynamique et, après l’avoir maîtrisé, le plein usage et le contrôle des facteurs de la deuxième dynamique, de la troisième et ainsi de suite. Vous devez être désireux, capable et en plein contrôle de ces dynamiques avant de vous en libérer. Sinon, tapi au fond de votre mental et peu importe à quel point vous pensez que vos ambitions puissent être ésotériques, il y a quelque chose que vous ne pouvez pas faire, ce qui est toujours un handicap. L’aptitude d’un thétan n’est bien sûr pas simplement la force. Mais il est intéressant de noter que chaque saint du calendrier est représenté comme ayant une grande aura brillante. Que pensez-vous que cette aura représente? Elle représentait l’énergie brute! Je ne sais pas si ces garçons pouvaient maîtriser l’énergie ou non, mais ils les ont certainement représentés de cette façon et ont continué de le faire depuis. Voici un autre point intéressant concernant la force. Si vous voulez être capable de guérir quelqu’un à distance, vous devez avoir la capacité de le réduire en cendres à distance. La capacité de produire une force est la capacité de faire un postulat fort. Et la capacité de faire un postulat fort est seul capable de contrôler la santé et l’état d’être des autres. La force est, bien sûr, la plus minable des ombres de ce qui peut être fait. Mais à moins que vous ne puissiez créer un postulat assez fort pour gérer la force, il est hautement improbable que vous puissiez créer un postulat assez fort pour imprégner tous les êtres que vous voudriez aider. C’est un univers de force. Ne faites jamais d’erreur à ce sujet. Si c’était le seul univers existant, que dieu nous vienne en aide! Cet univers est construit sur la supercherie et sur la force. Chaque article que vous voyez dans un magasin est de l’énergie condensée, existant dans l’espace. Chaque brique individuelle que vous voyez dans la rue est un condensé d’énergie. Toute action que vous voyez de la part d’un objet MEST est une certaine manifestation de la force à l’œuvre dans cet univers. Ne pensez pas un seul instant qu’une action de faible envergure dans cet univers sera accueillie autrement que par la force. Vous pouvez protester, raisonner, être d’accord, ramper, supplier – cela n’a pas d’importance. La force est là, lourde et solide, pour accueillir les meilleures intentions d’aide. Cet univers ne se soucie pas de l’éclat, de l’esthétique. Vous pourriez créer la plus jolie planète qui ait jamais existé dans tout l’univers, uniquement grâce à votre travail acharné, votre application et votre génie, et la force de cet univers pourrait simplement l’enrouler et la faire disparaître sans la moindre vibration. L’homme fort qui utilise la force comme seul critère d’existence n’est rien d’autre qu’une brute. Néanmoins, l’homme fort qui est capable de fabriquer quelque chose dans cet univers doit être capable de le protéger, car cet univers s’en fiche. Le fait que l’univers s’en fiche est ce qui brise le cœur de l’Homme. Il regarde autour de lui et peu importe ce qu’il fait pour quelqu’un, peu importe combien il essaie d’aider ou quoi que ce soit d’autre ne fait pas la moindre différence dans cet univers où la force MEST est en liberté et relativement incontrôlée. C’est cette nature impitoyable, cette capacité écrasante sans discernement quant à une qualité plus fine qui le brise finalement. Il pense que dans cet univers, il devrait y avoir des choses comme l’amour et la bonté, et que ces choses devraient rendre la pareille. Vous trouvez quelqu’un qui se tue à la tâche pour essayer d’être bon et droit. Mais qu’est-ce que vous trouvez autour de lui ? Des pièges qui attendent la moindre erreur – et il s’effondrera. Et qui va le pousser ? Les personnes qu’il a le plus aidées. C’est un univers «génial»! L’univers est tellement détérioré et dégradé, vraiment, que les meilleures capacités de théta et d’état d’être ne peuvent presque pas exister dans cet univers. Elles sont ici sous la forme la plus fragile qui soit. Prenons l’esthétique. Qu’est-ce que cet univers a à voir avec l’esthétique? Vous sortez et regardez un magnifique coucher de soleil. Vous attendez une sensation esthétique de cet univers? Avez-vous la moindre idée de ce qui compose ce magnifique coucher de soleil? C’est de la poussière suspendue en l’air provenant d’une vieille explosion volcanique où la terre s’est convulsée et a vomi des roches et des cendres dans les airs. Le soleil lui-même est d’une température si violente qu’il projette des flammes radioactives à 240 000 miles [NdT: 386 242 km] à la ronde. Si vous vous en approchiez, même vaguement, et que vous ayez la moindre petite brûlure, vous vous décomposeriez ensuite. C’est la beauté de cet univers. Quelqu’un sort et regarde un papillon qui vole dans l’herbe et dit: «N’est-ce pas joli!» Avez-vous déjà suivi le destin d’un papillon? C’est un jeu intéressant, mais il n’y a pas de place pour l’état d’être appelé Homme. Vous avez là un univers illimité de force, de force dégradée et de résultats solidifiés de la force. L’Homme et les thétans, à leur petite échelle, essaient d’y ajouter l’ingrédient de l’amour, de la beauté, de l’appréciation, de la conduite loyale – mais rien ne se passe, vraiment ; juste plus de force. Alors n’allez pas vous plaindre et vous morfondre en disant qu’il n’y a pas de but pour cet univers et que «personne n’apprécie ce que je fais». La vérité est que cet univers est trop fort, énergique et puissant du point de vue de la force MEST pour permettre que cela se produise. La seule chose que vous voyez dans cet univers et qui vaut la peine d’être vue est ce que vous et des personnes comme vous y avez mis pour le percevoir en retour. Si vous avez déjà compté le nombre de belles villes qui ont été à vau-l’eau ici sur cette terre et qui ne sont plus, les espoirs avec lesquels elles ont été construites et les ardeurs et les abîmes de leurs chutes, et la détresse et l’agonie de leurs derniers jours, vous ne resteriez plus assis à vous préoccuper de «faisons de cet univers un bon univers». C’est comme ça que vous vous êtes fait piéger en premier lieu. Vous avez eu beaucoup d’univers et vous pouvez créer le vôtre. Les plus grandes potentialités de théta sont l’aptitude à être d’accord, ce qui permet de former des groupes, l’aptitude à avoir une affinité, à aimer, à apprécier et à ressentir des sensations (une autre forme d’affinité) et l’aptitude à communiquer. Ainsi, c’est théta qui gère le MEST d’une manière particulière qui nous donne A (Affinité), R (Réalité) et C (Communication). Ne laissez donc pas quelqu’un vous dire qu’à tout moment, il lui suffit de simplement se hisser sur le plan élevé et beau de la pensée pure sans que rien n’ait jamais plus d’effet sur lui dans la ligne d’énergie! Il doit être capable de gérer l’énergie, sinon l’énergie peut le commander. C’est l’astuce de cet univers. Soit vous commandez l’énergie, soit elle vous commande. C’est un univers d’espace et d’énergie et si vous voulez le commander, vous devez être capable de commander l’espace et l’énergie. Ainsi, l’énergie se positionne comme la barrière sinistre entre la pensée aberrée et la liberté de faire tout ce que l’on veut avec la pensée. C’est donc une barrière facile à franchir, pour autant que vous la franchissiez réellement. Les mystiques parlaient de l’abîme. Qu’est-ce que l’abîme? Que tentez-vous de traverser? L’abîme est l’abîme de la force et le Pont doit permettre de le traverser. Nous jetons un pont sur la nécessité d’énergie. Vous n’allez pas traverser ce pont en disant: «Je ne veux rien avoir à faire avec l’énergie. Je vais me priver de corps et de sensations. Je ne vais pas utiliser ceci et je ne vais pas faire cela. Je vais m’éloigner de tout ça!» Le fait est que, même si vous ne devez pas nécessairement participer à l’action ou même vous engager vraiment dans l’action, vous devez certainement être prêt à gérer l’action. Quelqu’un doit être parfaitement disposé à utiliser l’énergie dans n’importe quel domaine. Ce n’est pas nécessaire qu’il le fasse, mais il doit être prêt à le faire. L. Ron Hubbard Chers amis, Il s'agit en effet d'un article très puissant. Malheureusement, notre société travaille dans la direction opposée. En voici une citation : «Une personne doit être très forte avant de pouvoir être éthique et totalement bienveillant de son plein gré.» Ron a vraiment raison sur ce point. La grandeur vient de la force réelle. Les criminels et les chefs de la mafia – ou même les banksters – ne sont pas eux-mêmes et ne font preuve que d'une force réactive. Un texte à lire plusieurs fois ! Meilleures amitiés, Max Hauri

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